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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 23:51

Pour voir le début du conseil du 12 Décembre (Les points 1 à 10) consultez l'article suivant.

Remarque: Le point N° 14 a été oublié dans la notice fournie hier, Mardi 11 Décembre. Un employé est venu me l'apporter aujourd'hui , Mercredi 12 Décembre à 14h30. Je viens de la rajouter dans cet article.

Jeudi 13 Décembre, nouvelle modification de l'ordre du jour reçue par mail, le poinrt N°14 est retiré sur ordre du maire. C'est la valse à 3 temps!

Les points N° 16, 17 et 18 concernent des biens vacants présumés sans maitre qui vont être incorporés au domaine communal par décision du conseil municipal. Il s'agit des parcelles suivantes:

BK186,  impasse Mas du Diable, propriétaire Madame CALAS ép GALTIER

CK 269 -270 Av de la Moutte, propriétaire Monsieur JARLAN Albert

BW 26 Courtarelle Allée Tapenade, propriétaire M GABORIT DE MONTJOU


 

11. REAMENAGEMENT DU COMPLEXE SPORTIF JEAN FOURNIER - DEMANDES DE SUBVENTIONS

 

Madame Muriel SARRADIN, Adjoint au Maire délégué aux sports, expose :

Au titre de l'année 2013, la commune souhaite, après la création d'un Skate Park, d'une aire de fitness en plein air, la réfection du parcours de santé, continuer à favoriser la pratique du sport pour tous avec la rénovation et la création d'équipements sportifs.

 Le principal projet pour 2013 sera la création d'un terrain synthétique de football et de deux courts de tennis sur le complexe sportif Jean Fournier pour un montant prévisionnel de 896.870 € HT détaillé ci-après :

 

 > CREATION D'UN TERRAIN SYNTHETIQUE : Coût estimé 747 370€ HT Réhabilitation d'un terrain de grands jeux gazonné en terrain de football en gazon synthétique de dernière génération avec mise aux normes dimentionnelles sur support drainant équipé d'un arrosage automatique intégré à l'aire de jeux, clôture en treillis renforcé 2M hors sol y compris pare ballons et équipements sportifs à 11 et à 7 joueurs et abris de touche. Dimensions de l'aire de jeux l05x68M.

 

> CONSTRUCTION DE DEUX COURTS DE TENNIS EN TERRE BATTUE : Coût estimé 149 500 € HT

Construction de deux courts de tennis 18x36M hors tout, en terre battue, les clôtures entourant ces courts seront d'une hauteur de 3m minimum, et ceux-ci seront éclairés de manière optimum.

Le Conseil municipal est invité à approuver le projet et autoriser Monsieur le Maire à solliciter, auprès de la Communauté d'agglomération de Montpellier, du Conseil Général, du Conseil Régional, de la Ligue du Football Amateur dans le cadre du Fonds d'Aide au Football et du Centre National pour le Développement du Sport (CNDS) les subventions les plus larges possible pour ce projet.

 

12. AMENAGEMENTS PAYSAGERS DOMAINE LAPORTE - DEMANDES DE SUBVENTIONS

 

Monsieur le Maire expose :

Par délibération du 3 novembre 2011, le Conseil municipal a acté l'acquisition d'une propriété dite «  LAPORTE » située 26, Chemin des Oliviers.

Cette magnifique propriété qui développe une superficie de plus de 3 Hectares, est située en plein centre de la commune, aux abords de l'école primaire Jean-Moulin, de l'école maternelle Jean de la Fontaine et du Centre de Loisirs sans hébergement. Cette proximité permettra de créer une Mairie annexe qui pourra accueillir différents services administratifs ouverts au public, ainsi que la salle des mariages. La rénovation de cette maison de maître va prochainement être réalisée.

La ville envisage par ailleurs une opération d'aménagement paysager du parc, permettant son ouverture au public, afin d'offrir aux usagers un espace de qualité et à leur assurer une sécurité optimale. Cette opération consistera en deux phases d'aménagement pour un montant total prévisionnel de 381 185 €HT, détaillé ci-après :

 

1.- Aménagements passagers : Coût estimé 355.963 € HT

Rénovation des ouvrages existants, aménagements de cheminements d'accès au bois et hors bois accompagnés de colonnes et plots solaires pour l'éclairage. Installation de fontaines à boire, de bornes fontaines, de bancs avec motifs et bois, arceaux vélos, plantation d'arbres fruitiers.. . . . .

 

2.- Valorisation du site boisé et classé : Coût estimé 25.142 € HT, dont :

> Mise en sécurité et valorisation : 15.642 € HT

Suite à l'expertise sanitaire et mécanique établie par l'Office National des Forêts, il a été décidé, pour le secteur sud, de valoriser ce boisement, notamment en facilitant sa découverte, afin de répondre à un public le plus large possible. Préalablement, des travaux de mise en sécurité et de sélection des arbres significatifs seront programmés afin de garantir une circulation en toute sécurité du public,

Ø     Valorisation, découverte et esthétique : 9.500 € HT

 L'enjeu est de valoriser l'intérieur du bois par un concept de découverte (labyrinthe, cartes, indices, énigmes, installation de tables d'orientation), valoriser la lisière par un traitement de qualité, valoriser la promenade sud-ouest par un concept d'accueil à travers l'art (tel un musée à ciel ouvert, expositions) et dégager les éléments passagers «  repères » tels que arbres, rochers. . .

 

Le conseil municipal est donc invité à autoriser Monsieur le Maire à solliciter auprès de Monsieur le Préfet de l'Hérault et du Conseil Général les subventions les plus larges possible pour ce projet.

 

 

13. RENOVATION CHAUFFERIE  DES GROUPES SCOLAIRES JEAN MOULIN ET VERT PARC - DEMANDE DE SUBVENTION A L'ETAT AU TITRE DE LA DETR

 

Monsieur Christian QUIOT, Adjoint au Maire, expose :

Lors de sa réunion du 25 septembre 2012, la Commission des Elus compétente en matière de Dotation d'Equipement des Territoires Ruraux (DETR) s'est prononcée sur les catégories d'opérations prioritaires éligibles pour 2013 permettant ainsi aux communes le lancement de l'appel à projet pour la programmation 2013.

Concernant notre commune, un seul projet est éligible et concerne la rénovation des chaufferies des groupes scolaires Jean Moulin et Vert-parc désuètes et ne répondant plus aux nonnes de sécurité actuelles. De plus, les nouveaux équipements permettront de réaliser entre l5 et 30% d'économie d'énergie et une diminution importante des rejets de CO² et de NOx et répondront aux engagements pris par la ville dans le cadre de son PCET et de son adhésion à la Convention des Maires.

 

Le montant prévisionnel de l'opération s'élève à ; 115.0B0 € HT dont :

 100.000 pour le Groupe Jean Moulin

15.000 peur le Groupe Vert Parc

Les travaux seront exécutés durant les vacances scolaires d'été 2013.

Il est proposé au Conseil municipal d'approuver ce projet et de solliciter de Monsieur le Préfet l'octroi d'une subvention la plus large possible au titre de la DETR exercice 2013.

 

 

14. PARTICIPATION SPECIFIOUE POUR VOIRIE ET RESEAUX PARCELLES CB 72P et CB73

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Urbanisme, aux travaux communaux et au Développement Durable, expose :

 

Par délibération N° 2004/12-19 du 16 décembre 2004, le Conseil municipal a instauré le principe de cette participation pour voirie nouvelle et réseaux sur le territoire de la commune de Caste|au-le-Lez.

Dans ce cadre, la société SA HECTARE représentée par Monsieur Max Postales. 75, Les Portes Domitiennes BP 30020. 34741 Vendargues cedex a déposé une demande de permis d'aménager N°03405712M0002 le 18 OCTOBRE 2012 concernant l'aménagement de trois lots à usage d'habitation sur les parcelles cadastrer CB 73 et CB 72p, développant 2100 m2 et situées 151, Chemin des Muriers à Castelnau Le Lez. Cette demande de permis de construire a donné lieu à une consultation d'ERDF le 24 octobre 2012.

Le 30 novembre 2012, ERDF a rendu un avis suite à la consultation opérée et considère qu'une extension du réseau électrique est nécessaire pour alimenter le projet. Le chiffrage de la contribution relative à l'extension hors du terrain d'assiette de l'opération a été réalisé à partir du barème approuvé par la Commission de régulation de l'Energie le 07 janvier 2010, avec application de la réfaction tarifaire (part du coût pris en charge dans le tarif d'utilisation des réseaux publics de distribution d'électricité) selon l'arrêté du 17 juillet 2008.

La réforme opérée dispose d'une alternative permettant de faire supporter par le propriétaire du terrain ou des avants droits (promoteurs) la charge complète ou partielle du coût des extensions de réseau rendues nécessaires. La commune de Castelnau Le Lez juge opportun d'organiser ce système, qui implique l'établissement d'une PVR pour des multiples raisons concordantes : Tout d'abord, cette modalité organise en fait et en droit le maintien d'un financement accepté par l'ensemble des acteurs, promoteurs, EDF, collectivités et contribuables.

Ensuite et à défaut, le système concoure à faire financer par la collectivité et le contribuable l'équipement propre à un programme immobilier au lieu de l'intégrer dans l'économie générale du projet immobilier. La PVR est à considérer à ce titre comme un outil de justice fiscale.

 Considérant que l'extension du réseau électriques au sens du décret N°2007-1280 du 28 août 2007 relatif à la consistance des ouvrages de branchement et d'extension des raccordements aux réseaux publics d'électricité prévus emportent une dépense totale d'un montant prévisionnel de 1 736,44 € HT.

Pour information, en application de l'arrêté du 17 juillet 2008 fixant les taux de réfaction mentionnés dans l'arrêté du 28 août 2007 fixant les principes de calcul de la contribution mentionne aux articles 4 et 18 de la Loi N°2000-108 du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l'électricité, le taux de réfaction assumé par ERDF s'élève à 40 % du coût global de l'opération. Il est précisé que les équipements à réaliser sont exclusivement destinés à permettre l'implantation de nouvelles constructions sur le site d'emprise de 492 m² constitué de tout ou partie de la parcelle cadastrée CL 305, desservi de sorte qu'il se voit imputer la totalité du coût net prévisionnel des équipements projetés, taux de réfaction déduit (40 % à la charge (d'ERDF).

Il est également précisé que les voies et réseaux considérés ne sont pas compris dans le programme d'équipements publics d'une zone d'aménagement concerté créée en application de l'article L.311 -1 ou d'un programme d'aménagement d'ensemble créé en application de l'article L.332-9. A ce titre, aucune exonération ne sera donc à envisager.

En dernier lieu, il est rappelé que le paiement de la PVR est généré par la délivrance du permis de construire. Conformément à l'article L 332-28 du Code de l'urbanisme, le montant et la date de versement de la PVR seront explicitement prévus dans l'arrêté de permis de construire.

 

Après examen et en avoir délibéré,

 

LE CONSEIL

 

Vu la Loi N°2000-1 8 du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l'électricité;

Vu la Loi N°2000-1208 Solidarités et Renouvellements urbains (SRU) du 13 décembre 2000 ;

Vu la Loi N°2003-590 Urbanisme et Habitat (UH) du 02 juillet 2003

Vu le décret N°2007-1280 du 28 août 2007 relatif à la consistance des ouvrages de branchement et d'extension des raccordements aux réseaux publics d'électricité ;

Vu l'arrêté du 28 août 2007

Vu la circulaire N°2004-8 du 05 février 2004 relative aux modalités de mise en Oeuvre de la participation Voirie et Réseaux (PVR)

 Vu le Code de l'urbanisme et notamment ses articles L 332-6-1, L 332-11-1 et L 332-11-2 ;

Vu la délibération N° 2004/12-19 du 16 décembre 2004 instaurant la participation pour voirie nouvelle et réseaux sur le territoire de la commune de Castelnau-le-lez,

Article 1 :

Il est établi une participation spécifique pour voiries et réseaux divers pour le site d'emprise de 2 100 m² constitué de tout ou partie des parcelles cadastrée CB 73 et CB72p, et autorisation d'occupation des sols, selon les conditions définies aux articles suivants.

Article 2. :

Le programme d'équipements publics en vue de permettre l'implantation de nouvelles constructions telles que prévues par la demande de permis d'aménager N°03405712M0002 sur le site d'emprise de 2100 m2 constitué de tout ou partie des parcelles cadastrée CB 73 et CB72p, desservi est arrêté et approuvé sur la base des éléments suivants et un coût prévisionnel de 1736,44 € HT, décomposé comme suit La totalité du coût net prévisionnel de ce programme sera mise à la charge des propriétaires ou titulaire de droits réels considérés.

Article 3 :

Sont redevables les propriétaires du site d'emprise de 2100 m² constitué de tout Ou partie des parcelles cadastrée CB 73 et CB 72p, et/ou les titulaires de droits réels considérés, notamment les bénéficiaires de la déclaration préalable délivrée sur tout ou partie des parcelles cadastrée CB 73 et CB 72p.

Article 4 :

Le montant de participation due est de 1736,44 € HT.

Article 5 :

Le versement de cette participation devra intervenir en un versement unique et intervenant au terme d'un délai de six mois courant à compter de la date de délivrance de l'autorisation d'occupation des sols correspondante.

 

15. INCORPORATION DANS LE DOMAINE COMMUNAL DE BIEN VACANT ET SANS MAITRE - CT 15 LE DEVOIS AVENUE DES VENUS

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Urbanisme, aux travaux communaux et au Développement Durable, expose :

 La loi du 13 août 2004, relative aux libertés et aux responsabilités locales attribue la propriété des immeubles vacants et sans maître aux communes, et non plus à l'Etat comme c'était le cas auparavant.

L'identification et l'acquisition des biens sans maître sont régies par les articles L1 123-1 et suivants du Code général de la propriété des personnes publiques. Le terrain cadastré CT 15 en nature de garrigue et situé lieu dit Le Devois en bordure de l'Avenue des Vénus a une superficie de 6513 m². Il est situé en zone 2UE du PLU.

Les résultats de l'enquête préalable de vérification, n'ont pas permis de retrouver le propriétaire : Monsieur Jean GELY. Il est en partie utilisé par la Société Nicollin. Cette dernière a été informée par courrier en date du 23 mars 2012. La Commission Communale des impôts à confirmé que la taxe foncière n'a pas été acquittée depuis plus de trois ans.

Un arrêté du Maire n° URBA/94/12 a été pris le 23 mars 2012. Il a été affiché pendant 6 mois sur les lieux, a été notifié au dernier domicile connu du propriétaire, à la Société Nicollin et à fait l'objet d'un avis dans le Midi Libre du 2 avril 2012 et dans la Gazette de Montpellier du 5 Avril 2012).

Aucun propriétaire ne s'est manifesté.

Après avoir entendu l'exposé de Monsieur LAFFORGUE, il est proposé au Conseil Municipal :

* d'accepter l'incorporation au compte de la Commune de CASTELNAU-LE-LEZ de la parcelle CT 15 d'une superficie de 6513 m²

* d'autoriser Monsieur le Maire à prendre l'arrêté relatif à la constatation de cette incorporation dans le patrimoine communal.

 

16. INCORPORATION DANS LE DOMAINE COMMUNAL DE BIEN VACANT ET SANS MAITRE - BK 186 IMPASSE DU MAS DU DIABLE

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Urbanisme, aux travaux communaux et au Développement Durable, expose :

 La loi du 13 août 2004, relative aux libertés et aux responsabilités locales, attribue la propriété des immeubles vacants et sans maître aux communes, et non plus à l'Etat comme c'était le cas auparavant.

L'identification et l'acquisition des biens sans maître sont régies par les articles L1 123-1 et suivants du Code général de la propriété des personnes publiques. Le terrain cadastré BK 186 en nature de voirie et situé Impasse du Mas du Diable a un: superficie de 116 m². Il est situé en zone UD du PLU.

Les résultats de l'enquête préalable de vérification, n'ont pas permis de retrouver le le propriétaire. En effet, le cadastre mentionne Madame CALAS épouse GALTIER, mais à la conservation des Hypothèques il s'avère que cette voie est une servitude au profit de la propriété GALTIER. La Commission communale des impôts a confirmé que la taxe foncière n'a pas été acquittée depuis plus de trois ans.

Un arrêté du Maire n° URBA/94/12 a été pris le 23 mars 2012. Il a été affiché pendant 6 mois sur les lieux, a été notifié au dernier domicile connu du propriétaire, et à fait l'objet d'un avis dans le Midi Libre du 2 avril 2012 et dans la Gazette de Montpellier du 5 Avril 2012).

Aucun propriétaire ne s'est manifesté.

Après avoir entendu l'exposé de Monsieur LAFFORGUE, il est proposé au Conseil Municipal :

 * d'accepter l'incorporation au compte de la Commune de CASTELNAU-LE-LEZ de la parcelle BK 186 d'une superficie de 116 m2.

* d'autoriser Monsieur le Maire à prendre l'arrêté relatif à la constatation de cette incorporation dans le patrimoine communal.

 

17. INCORPORATION DANS LE DOMAINE COMMUNAL DE BIEN VACANT ET SANS MAITRE - CK 269 CK 270 AVENUE DE LA MOUTTE

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, adjoint à l'Urbanisme, à l'Urbanisme, aux travaux communaux et au Développement Durable, expose :

 La loi du 13 août 2004, relative aux libertés et aux responsabilités locales, attribue la propriété des immeubles vacants et sans maître aux communes, et non glas à l'Etat comme c'était le cas auparavant.

L'identification et l'acquisition des biens sans maître sont régies par les articles L1123-1 et suivants du Code général de la propriété des personnes publiques. Les parcelles cadastrées CK 269 et CK 270 en nature de trottoirs et situées Avenue de la Moutte ont une superficie respective de 1371 et 797 m². Elles sont situées en zone UD du PLU.

Les résultats de l'enquête préalable de vérification, n'ont pas permis de retrouver le propriétaire Monsieur JARLAN Albert. La Commission Communale des impôts a confirmé que la taxe foncière n'a pas été acquittée depuis plus de trois ans.

Un arrêté du Maire n° URBA/92/12 a été pris le 23 mars 2012. Il a été affiché pendant 6 mois sur les lieux, a été notifié au dernier domicile connu du propriétaire et à fait l'objet d'un avis dans le Midi Libre du 2 avril 2012 et dans la Gazette de Montpellier du 5 Avril 2012.

Aucun propriétaire ne s'est manifesté.

Après avoir entendu l'exposé de Monsieur LAFFORGUE, il est proposé au Conseil Municipal :

 * d'accepter l'incorporation au compte de la Commune de CASTELNAU-LE-LEZ * des parcelles CK 269 et CK 270 d'une superficie respective de 1371 et 797 m².

* d'autoriser Monsieur le Maire à prendre l'arrêté relatif à la constatation de cette incorporation dans la, patrimoine communal.

 

 

18. INCORPORATION DANS LE DOMAINE COMMUNAL DE BIEN VACANT ET SANS MAITRE - BW 26 COURTARELLE ALLEE DE LA TAPENADE

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Urbanisme, aux travaux communaux et au Développement Durable, expose La loi du 13 août 2004, relative aux libertés et aux responsabilités locales, attribue la propriété des immeubles vacants et sans maître aux communes, et non plus à l'Etat comme c'était le cas auparavant.

L'identification et l'acquisition des biens sans maître sont régies par les articles L1 123-1 et suivants du Code général de la propriété des personnes publiques Le terrain cadastré BW 26 en nature de garrigue et situé en bordure de l'Allée de la Tapenade a une superficie de 8719 m², Il est situé en zone 2N du PLU et dans le périmètre de l'Orientation d'Aménagement Particulière «  Coutarelle ». Les résultats de l'enquête préalable de vérification, n'ont pas permis de retrouver le propriétaire : M. GABORIT DE MONTJOU. Ce bien n'est ni occupé ni exploité et la Commission Communale des impôts a confirmé que la taxe foncière n'a pas été acquittée depuis plus de trois ans.

Ces résultats confirment la présomption de bien sans maître au titre des dispositions de l'Article L1123-1 du Code Général de la Propriété des Personnes Publiques.

Un arrêté du Maire n° URBA/90/12 a été pris le 23 mars 2012. 11 a été affiché pendant 6 mois sur les lieues a été notifié au dernier domicile connu du propriétaire (1e courrier est revenu avec la mention : destinataire non identifiable), et à fait l'objet d'un avis dans le Midi Libre du 2 avril 2012 et dans la guette de Montpellier du 5 Avril 2012.

Aucun propriétaire ou ayant droit ne s'est manifesté.

Après avoir entendu l'exposé dç Monsieur LAFFORGUE, il est proposé au Conseil Municipal :

* d'accepter l'incorporation au compte de la Commune de CASTELNAU-LE-LEZ de la parcelle BW 26 d'une superficie de 8719 m²,

* d'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette incorporation,

 

19. ACQUISITION A TITRE GRATUIT DE LA PARCELLE CB 206 A MONSIEUR ET MADAME LOZANO - INTEGRATION DANS LE DOMAINE PUBLIC COMMUNAL

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Urbanisme, aux travaux communaux et au Développement Durable expose :

 La commune envisage l'aménagement du chemin des sycomores. Dans ce cadre, elle souhaite acquérir la parcelle CB 206 d'une superficie de 87 m², afin d'élargir la voie.

Cette parcelle est issue de la propriété de Monsieur et Madame LOZANO, et fait l'objet d'un emplacement réservé C 33. La cession de terrain pour élargissement de la voie a été prévue lors de la délivrance du permis de construire n° 16602 du 8 Mai 1979 et les clôtures ont été implantées à la nouvelle limite.

La cession n'ayant jamais été réglée juridiquement, la parcelle est toujours propriété des époux LOZANO, il convient donc de régulariser sa situation.

M. Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, aux travaux communaux et au Développement Durable propose au Conseil Municipal :

* d'accepter l'acquisition à titre gratuit de la parcelle CB 206 d'une superficie de 87 m² en vue de son intégration dans le domaine public communal ;

* d'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette acquisition.

 

20. DEVIATION EST DE MONTPELLIER (DEM) - SECTION 2 - BILAN DE LA CONCERTATION

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Urbanisme, aux travaux communaux et au Développement Durable, expose :

 La première section de la déviation Est de Montpellier a été déclarée d'utilité publique en 2004 et ouverte à la circulation publique en décembre 2008. Elle établit une liaison entre la RD 613 (ex RN 113) et le boulevard Ph. Lamour puis la Rue de la Vieille poste.

Le Conseil général de l'Hérault a délibéré le 17 octobre 2011 pour définir les modalités de concertation publique afférentes à la réalisation de la deuxième section de la déviation Est de Montpellier. Cette seconde section a vocation à achever la voirie de contournement Est de l'agglomération de Montpellier entre le boulevard Ph. Lamour et l'autoroute A9. L' estimation prévisionnelle des travaux est de 45.000.000 € HT.

Une procédure de concertation publique est déjà engagée, conformément aux dispositions de l'article L300-2 et R 300-1 du Code de l'Urbanisme afin d'associer, pendant toute la durée de l'élaboration du projet, les communes, les habitants, les associations locales et les autres personnes concernées dont les représentants de la profession agricole. Il propose les modalités de concertation suivantes : Les modalités de concertation mises en ouvre ou encore à opérer par le Conseil Général de l'Hérault maître d'ouvrage de l'opération d'aménagement, sont les suivantes :

* Deux réunions publiques organisées à l'issue des études préliminaires sur les enjeux et les variantes d'aménagement et réparties dont une sur le territoire de la commune de saint Aunes et une sur le territoire de la commune de Montpellier associant les Communes de Castelnau Le Lez et Le Crès ;

* Deux réunions publiques organisées à l'issue des études d'avant-projet menées sur les deux variantes retenues à l'issue de la phase de concertation précédentes ;

 Mise à la disposition du public d'un dossier d'information accompagné d'un registre sur lequel chacun pourra consigner ses observations pendant une durée d'au moins 30 jours dans des locaux à définir avec les cinq communes concernées, à savoir Saint Aunes, Castelnau Le Lez, Le Crès, Mauguio et Montpellier ;

Insérer dans la presse et sur le site internet du Département d'un communiqué relatif à ladite concertation ;

. Mise à la disposition du public d'une modélisation informatique des aménagements sur le site internet du département, lors de la seconde phase de concertation sur les deux variantes étudiées au niveau avant-projet.

 

L'avis du conseil municipal est sollicité sur la base des études préliminaires, documents extrêmement succincts et faisant état à ce stade des éléments suivants : . *Analyse de l'état initial du site : milieux naturel, physique, humain, activités agricoles, dessertes locales, sensibilités paysages. . .

* Analyse des quatre fuseaux proposés à cette concertation.

* Calendrier prévisionnel d'opération.

 

Au-delà du tracé de ces variantes qui ne concerne pas le territoire de la commune de Castelnau Le Lez, la commune peut émettre à ce stade les observations suivantes :

Concernant l'appréciation de ces tracés eux-mêmes, nous prenons note des éléments comparatifs de synthèse faisant état, à travers un tableau multi critères de comparaison, d'un bilan semblant préfigurer le rejet de la variante 4, la plus éloignée et un choix plus indécis entre les variantes 1,2 et 3. Aucun élément ne permet à ce stade d'apprécier l'impact paysager des différents tracés dans le grand paysage, c'est-à-dire d'appréhender la perception du projet depuis la plaine agricole de Castelnau Le Lez. La phase suivante devra permettre d'intégrer cette appréciation par la production de perspectives, tracé en coupe ou descriptifs, illustrant ces impacts. Il est donc proposé que la commune réserve donc son avis sur cette question de l'impact des différentes variantes sur le grand paysage.

Concernant l'ouvrage lui-même, la commune souhaite dès à présent mettre en exergue l'impact de deux infrastructures routières, indéfinies à ce stade.

Le rond point connectant la DEM sur le boulevard Ph Lamour n'est pas défini à ce stade. Ses caractéristiques devront être conformes à la vocation de ce boulevard conçu en boulevard urbain et non en pénétrante vers les secteurs d'activités du Millénaire/Eurêka. Il devra notamment appréhender les connexions des itinéraires de déplacements doux et la programmation d'une desserte de ces secteurs par une ligne de tramway (P1an de déplacements urbains).

 

Le rond point connectant la DEM sur l'Avenue de l'Europe/route de Nîmes n'est pas défini à ce stade et représente un enjeu urbain majeur. La réalisation de la DEM sur son premier tronçon avait anticipé la réalisation d'un échangeur surélevé privilégiant les transits Nord/sud.

Les problématiques à intégrer devront a minima être les suivantes :

 * Prise en compte du caractère urbain du site et de la proximité de secteurs résidentiels (Clos des Garrigue, Colline des cistes...). Les caractéristiques des ouvrages devront garantir de façon optimale la prévention des nuisances acoustiques et l'impact visuel des ouvrages.

Les études devront notamment s'attacher à des hypothèses de mise en souterrain, confinement ou décaissements permettant de minimiser ces impacts.

* Des études d'impact circonstanciées devront permettre d'apprécier de façon précise ces impacts depuis les secteurs résidentiels et commerçants limitrophes . L'ouvrage devra être conçu sur une logique de transparence et permettre tous les échanges, automobiles mais aussi cyclables et piétonniers de Castelnau Le Lez vers Le Crès.

* Le Plan de déplacements urbains de Montpellier agglomération et les réflexions en cours s'attachent à une liaison par tramway des secteurs d'activités du Millénaire/Eurêka vers le pôle multimodal de ND de Sablassou puis un prolongement vers Le Crès, Vendargues, Castries. L'ouvrage de franchissement devra anticiper cette réalisation du point de vue des gabarits mais également du point de vue d'une qualité urbaine des ouvrages à réaliser.

En conséquence, il est proposé au Conseil de bien vouloir :

·        Prendre note des éléments .soumis à la concertation au stade des études préliminaires de ce projet de DEM ;

·        Emettre un certains nombres d'observations et remarques concernant l'impact paysager des quatre variantes proposées et des deux principaux ouvrages d'infrastructures à réaliser sur le territoire de la commune.

·        Préciser un certain nombre de préoccupations, principes d'aménagement et prévention des nuisances à intégrer dans les phases d'études d'avant-projet à mener sur les deux variantes retenues à l'issue de la phase de concertation d'élaboration suivantes.

·        Autoriser Monsieur le Maire à signer tout document relatif à cette affaire.

 

21. CONSTITUTION DE SERVITUDE DE PASSAGE SUR LA PARCELLE BA 219 AU PROFIT D’ ERDF

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose :

 La Ville de CASTELNAU LE LEZ est propriétaire des parcelles de terrain en bordure du Lez cadastrées BA 152 - BA 218 et BA 219. Dans le cadre de la réalisation de l'intercepteur Est, elle a signé une convention d'occupation avec la Communauté d'Agglomération de Montpellier pour implanter une station de relevage des Eaux Usées sur la parcelle BA 218.

 Afin d'alimenter en électricité cet équipement ERDF doit implanter un câble d'alimentation qui traverse les parcelles BA 152, BA 218 et BA 219.

Cette servitude s'établit dans une bande 0.30 mètre de large sur une longueur de 130 m.  Elle est consentie à titre gratuit.

Il est proposé au Conseil Municipal,

·        D'accepter cette constitution de servitude sur les parcelles cadastrées BA 152 -BA 218 et BA 219, au profit d'ERDF

·         D'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes pièces nécessaires à cette procédure.

Les frais de Notaire seront à la charge d'ERDF

 

22. INSTITUTION D’UNE PROCEDURE DU  PERMIS DE DEMOLIR SUR LE TERRITOIRE COMMUNAL AU TITRE DE L'ARTICLE R 421-27 DU CODE DE L'URBANISME

 

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint au Maire délégué à l'Urbanisme, Travaux communaux et Développement durable expose :

 La réforme du code de l'urbanisme entrée en vigueur le 1er octobre 2007 offre aux communes la possibilité d'instaurer par voie de délibération sur tout ou partie de leur territoire une procédure de permis de démolir, conformément à l'article 9 du décret n°2007-18 du 5 janvier 2007 pris pour l'application de l'ordonnance n°2005-1527 du 8 décembre 2005 relative au permis de construire et autorisations d'urbanisme (article R.421-27 du code de l'urbanisme).

La délivrance d'un permis de démolir préalable à tout travaux ayant pour objet de démolir ou de rendre inutilisable tout ou partie d'une construction permettra à la commune de rétablir le régime préexistant à la réforme et de maîtriser l'impact des travaux de démolition et d'assurer la cohérence avec les prescriptions du PLU en vigueur.

Après avoir entendu l'exposé de Monsieur Frédéric LAFFORGUE, il est proposé au Conseil ,Municipal :

- D'instituer la procédure de permis de démolir sur l'ensemble du territoire communal.

 

23. INSTITUTION D’UNE PROCEDURE DE DECLARATION PREALABLE A TOUT PROJET DE CLOTURE AU TITRE DE L’ARTICLE R 421-12 DU CODE DE L'URBANISME

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint au Maire délégué à l'Urbanisme, Travaux communaux et Développement durable expose :

 La réforme du code de l'urbanisme entrée en vigueur le 1er octobre 2007 offre aux communes la possibilité d'instaurer par voie de délibération sur tout ou partie de leur territoire une procédure de déclaration préalable à l'édification d'une clôture, conformément à l'article 9 du décret n°2007-18 du 5 janvier 2007 pris pour l'application de l'ordonnance n°2005-1527 du 8 décembre 2005 relative au permis de construire et autorisations d'urbanisme (article R.421-12 du code de l'urbanisme).

La demande d'une déclaration préalable à tout travaux de clôture permettra à la commune de rétablir le régime préexistant à la réforme et de maîtriser la cohérence des clôtures avec le projet architectural, les constructions et les clôtures avoisinantes et d'assurer la compatibilité avec les prescriptions du PLU en vigueur.

Après avoir entendu l'exposé de Monsieur Frédéric LAFFORGUE, il est proposé au Conseil Municipal :

- D'instituer la procédure de déclaration préalable à tout projet de clôture sur l'ensemble du territoire communal.

 

24. RAPPORT ANNUEL DE LA COMMISSION CONSULTATIVE DES SERVICES PUBLICS LOCAUX

 

Madame Pierrette MIENVILLE, Premier Adjoint expose :

 La commission consultative des services publics locaux a été constituée par délibération du 30 mai 2008.

La commission examine chaque année le rapport établi par le délégataire du service public de la fourrière Automobile et le rapport établi par le cocontractant du contrat de partenariat pour l'éclairage public.

I. LA FOURRIERE AUTOMOBILE :

Le conseil municipal a décidé la délégation du service public de la fourrière Automobile. Au terme de la procédure d'attribution, l'entreprise ATTARD Automobile a été désignée le 16 mai 2000.

La convention de concession de la fourrière Automobile a été renouvelée pour 5 ans le 17 juillet 2002.

La convention liant aujourd'hui la ville à l'entreprise ATTARD Dépannage a pris effet le 1er octobre 2007 et s'achèvera le 31 décembre 2012.

Dans le courant de l'année 2011 sur 68 véhicules enlevés 36 ont été livrés à la destruction,

II. L'ECLAIRAGE PUBLIC :

Par ailleurs la ville de Castelnau-le-lez a conclu le 1er novembre 2006 avec la Société CEGELEC un contrat de partenariat pour la conception, réalisation, préfinancement, exploitation gestion, renouvellement des installations nécessaires à la mise en lumière de la commune et le fonctionnement de l'éclairage public.

Conformément aux dispositions de l'article L. 1414-14 du Code Général des Collectivités Territoriales, le titulaire de ce contrat a établi et adressé à la ville le rapport annuel d'activité relatif à l'exécution du service pour l'année 2011 .

Ce rapport d'activité est à compter aujourd'hui, mis à la disposition du conseil municipal afin de permettre le suivi de l'exécution du contrat de partenaire.

J'ai donc l'honneur, Mesdames, Messieurs, de vous demander de bien vouloir prendre acte de la communication du rapport d'activité relatif au contrat de partenariat ainsi que des conditions d'exécution de celui-ci pour l'armée 2011 .

Par ailleurs, en application des dispositions de l'article L. 1413-1 du Code Général des Collectivités Territoriales, ces rapports d'activité ont été présentés à la Commission Consultative des Services Publies Locaux, réunie à cet effet le 11 décembre 2012.

Le conseil municipal,

 - VU le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment ses articles L.

1414-14 et L. 1413-1,

- VU la convention de concession de la Fourrière Automobile,

- VU le rapport annuel d'activité transmis par la société ATTARD Dépannage,

 - VU le contrat de partenariat pour la gestion de l'éclairage public sur le territoire communal, passé avec la société CEGELEC INFRATERTIAIRE SUD EST,

 - VU le rapport annuel d'activité transmis par la société CEGELEC

INFRATERTIAIRE SUD EST,

- Considérant que les rapports annuels d'activité de ces contrats ont été présentés à la Commission Consultative des Services Publics Locaux, réunie à cet effet le  11 décembre 2012,

 

25. SERVICE DE DISTRIBUTION D'EAU POTABLE - RAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE

 

 Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint au Maire délégué à l'Urbanisme, Travaux communaux et Développement durable expose :

 Conformément aux dispositions de la Loi n° 95.101 du 2 février 1995 dite Loi Barnier, je vous présente le «  Rapport annuel sur le prix et la qualité du service de distribution publique d'eau potable » pour l'exercice 201l .

Cette présentation a pour principal objectif de renforcer la  transparence et l’information dans la gestion de ce service.

Le Syndicat Mixte Garrigues Campagne assure et organise sur l'ensemble de son territoire l'exploitation des captages, réseaux d'adduction et de distribution publique d'eau potable :

 > Etude, construction de réseaux d'adduction et transfert et équipements nécessaires (réservoirs, stations de pompage et de traitement)

> Extension et renouvellement des réseaux de distribution

> Livraison, distribution et fourniture d'eau potable.

 

Le service est géré au niveau intercommunal pour 24 communes.

Le service est exploité en délégation de service public (affermage),

 

Délégation de service public

 > Nom du délégataire : entreprise RUAS Michel SA,

 > Date de début de contrat : 1er janvier 2010,

 > Date de fin de contrat : 31 décembre 2021 (contrat de 12 ans),

 

 La principale mission du délégataire est d'assurer en continu (sauf cas de force majeure) la livraison au compteur de chaque abonné du territoire syndical, une eau potable de bonne qualité en quantité et pression suffisantes.

 

Le prix du service de l'eau au m3 est égal à 1.61 €/m3 en 2011.

Monsieur Frédéric LAFFORGUE communique quelques éléments du rapport 2011 dans notre ville :

> Le nombre d'abonnés a atteint le chiffre de 5380 le SMGC compte 20 955 abonnés,

 > Le volume total vendu s'établit à 1 249 128 m3 pour la ville

 > La capacité de stockage des réservoirs de la ville est de 7 100 m3,

> Durant l'année 2011, la mise en place de la télé-relève des compteurs a été poursuivie.

 

Le rapport sera mis à la disposition du public pendant  deux mois à la Direction des Affaires Générales et Règlementaires de la Mairie, les jours et heures d'ouverture.

Le public sera avise de cette mise à disposition par voie d'affichage en Mairie et aux lieux habituels d'affichage pendant toute la durée de la période de consultation.

Le conseil municipal prend acte de la communication de ce rapport et des moyens mis à la disposition du public pour sa consultation.

 

26. RAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE PUBLIC D'ASSAINISSEMENT

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint au Maire délégué à l'Urbanisme, Travaux communaux et Développement durable expose :

Conformément aux dispositions de l'article L 2224-5 du Code Général des Collectivités Territoriales et compte tenu des compétences exercées par la Communauté d'Agglomération de Montpellier son Président a adressé à la ville le rapport sur le prix et la qualité du service public de l'assainissement pour l'exercice 2011 ainsi que les rapports du délégataire VEOLIA.

Le rapport, produit par la Communauté d'Agglomération de Montpellier, décrit l'évolution du service pour 201l à travers les faits marquants de l'exercice et divers indicateurs techniques et financiers.

Monsieur Frédéric LAFFORGUE communique au conseil quelques indicateurs :

@ Nombre total d'abonnés 4 722 soit 15 345 habitants desservis,

@. Assiette totale de la redevance 1 068 773 m3 d'effluents,

 @ prix TTC par m3 = 1,48 € .

Linéaire du réseau de collecte 72.286 KM

@ Le montant total des travaux d'assainissement effectués en 2011 est arrêté à 268 876 € pour la ville.

Ces rapports doivent être tenus à la disposition du public, une information par voie d'affichage complète ce dispositif ayant pour objectif de renforcer la transparence et l'information dans la gestion de ce service.

Ces rapports seront ainsi mis à la disposition du public en Mairie pendant deux mois, aux jours et horaires habituels d'ouverture à l'Hôtel de Ville, rue de la crouzette.

Après avoir entendu l'exposé de M. Frédéric LAFFORGUE, il est proposé au Conseil Municipal :

- de prendre acte de la communication des rapports annuels sur le prix et la qualité du service public d'assainissement tels que produits par la Communauté d'Agglomération de Montpellier pour l’exercice 2011.

 

27. RECENSEMENT DE LA POPULATION - REMUNERATION DES AGENTS RECENSEURS

.

Monsieur le Député-Maire expose : Notre commune va réaliser du 17 janvier au 23 février 2013 une campagne de recensement de la population.

L'INSEE nous demande de recenser chaque année 8 % environ de la population de la commune.

Pour ce faire la ville a été divisée en sept îlots d'environ 2200 habitants.

L'enquête est réalisée par 3 agents recenseurs désignés par arrêté du Maire. Ces derniers recensent chacun approximativement 1300 personnes.

La rémunération des agents revendeurs et du coordonnateur de l'enquête de recensement doit faire l'objet d'une décision du Conseil Municipal.

A cet effet la ville reçoit une dotation de 3 210 € que M. le Maire propose de répartir comme suit :

 > 1120 € pour l'agent coordonnateur de l'enquête de recensement et 2 100 € pour les agents recenseurs

 

28. PERSONNEL COMMUNAL - MODIFICATION DU TABLEAU  DES EFFECTIFS 

Monsieur le Maire expose :

 Pour répondre à une meilleure organisation des services, il est proposé d'adapter le tableau des effectifs du personnel communal.

Après avis du Comité Technique polaire dont la réunion s'est tenue le 29 octobre


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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 15:27

ORDRE DU JOUR


Commentaire: Il y a 27 points à l'ordre du jour. J'ai publié  2 articles pour ce conseil. On peut déjà prédire que l'atmosphère va être électrique, en effet le point N° 6 va mettre les adhérents de l'UMP  en ébullition.

 Comme par hasard,  Monsieur le Maire a  décalé le conseil du Lundi au Mardi, jour ou les recours vont passer au Tribunal Administratif.


  Pour les points 11 à 27 consulter la suite du conseil.

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1. COMMUNICATION AU CONSEIL DES DECISIONS DU MAIRE

  

2. BUDGET 2012 - REVISION DES AUTORISATIONS DE PROGRAMME/ CREDITS DE PAIEMENT (AP/CP)

  Monsieur Christian QUIOT, Adjoint aux Finances expose :

 Par délibération n°2011 /05-03 du 26 mai 2011, la Ville a mis en oeuvre la procédure de suivi financier en Autorisations de Programme   et Crédits de Paiement (AP/CP) à la faveur de la réalisation des travaux d'aménagement du Centre Historique et de la construction d'un nouveau complexe socio-culturel.

Chaque autorisation de programme comporte la répartition prévisionnelle par exercice des crédits de paiement correspondants.

A l'issue de chaque exercice, il convient, au vu de l'avancement de chacun des projets et de l'évolution des conditions économiques, d'ajuster les autorisations de programme et crédits de paiement déjà votés.

L'article R2311 -9 du Code Général des Collectivités territoriales précise que les autorisations de programme ou d'engagement et leurs révisions éventuelles sont votées par le Conseil Municipal, lors de l'adoption du budget de l'exercice ou des décisions modifications.

La présente révision des AP/CP est examinée à l'occasion du vote de la Décision Modificatiive n°l de l'exercice 2012.

Les deux programmes ont fait l'objet d'une décision de report, report de la phase 3 pour le Centre Historique et report de la date de début des travaux pour le complexe socio culturel, engendrant une révision du montant des Autorisations de programme et des crédits de paiement à affecter à la fois sur l'exercice 2012 et les exercices suivants.

 

DELIBERATION

 

Dans ces conditions, il est demandé au Conseil Municipal de bien vouloir :

-         adopter la présente révision des autorisations de programme et crédits de paiement en résultant :


Libellé

Montant de l’Autorisation de Prog initial

Montant de l’Autori de Program révisé

Paiements

déjà réalisés

au 31/12/11

Reste à financer

Réaménagem

 du centre ancien

4 100 000€

2 971 774,3€

451 774.30€

2 520 000€

Construction du centre socio culturel

8 000 000€

6 991 847.02€

191 847.022€

6 800 000€

 

 

Libellé de programme

Répartition

2012

des crédits

2013

de paiement

2014

par exercice

2015

Réaménagement

Centre ancien

2 500 000€

20 000€

 

 

Construction  KIASMA

350 000€

 

1 300 000€

5 150 000€

 

 

- acter la rectification en décision modificative de l'exercice 2012 et l'inscription aux budgets primitifs 2013 et suivants des crédits budgétaires d'investissement en concordance avec les crédits  de paiement de ces deux opérations.

 

3. BUDGET 2012 - DECISION MODIFICATIVE N° 1

 

 Monsieur Christian QUIOT, Adjoint aux Finances expose : La présente Décision Modificative permet d'effectuer les ajustements de crédits en fonction de tous les éléments portés à notre connaissance entre le vote du budget et la fin de l'exercice.

Au niveau de la section de fonctionnement, on constate diverses régularisations dues à des notifications intervenues après le vote du budget (au chapitre 014 pour le « prélèvement SRU », au chapitre 73 pour la fiscalité et au chapitre 74 pour les dotations d'Etat). Au chapitre 65, on enregistre les deux subventions à verser au C.C.A.S. et à son budget annexe d'aire d'accueil des gens du voyage. Un supplément de charges exceptionnelles doit également inscrit au chapitre 67, au titre d'une indemnité à verser, suite à un jugement du tribunal administratif pour un contentieux concernant une préemption. Cette dépense est intégralement compensée par une recette inscrite au chapitre 70, en prévision du remboursement par Montpellier Agglomération de cette somme, ladite préemption ayant été diligentes pour le compte de Montpellier Agglomération.

Au total, le virement de la section de fonctionnement à la section d'investissement est amélioré de 271 000 € .

En ce qui concerne la section d'investissement, la Décision Modificative permet tout d'abord de réajuster les crédits conformément à la révision des Autorisations de Programme (AP/CP), votées ci-avant. Les crédits affectés à l'opération de construction du complexe socio culturel en 2012 s'élèvent à 350 000 € après révision des AP/CP, alors que les crédits votés au budget primitif s'élevaient à 1 336 000 €. Il convient donc de diminuer le chapitre 23 (immobilisations en cours) d'un montant d' l 336 000€ et d'inscrire 350 000 € au chapitre 20, les dépenses réalisées jusqu'à présent pour cette opération devant être imputées en frais d'études, dans l'attente du démarrage des travaux. Le chapitre 23 (immobilisations) doit être, par ailleurs augmenté de 350 000 € afin de permettre notamment l'engagement des marchés de travaux d'aménagement de la propriété LAPORTE, qui seront notifiés d'ici la fin de l'exercice. Sont également inscrits au chapitre 21, les crédits nécessaires au paiement de l'acquisition à la SCI Brunetière du terrain AW72, située en bordure du lez. Il faut enfin ajouter 15 000 € de crédits au chapitre 16 de dépenses pour amortissement des emprunts, l'un d'entre eux (contracté en 2011) ayant été prévu au budget avec une échéance annuelle, au lieu de trimestrielle.

Le chapitre 13 de recettes est augmenté de 28 000 € pour encaissement de l'emprunt à taux 0% accordé à la CAF dans le cadre de la crèche des Nymphéas. Diverses corrections sont effectuées au niveau des crédits de recettes au chapitre 13 (suite aux notifications des subventions d'investissement par les divers organismes) et aux chapitres 10 et 27 (diminution du chapitre 10 et augmentation équivalente du chapitre 27) pour constatation de la 'IVA non pas par le biais du FC'I'VA mais directement par ERDF pour les travaux concernant le réseau électrique. Le chapitre 10 est également diminué, par prudence, de 200 000 €, l'encaissement attendu de TLE étant plus faible que prévu à fin novembre : ces taxes seront encaissées et constatées comptablement en 2013. Le chapitre 024 de produit des cessions mobilières et immobilières doit également être diminué de 500 000€, la plupart des cessions prévues au budget ne devant être finalisées qu'en 2013.

Les écritures d'ordre concernent notamment la constatation des travaux en régie effectués dans l'exercice. Il s'agit de valoriser ces travaux, en prenant en compte d'une part les fournitures achetées et d'autre part les heures de travail effectuées par les services techniques pour leur réalisation, et de les transférer dans le patrimoine de la Ville. Cela consiste à enregistrer une recette d'ordre en section de fonctionnement (au chapitre 042), ce qui permet d'améliorer l'autofinancement, et une dépense d'ordre en section d'investissement (au chapitre 040), permettant de valoriser le patrimoine des travaux réalisés.

Les écritures d'ordre patrimoniales inscrites aux chapitres 041, dépenses et recettes concernent notamment la constatation des acquisitions à titre gratuit. Ces écritures s'équilibrant toutes en dépenses et en recettes, elles viennent gonfler le budget mais n'affectent en rien la trésorerie.

La Décision Modificative s'équilibre à 113 783,36 € en dépenses et en recettes:

 

DEPENSES DE FONCTIONNEMENT

 

Chap.                                    Libellé                                                      VOTE

014                                   Atténuation de produits                              -3 700,00 65                             Autres charges de gestion courante                31 000,00 Total des dépenses de gestion courante                                          27 300,00

67                             Charges exceptionnelles                                108 283,36 Total des dépenses réelles de fonctionnement                             135 583,36 023                      Virement à la section d'investissement              271 000,00 Total des dépenses d'ordre de fonctionnement                            271 000,00 TOTAL DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT                     406 583,36

 

RECETTES DE FONCTIONNEMENT

 

chap.                                    Libellé                                                       VOTE

70         Produits des services, du domaine et ventes diverses    106 000,00 73                              Impôts et taxes                                                240 700,00 74                         Dotations et participations                                    -64 100,00 Total des recettes de gestion courante                                           282 600,00 Total des recettes réelles de fonctionnement                                 282 600,00 042              Opérat° ordre transfert entre sections                        123 000,00 Total des recettes d'ordre de fonctionnement                                123 000,00 R 082                RESULTAT REPORTE OU ANTICIPE                        983,36 TOTAL DES RECETTES DE FONCTIONNEMENT                      486 583,36

 

DEPENSES D' INVESTISSEMENT

chap.                                      Libellé                                              VOTE

20             Immobilisations incorporelles (sauf204)                     357 500,00

21                        Immobilisations corporelles                               128 600,00

23                        Immobilisations en cours                                  -990 400,00 Total des dépenses l'équipement                                                 -504 300,00 16                        Emprunts et dettes assimilées                             15 000,00     Total des dépenses financières                                                       15 000,00

040          Total des dépenses réelles d'investissement             -489 300,00 040          Opérat° ordre transfert entre sections                        123 000,00 041                   Opérations patrimoniales                                       73 500,00 Total des dépenses d'ordre l'investissement                               196 500,00 TOTAL DES DEPENSES D'INVESTISSEMENT                      -292 800,00

 

                        RECETTES D'INVESTISSEMENT

chap.                         Libellé                                                                VOTE

13            Subventions l'investissement (hors 138)                        -28 000,00 16           Emprunts et dettes assimilées (hors 165)                        28 000,00 20                      Immobilisations incorporelles (sauf 204)               37 200,00 23               Immobilisations en cours                                                30 000,00               Total des recettes l'équipement                                          67 200.00

10    Dotations, fonds divers et réserves (hors 1068)                  -258 000,00 1068     Excédents de fonctionnement capitalisés                                    0,00 27                 Autres immobilisations financières                               53 500,00 024            Produits des cessions d'immobilisations                     -500 000,00 Total des recettes financières                                                          -704 500,00 Total des recettes réelles l'investissement                                     -637 300,00 021      Virement de la secte de fonctionnement                             271 000,00 041             Opérations patrimoniales                                                 73 500,00 Total des recettes d'ordre l'investissement                                      344 500,00 TOTAL DES    RECETTES D'INVESTISSEMENT                       -292 800,00

 

DELIBERATION

Dans ces conditions, il est demandé au Conseil Municipal de bien vouloir adopter la Décision Modificative n°1 de l'exercice 2012.

 

4. BUDGET 2012 - ADMISSION EN NON-VALEUR DES CREANCES IRRECOUVRABLES

 

Monsieur Christian QUIOT, Adjoint aux Finances expose : Le Trésor Public est chargé du recouvrement des titres de recettes émis par la Commune.

Lorsque ce recouvrement s'avère impossible (liquidations judiciaires, surendettement, changement d'adresse, ..), le Trésor Public demande à la Commune de se prononcer sur le caractère irrécouvrable de ces créances.

L'admission en non-valeur a seulement pour effet d'alléger la comptabilité du comptable assignataire et n'implique pas que le recouvrement soit abandonné. Elle se traduit par une dépense dans la comptabilité de l'ordonnateur.

Le Conseil municipal est donc invité à se prononcer sur le caractère irrécouvrable de titres de recettes émis par la Commune entre 1991 et 2012 qui se répartissent de la manière suivante :

1991              4 573,48 €

 1999                628,09 €

 2004                202,30 €

 2005                365,75 €

 2006                766,67 €

 2007                510,00 €

 2008                879,84 €

 2009                  16,88 €

 2010                  52,39 €

 2011                 32,85€

 2012                 25,52€

Les motifs de présentation en non-valeur sont les suivants :

 - Clôture insuffisance actif sur Redressement Judiciaire Liquidation Judiciaire pour 2 créances d'un montant de 200,00 €

 - Combinaison infructueuse d'actes pour 12 créances d'un montant de 6 503,62 €

 - Créance minime pour 33 créances d'un montant total de 220,37 €

 - Courrier revenu avec la mention ''N'habite Pas A l'adresse Indiquée'' et demande renseignements négatifs pour l créance d'un montant total de 170,00€ .

- Poursuites sans effet pour 17 créances d'un montant total de 427,23 €

 - Procès-verbal de carence pour 2 créances d'un montant total de 143,75 €

 - Procès-verbal perquisition et renseignements négatifs pouf 3 créances d'un montant total de 388,80 €.

 

Délibération

 

Il est proposé au Conseil Municipal de bien vouloir :

 - admettre en non-valeur les produits irrécouvrables qui lui sont présentés,

 - autoriser la réalisation de la dépense de 8 053,77 € en résultant qui sera prélevée sur les crédits ouverts à cet effet dans le budget de l'exercice 2012.

 

5. BUDGET 2013 - AUTORISATION D'ENGAGER LIQUIDER, MANDATER DES DEPENSES D'INVESTISSEMENT AVANT LE VOTE DU BUDGET PRIMITIF 2013

 

 Monsieur Christian QUIOT, Adjoint aux Finances expose :

Le budget primitif 2013 ne sera pas adopté avant fin mars 2013 .

Afin de permettre la continuité de la gestion communale, et conformément à l'article L.1612-1 du Code général des collectivités territoriales, le Conseil municipal peut autoriser Monsieur le Maire, jusqu'à l'adoption du budget, à «  engager, liquider et mandater des dépenses d'investissement, dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l'exercice précédent ».

Le montant des dépenses d'équipement prévu au budget primitif 2012 était de :

Chapitre 20 . , . . .. . . . . . . . . . . . . .   179 600 €

Chapitre 204 . . . . . . . . . . . . . . . . . . .207 400 €

 

Chapitre 2 l . . . . . . , . . . . . . . . . . .2 955 000 €

Chapitre 23 . . . . . . . . . . .. ......      6 082 000 €

Le Conseil municipal est donc invité à adopter le montant de dépenses autorisé. avant le vote du Budget Primitif 2013, hors reports. selon la répartition suivante : Chapitre 20 . , . . . .... ... ... .. . ...45 000 €

Chapitre 204. . . . . . .. . . . . . .   .51 000 €

Chapitre 21 .... . . . . . . . . . . . . 730 000 €

Chapitre 23 . . . . . . . . . .. . . . l 520 000 €

 

6. DEPOT D'UNE PLAINTE POUR DIFFAMATION A L'ENCONTRE DE MONSIEUR GERARD CLAPAREDE -AUTORISATION D'ESTER EN JUSTICE

 

Monsieur le Maire expose :

Je vous propose de prendre une délibération indiquant que le Conseil municipal constituant la Commune de Castelnau-Le-Lez, entend régulariser une plainte pour diffamation dans le cadre de la loi du 29 juillet 1881 à l'encontre de Monsieur Gérard CLAPAREDE, au regard des publications effectuées par ce dernier au travers de son site internet «  gerardclaparede.fr » lequel met en cause les décisions du Conseil municipal, sachant qu'est diffamatoire le fait d'affirmer :

* Dans une lettre à Jean-Pierre GRAND publiée sur ledit site le 11 octobre 2012 : «  .. . Promoteurs... d'ailleurs pour lesquels ils ne rencontrent jamais de difficultés pour construire leurs bâtiments. »

 * Dans un projet de compte rendu du 5 octobre 2012 toujours publié sur le même site : «  ... Délivrance aux permis de construire aux promoteurs sans transparence et favorisant les grands groupes de BTP ».

*  Dans un discours en date du 5 octobre 2012 publié sur le même site le 11 octobre 2012 : « ... L'avenue de l'Europe a certaines parcelles classées inconstructibles toutefois cela dépend qui est le propriétaire. Cela peut évoluer. D'autres se voient en zone classée à 200%, exemple l'ancien restaurant hôtel Le Romarin qui s'est vu tous ses permis à fin d'agrandissement refusés, jusqu'à ce qu'il cède et le vende à un promoteur, il n’était  pas dans les petits papiers du maire, qui, lui, protège ses amis promoteurs. Aussitôt vendu, aussitôt bâti. »

«  Entre le centre commercial Intermarché et la rue du Clos des Chênes, il y a la parcelle UPS, parcelle vendue aux promoteurs. C'est une entreprise qui va quitter notre ville, une de plus, et être remplacée par un immeuble. Les propriétaires de villas situées à proximité verront leurs biens dévalués. Ces personnes ne verront plus le soleil sans parler du vis-à-vis. Devinez qui était le propriétaire. »

      « … La 113 était le premier pôle commercial sur les environs de MONTPELLIER, aujourd'hui, on en est loin. Il nous attire les chômeurs professionnels, les trafiquants, fait monter le taux de délinquance, le taux de chômage dans notre ville avec l'aide de ses amis socialistes. »

   «  ... Un petit exemple d'ordre du jour du Conseil municipal du 25 juin 2012. Acquisition à titre gratuit d'une partie de la parcelle AR 121, intégration domaine public communal SCCV  L'OPALIA, un cadeau empoisonné, les espaces verts vont être payés par les concitoyens de CASTELNAU et non par le promoteur, qui sont vraiment les rois à CASTBLNAU LE LEZ.

Tout leur est favorable. S'il avait donné cette parcelle avant le permis de construire, c'était 200 m² habitable en moins dont cette parcelle ne remplit plus les conditions. Elle dépasse les 200%. »

    *  Dans un article intitulé « vos villas menacées. .. Castelnauviens ou la théorie des dominos » mis en ligne le mardi 4 décembre sur le même site : «  . .. La technique urbanistique néohausmanienne utilisée est simple, c'est celle de la théorie des dominos. Le bon maire GRAND et ses «  copains » les promoteurs immobiliers y jouent assidument en parfaite entente. »

« …Un promoteur immobilier bien informé par le maire des projets privés de ventes des particuliers, n'a donc plus qu'à acheter un bon prix la première villa en vente du quartier (i1 peut se le permettre,  il se rattrapera avec les appartements vendus) la démolir, bâtir un immeuble qui écoeure les voisins qui a leur tour, cernés par de grands murs en béton de 15m de haut et la promiscuité d'immeubles, n'ont plus qu'à vendre et chercher ailleurs un endroit plus calme. Le tour est joué. » «  . . . Et, actuellement avec la modification prévue du PLU qui va être mise à l'en-tête publique fin 2012 - début 2013, c'est à de nouveaux quartiers que le bon maire et ses amis entendent s'attaquer en augmentant conséquemment leur COS constructible pour continuer leur petit jeu de «  société » passionnant, vrai jeu de massacre mais... si juteux. »

Je vous propose que le Conseil municipal en tant que co-constitué, décide :

* De régulariser une plainte en diffamation à l'encontre de Monsieur Gérard

CLAPAREDE ;

* De déposer une plainte pour discrimination au visa des articles 225.1 et 225.2 du Code Pénal, toujours à l'encontre de Monsieur Gérard CLAPAREDE ;

* D'habiliter Monsieur Jean-Pierre GRAND, en sa qualité de Maire pour ce faire, et de désigner la SCP SCHEUER VERNET & ASSOCIES, l, Place Alexandre Laissac - 34000 MONTPELLIER en qualité d'Avocat pour représenter la Commune de Castelnau-le-Lez et son Maire.

 

7. AIRE D'ACCUEIL DES GENS DU VOYAGE - SIGNATURE D'UNE CONVENTION ENTRE LA COMMUNE ET LE CCAS - AT'I'RIBUTION D'UNE SUBVENTION DE FONCTIONNEMENT POUR L'EXERCICE 2012

 

 Madame Pierrette MIENVILLE, Premier Adjoint expose :

 L'aire d'accueil des gens du voyage des communes de Castelnau-le-Lez, Clapiers, Jacou et Le Crès, dont la gestion a été confiée au Centre Communal d'Action Sociale (C.C.A.S.) de Castelnau-le-Lez, a ouvert le 9 juillet 2012.

Après ces quelques mois de fonctionnement, le Centre Communal d'Action Sociale (C.C.A.S.)

de Castelnau-le-lez dispose d'une meilleure visibilité sur le budget annexe de ce service. Il s'avère aujourd'hui que le compte administratif prévisionnel de l'exercice 2012 fait apparaître un besoin de financement de 32 080€ dont la charge doit être répartie entre les quatre communes au prorata de leurs populations légales en début d'exercice. La part revenant à la Ville de Castelnau-le-lez s'élève à 14 763,77 €.

Les conditions de financement de l'aménagement de l'aire d'accueil des gens du voyage avaient été fixées par une convention du 19 mars 2007 entre les quatre communes concernées.

Les conditions de gestion de l'aire d'accueil des gens du voyage, et notamment la répartition des charges induites, doivent également être actées, par la signature d'une convention entre le Centre Communal d'Action Sociale (C.C.A.S.) de Castelnau-le-Lez et la ville de Castelnau-le-Lez.

 

                                        DELIBERATION

 

Dans ces conditions, il est demandé au Conseil Municipal de bien vouloir approuver:

- le versement d'une subvention de 14 763,77 € au budget annexe ''aire d'accueil des gens du voyage'' du Centre Communal d'Action Sociale (C.C.A.S.) pour l'exercice 2012. Les crédits nécessaires ont été inscrits à la Décision Modificative examinée ce jour.

- la signature d'une convention entre le Centre Communal d'Action Sociale (C.C.A.S.) de Castelnau-le-lez et la ville de Castelnau-le-lez.

 

8. TRAVAUX A L'EHPAD LES MURIERS - AUTORISATION DE CONTRACTER UN EMPRUNT AUPRES DE LA CAISSE D'EPARGNE - AVIS DU CONSEIL MUNICIPAL

 

Madame Pierrette MIENVILLE, Premier Adjoint au Maire expose : Le C.C.A.S. de Castelnau-le-lez lance un programme de travaux, ayant pour objet la mise en conformité des réseaux eau chaude et eau froide. sanitaire, la mise en place d'une 2ième chaudière et d'un groupe électrogène pour L'EHPAD « les Mûriers ».

L'opération sera financée par emprunt.

Conformément aux dispositions de l'article L 2121-34 du Code Général des Collectivités Territoriales, la délibération du Conseil d'Administration du Centre Communal d'Action Sociale ne sera exécutoire qu'après avis conforme du Conseil Municipal.

Après consultation de plusieurs établissements bancaires, il s'avère que les conditions de prêt proposées par la Caisse d'Epargne sont les plus intéressantes.

Les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse d'Epargne sont les suivantes : Prêt à taux fixe classique amortissement progressif.

Montant : 300 000,00€

 Durée : l 0 ans.

Taux : 3,70%

Frais de dossier : 0,20%

 Mise à disposition des fonds : 4 mois après la signature du contrat.

 

Il est donc demandé au Conseil Municipal de bien vouloir émettre un avis favorable à la souscription d'un emprunt par le Centre Communal d'Action Sociale, auprès de la Caisse d'Epargne, pour un montant de 300 000,00 €

 

9. CENTRE COMMUNAL D'ACTION SOCIALE - SUBVENTION COMPLEMENTAIRE POUR L'EXERCICE 2012

 

Madame Pierrette MIENVILLE, Premier Adjoint expose : La Ville attribue chaque année au Centre Communal d'Action Sociale (C.C.A.S.) une subvention de fonctionnement permettant à celui-ci d'exercer ses compétences. Par délibération du 19 mars 2012, le Conseil Municipal a adopté un montant de subvention de 530 000 € pour l'exercice 2012.

Le C.C.A.S. a adopté depuis février 2008 des dispositions d'aide sociale facultative pour l'accession au logement, et notamment le versement d'une aide, versée en seule fois à la signature de l'acte notarial, aux primo accidents remplissant certaines conditions de revenus.

Cette aide peut s'élever jusqu'à 5 000 € par bénéficiaire. Le nombre de dossiers éligibles et de demandeurs est impossible à estimer par le C.C.A.S. en début d'année et il s'avère, aujourd'hui, que le supplément de dépenses engendrées par le dispositif d'aide aux primo accidents s'élève à 15 000 € Aussi, il est nécessaire d'accorder une subvention complémentaire au C.C.A.S. d'un montant de 15 000 €, ce qui portera la subvention au C.C.A.S. pour 2012 de 530 000€ à 545 000€

                                  

DELIBERATION

 

Dans ces conditions, il est demandé au Conseil Municipal de bien vouloir adopter le versement d'une subvention complémentaire de 15 000 € au Centre Communal d'Action Sociale (C.C.A.S.). Les crédits nécessaires ont été inscrits à la Décision Modificative examinée ce jour.

 

10. DELEGATION DU SERVICE PUBLIC DE LA FOURRIERE AUTOMOBILE - CONVENTION ENTREPRISE ATTARD DEPANNAGE EURL

 

Monsieur le Député-Maire rappelle au Conseil que par délibération du 17 septembre 2012, le conseil a décidé la délégation du service public de fourrière automobile pour cinq ans.

Il a été procédé à la publication d'un avis d'appel à la concurrence dans le Midi Libre du 24 octobre 2012.

La date limite de réception des candidatures a été fixée au l5 novembre 2012.

Une offre conforme a été reçue et acceptée.

La négociation avec l'entreprise ATTARD - DEPANNAGE EURL, nous conduit à proposer à l'approbation du conseil, les tarifs suivants :


                                                 Voitures Particulières                        Autres Véhicules

* Opération d'enlèvement             1 13,00 € TTC                           45,70 € TTC . Opérations préalables                    15,20 € TTC                             7,60 € TTC

 * Frais de garde pour 24 heures       6,00 € TTC                             3,00 € TTC

 La ville versera au garage ATTARD - DEPANNAGE EURL une somme forfaitaire de 1 13,00 € TTC pour l'enlèvement et la garde du véhicule épave, dont le propriétaire ne peut pas être identifié en attendant que le véhicule soit détruit.

Monsieur le Député-Maire propose au Conseil de l'autoriser à signer la convention avec l'entreprise ATTARD - DEPANNAGE EURL.

 

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 21:21

En préambule, voici les 2 questions posées à la fin du Conseil Municipal .  

 

  Question écrite  N°1 envoyée  le 7 Novembre 2012   

Monsieur Le Maire, Mesdames, Messieurs les Conseillers

Monsieur le Maire,

Dans le Plan Local d’Urbanisme de 2007, vous avez classé la zone de l’Opération d’Aménagement Prioritaire Jean Fournier, d’environ 60 000m²,  en zone UB. Ce classement a pour effet de rendre  constructible cette zone avec un  Coefficient d’Occupation des Sols important (C.O.S = 1.5). Or le périmètre de cette O.A.P inclut en particulier deux équipements sportifs que sont  les terrains de tennis et le terrain de foot.

Envisagez vous, Monsieur le Maire de vendre le terrain de foot pour réaliser une opération immobilière ? Sinon pourquoi ne pas  avoir  classé ces deux équipements sportifs en zone UP comme pour le Palais des Sports ? ( zone qui correspond aux équipements publics) .


  Réponse du Maire : Il cite encore une fois le P.L.U que je connais. Il rajoute qu’il avait l’intention de construire un groupe scolaire dans cette zone. Il a même précisé que s'il avait vendu tous ces terrains, Castelnau n'aurait plus de dette. Cette dernière remarque prouve bien qu'il avait envisagé de vendre tous les équipements sportifs, ce que confirme le classement en zone UB.  Il tente de cacher qu’il avait l’intention de vendre le stade de foot et les terrains de tennis pour construire un complexe sportif ailleurs. 

Notre maire change souvent d'avis, ce nouvel exemple le confirme.


Question écrite N°2 envoyée  le 7 Novembre 2012

 Monsieur Le Maire, Mesdames, Messieurs les Conseillers

 Mercredi 31 Octobre, le  Canard enchainé titre : « A Montpellier, les bijoux restent dans la famille ». L’article fort précis rapporte une affaire qui a couté au contribuable de l’Agglomération probablement plus de 5millions d’Euros. Or nous avons déjà deux marques commerciales, une de la région « Sud de France » et l’autre de la ville de Montpellier « Montpellier la surdouée ».

D’autre part,  le journal rappelle que la société « Sens inédit » qui a remporté les deux marchés est très bien introduite dans le milieu politique régional et que son patron est le compagnon de la directrice du développement économique de l’agglomération.
Or, je note que vous avez voté le Jeudi 29 Mars 2012, la hausse du taux de la taxe d’habitation de l’Agglomération et soutenu le 30 Octobre ce budget communication à ce même conseil d’Agglomération pour la campagne « Montpellier unlimited ».

Le journal conclut qu’il semblerait qu’il y ait un conflit d’intérêts manifeste.

Monsieur le Maire, comptez-vous retirer votre vote et ne plus commettre Castelnau-Le-lez dans cette sombre affaire sauf à paraître complice de ces manœuvres quasi dolosives ?

De plus, M. le maire vous n'êtes pas sans savoir que les marchés publics avec cette société ayant été signés et mis en oeuvre par le président Mourre bien avant que son assemblée compétente, son conseil d'administration auquel vous participez, n'ait donné son accord par délibération transmise au Préfet, ces marchés sont nuls et non avenus en droit et la délibération du 26 octobre 2012  ne peut en rien les régulariser. Je vais saisir de cette question Monsieur le Préfet de l'Hérault, en soulignant en plus que pour ce qui vous concerne , vous ne vous représentiez pas vous même en toute indépendance, mais la commune de Castelnau le lez et son conseil municipal dont vous n'êtes que l'exécutif.


  Réponse du Maire : Il ne tente même pas de justifier son vote au conseil d’agglomération. Il me répond que je n’ai qu’a écrire au préfet. Sa réponse est courte et sans explication. Ma connaissance du milieu politique  local me permet d’avancer une autre analyse plus politicienne qui explique d’ailleurs, sa longévité politique. Depuis 30 ans, il vote comme le veut le président de l’Agglomération, ce qui lui permet de neutraliser les socialistes à Castelnau-le-lez. Le 29 Mars, 24 représentants socialistes du conseil de Montpellier avaient voté contre la hausse du taux de la taxe d’habitation, il aurait pu voter comme eux ou s’abstenir. Il ne l’a pas fait, au contraire.

A la fin du conseil, il a avoué avoir voté au conseil d’agglomération pour la contribution foncière des entreprises, sans  penser que cela engendrerait de telles hausses. Il confirme ce que je pense depuis longtemps. Il est incompétent, puisqu’il ne sait pas, contrairement à ce qu’il affirmait pendant sa campagne électorale, évaluer la conséquence de ses votes.

 

1. CONVOCATION   AU CONSEIL DES DECISIONS DU MAIRE

 

M. le Maire communique au Conseil les décisions qu'il a prises en application des dispositions des Articles L- 2122.22 et L- 2 122.23 du Code Général des Collectivités Territoriales par délégation du Conseil municipal depuis la séance du 17 SEPTEMBRE 2012.

 

2. CONTRAT DE PARTENARIAT PUBLIC PRIVE - APPROBATION DE L'AVENANT N°3 DE TRANSFERT DU CONTRAT

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE Adjoint au Maire délégué à L'Urbanisme Travaux communaux et Développement durable expose :

La Ville de Castelnau-le-lez a signé, en date du 27 octobre 2006, avec la société CEGELEC Sud- Est (immatriculée au RCS d'Aix en Provence sous le numéro 438 050 551), un contrat de partenariat ayant pour objet la conception, la réalisation, le préfinancement, l'exploitation, la gestion et le renouvellement des installations nécessaires à la mise en lumière et à l'éclairage public.

Le contrat d'une durée de quinze ans, porte sur quatre types de prestations : la fourniture de l'énergie (poste dit G1), la maintenance des installations (poste dit G2), le renouvellement des installations - programmé ou non s'il s'agit de remplacements du fait de vandalisme ou accidents - (poste dit G3), les travaux préfinancés (poste dit G4).

 

Par courrier du 6 août 2012, la société CEGELEC Sud Est a annoncé à la Ville la fiscalisation des activités de son agence ''Infrastructures et Tertiaire'' faisant l'objet d'apports partiels d'actifs emportant transfert universel de patrimoine à la société CEGELEC Infra et Tertiaire Sud Est, Société par Actions Simplifiée, immatriculée au RCS d'Aix en Provence sous le numéro 537 915 738. A l'issue des apports partiels d'actifs, diverses opérations de fusion absorption ont abouti à ce que l'unique actionnaire de la société CEGELEC Infra et Tertiaire Sud Est soit la société Vinci Energies France Sud Est.

L'ensemble des actifs, personnels, droits et obligations relevant de l'agence Infrastructures et tertiaires de CEGELEC Sud Est sont transmis à la société CEGELEC Infra et Tertiaire Sud Est, qui se substituera à CEGELEC Sud Est dans l'ensemble des biens, droits et obligations de celle-ci, résultant des contrats conclus par celle-ci pour l'agence considérée, contrats au nombre desquels se trouve le contrat de partenariat.

L'article 9.1 du contrat de partenariat précise que toute cession partielle ou totale du contrat est soumise à accord préalable de la collectivité.

 

Il convient, par conséquent, d'approuver par la signature d'un avenant N°3 le transfert du contrat à la société CEGELEC Infra et Tertiaire Sud Est, Société par Actions Simplifiée, immatriculée au RCS d'Aix en Provence sous le numéro 537 915 738.

 

Mon vote :abstention      La majorité : pour             La gauche :abstention

 

 

3. APPROBATION DU DECLASSEMENT DU DOMAINE   PUBLIC COMMUNAL   DE LA PARCELLE CS 15- AVENUE BLAISE PASCAL

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint au Maire délégué à l'Urbanisme, Travaux communaux et Développement durable expose : Il est proposé au Conseil Municipal d'approuver le déclassement du domaine public de la parcelle CS 15 représentant une superficie totale de 66 m²

La parcelle objet de ce projet de déclassement, située avenue Blaise Pascal dans le Parc d'activités " La garrigue " était réservée pour l'implantation d'un transformateur EDF lors de la création du lotissement.

Or, les services d'ERDF confirment par courrier du 25 septembre 2012 la levée de réserve faite sur cet emplacement lors de la construction du lotissement.

Elle constitue donc aujourd'hui un délaissé générant une obligation d'entretien pour la commune.

L'objectif poursuivi par la Commune consiste à déclasser cette parcelle en situation de délaissé, en vue de sa cession au propriétaire riverain afin d'agrandir son terrain.

Après avoir entendu l'exposé de Monsieur le Maire, il est proposé au Conseil Municipal :

D'approuver le déclassement du domaine public de la parcelle CS 15

D'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette procédure.

 

Vote :Unanimité

 

COMMENTAIRES : zone 2UE, C.O.S = 0.5, hauteur maxi 10m, R+2

 

4. CESSION A TITRE ONEREUX DE LA PARCELLE CS 15 - AVENUE BLAISE PASCAL SCI BIJAOUI

 

Monsieur Frédéric LARFFORGUE, Adjoint au Maire délégué à l'Urbanisme, Travaux communaux et Développement durable expose :

 La parcelle CS 15   d'une superficie de 66 m² est située Avenue Blaise Pascal dans la Parc d'Activités " La Garrigue " Monsieur ALLOUCHE, gérant de la SCI BIJAOUI (Entreprise VIP) demeurant 420, Avenue Blaise Pascal à CASTELNAU LE LEZ riverain de cette parcelle a émis le souhait d'acquérir cette parcelle dans le but d'agrandir sa propriété, permettant ainsi de réaliser un projet d'extension de son activité.

Cette parcelle est classée en zone 2UE du Plan Local d'Urbanisme, zone d'activité.

La présente cession porte sur une superficie de 66 m² telle que définie dans le plan annexé.

L'estimation du service des domaines N°2012-057V1650 du 24 septembre 2012 définit une valeur foncière de 56€/m2 soit une valeur globale de 3 700 € .

 

Après avoir entendu l'exposé de M. Le Maire, il est proposé au Conseil Municipal : - D'approuver la cession à titre onéreux de la parcelle cadastrée CS 15 pour une superficie de 66 m² et une valeur foncière de 3 700 € suivant estimation du Service des Domaines, à Monsieur ALLOUCHE Gérard demeurant 420, Avenue Blaise Pascal 34170 CASTELNAU LE LEZ ;

D'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette cession à titre onéreux.

 

Mon vote : Abstention   La majorité :pour           La gauche : abstention


COMMENTAIRES : 56€/m2 soit une valeur globale de 3 700 € .Ceci me parait peu !Mais il faut tenir compte du fait que ce terrain ne peut être cédé qu'aux deux voisins.

Valeur marchande normale : 300 x 0.5x 66 = 9900€


5.PARTICIPATION  POUR VOIRIE ET RESEAUX PARCELLE CL 305

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint au Maire délégué à l'Urbanisme, Travaux communaux et Développement durable expose :

Les dispositions des articles L. 332-1 1-1 et suivants du Code de l'urbanisme dorment la possibilité d'instituer une participation pour voirie et réseaux en vue de financer en tout ou en partie la construction des voies nouvelles ou l'aménagement des voies existantes ainsi que l'établissement ou l'adaptation des réseaux qui leur sont associés, lorsque ces travaux sont rêalisés pour permettre l'implantation de nouvelles constructions.

 

La loi précise que pour chaque voie, le conseil municipal précise les études, les acquisitions foncières et les travaux à prendre en compte pour le calcul de la participation, compte tenu de l'équipement de la voie prévu à terme. Peuvent être fiancés les études, les acquisitions foncières et les travaux relatifs à la voirie ainsi que les réseaux d'eau potable, d'électricité et d'assainissement.

Les études, les acquisitions foncières et les travaux relatifs à la voirie comprennent l'éclairage public, le dispositif d'écoulement des eaux fluviales et les éléments nécessaires au passage des réseaux souterrains de communication.

 

Par délibération N° 2004/12-19 du 16 décembre 2004, le Conseil municipal a instauré le principe de cette participation pour voirie nouvelle et réseaux sur le territoire de la commune de Castelnau-leLez.

 

Dans ce cadre, la société SA HECTARE représentée par Monsieur Max Portales. 75, Les Portes Domitiennes BP 30020. 34741 Vendargues cedex a déposé une demande de permis de construire N°03405712M0044 le 06 août 2012 concernant la réalisation de 11 logements sur la parcelle cadastrée CL 305, développant 492 m² et située 755, Avenue de l'Europe à Castelnau Le Lez. Cette demande de permis de construire a donné lieu à une consultation d'ERDF le 10 août 2012.

Le 14 septembre 2012, ERDF a rendu un avis suite à la consultation opérée et considère qu'une extension du réseau électrique est nécessaire pour alimenter le projet. Le chiffrage de la contribution relative à l'extension hors du terrain d'assiette de l'opération a été réalisé à partir du barème approuvé par la Commission de régulation de l'Energie le 07 janvier 2010, avec application de la réfaction tarifaire (part du coût pris en charge dans le tarif d'utilisation des réseaux publics de distribution d'électricité) selon l'arrêté du   17 juillet 2008.

 

La réforme opérée dispose d'une alternative permettant de faire supporter par le propriétaire du terrain ou des ayants droits (promoteurs) la charge complète ou partielle du coût des extensions de réseau rendues nécessaires. La commune de Castelnau- Le- Lez juge opportun d'organiser ce système qui implique l'établissement d'une PVR pour des multiples raisons concordantes :

 Tout d'abord, cette modalité organise en fait et en droit le maintien d'un financement accepté par l'ensemble des acteurs, promoteurs, EDF, collectivités et contribuables.

 

Ensuite et à défaut, le système concoure à faire financer par la collectivité et le contribuable l'équipement propre à un programme immobilier au lieu de l'intégrer dans l'économie générale du projet immobilier. La PVR est à considérer à ce titre comme un outil de justice fiscale Considérant que l'extension du réseau électrique, au sens du décret N°2007-1280 du 28 août 2007 relatif à la consistance des ouvrages de branchement et d'extension des raccordements aux réseaux publics d'électricité prévus emportent une dépense totale d'un montant prévisionnelle 13.332,10 € HT

 

Pour information, en application de l'arrêté du 17 juillet 2008 fixant les taux de réfaction mentionnés dans l'arrêté du 28 août 2007 fixant les principes de calcul de la contribution mentionne aux articles 4 et 18 de la Loi N°2000-108 du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l'électricité, le taux de réfaction assumé par ERDF s'élève à 40 % du coût global de l'opération Il est précisé que les équipements à réaliser sont exclusivement destinés à permettre l'implantation de nouvelles constructions sur le site d'emprise de 492 m² constitué de tout ou partie de la parcelle cadastrée CL 305, desservi de sorte qu'il se voit imputer la totalité du coût net prévisionnel des équipements projetés, taux de réfaction déduit (40%   à la charge d'ERDF)

Il est également précisé que les voies et réseaux considérés ne sont pas compris dans le programme d'équipements publics d'une zone d'aménagement concerté créée en application de l'article L. 311 -1 ou d'un programme d'aménagement d'ensemble créé en application de l'article L. 332-9. A ce titre, aucune exonération ne sera donc à envisager.

 

En dernier lieu il est rappelé que le paiement de la PVR est généré par la délivrance du permis de construire. Conformément à l'article L 332-28 du Code de l'urbanisme, le montant et la date du versement de la PVR seront explicitement prévus dans l'arrêté de permis de construire.

 

Vote :Unanimité


6. DEPLACEMENT DOUX - REMPLACEMENT DE MADAME LE DAIN AU SEIN DU COMITE CONSULTATIF DE SUIVI

 

Monsieur le Maire expose ;

 Le comité consultatif de suivi présidé par Madame Catherine BOCOGNANO, Adjoint aux Déplacements Doux et à la Prévention Routière comprend des membres de l'assemblée municipale et des représentants d'associations locales désignés par le conseil municipal sur proposition du Maire le 28 février 2011   .

Suite à la démission de conseil municipal de Madame Anne-Yvonne LE DAIN, il manque un représentant du conseil au sein des membres du comité consultatif de suivi.

Madame Dominique NURIT nous a informé de sa volonté de remplacer Anne-Yvonne LE DAIN dans cette instance.

Considérant qu'il y a lieu de remplacer Madame Anne-Yvonne LE DAIN au sein du comité consultatif de suivi, je vous propose de désigner Madame Dominique NURIT en qualité de représentant du conseil municipal au comité consultatif de suivi pour les Déplacements Doux.

   

Vote :Unanimité

Commentaire: Je souhaite bonne chance à Madame NURIT. Il y a eu accord entre le maire et les socialistes pour qu'elle remplace A.Y Le Dain. Le comité des déplacements doux a du travail car il ne suffit pas de faire des pistes cyclables encore faut il qu'elles soient bien construites et bien entretenues, ce qui n'est pas le cas à Castelnau. Les cyclistes qui  parcourent l'Avenue de L'Europe depuis le Crès jusqu'au centre de Castelnau savent  à quoi s'en tenir. Les piétons  sont  logés à la même enseigne. Les personnes âgées qui parcourent à pied, le trottoir rénové de l'avenue Aristide Briand  maudissent ce tobbogan "casse pate". Notre maire a voulu  écarter les écologistes de ce comité, nous aurons  l'occasion de lui démontrer qu'il a fait un mauvais choix.

 

Madame NURIT a posé une question écrite  au maire concernant la suppression par l'Agglomération de la station vélomag au Sablassou et Place du général De Gaulle. Le maire lui a répondu qu'il avait reçu un courrier de l'agglomération à ce sujet. L'agglomération précise qu'il y a trop de vandalismes dans les stations vélomag et que seules celles de Montpellier sont conservées.

7. PERSONNEL COMMUNAL   MODIFICATION DES MONTANTS DES INDEMNITES VERSEES AUX ASSISTANTES MATERNELLE DU SERVICE D'ACCUEIL REGULIER FAMILIAL,

 

Madame Nathalie LEVY, Adjoint au Maire expose ;

 Par deux délibérations successives en dates des 8 février et 8 novembre 2007, le Conseil Municipal a mis en application les nouvelles conditions d'agrément, de formation, d'emploi et de rémunération des assistantes maternelles employées par la commune au sein du service d'Accueil Régulier Familial (SARF).

Ce dispositif a été adopté en application de la loi du 27 juin 2005, des décrets des 29 mai et 14 septembre 2006.

 

Le système de rémunération défini par ces textes s'articule autour de diverses indemnités :

* L'indenmité de garde, versée à l'heure, sur la base des forfaits d'accueil mensualisés établis pour les enfants dont l'assistante maternelle a la charge.

* L'indemnité d'entretien et de nourriture, versée à l'heure, sur la base des forfaits d'accueil mensualisés établis pour les enfants dont l'assistante maternelle a la charge.

* L'indemnité pour heures supplémentaires, due lorsque l'amplitude journalière de travail de l'assistante maternelle excède 45 heures par semaine.

* L'indemnité d'attente, versée pendant quatre mois, en cas de départ d'un enfant non imputable à l'assistante maternelle et ne pouvant transitoirement pas faire l'objet d'un remplacement.

* L'indemnité d'absence pour maladie de l'enfant, versée à l'assistante maternelle dès le premier jour d'absence pour maladie ou hospitalisation de l'enfant, justifiée par un certificat médical.

 

Les assistantes maternelles ont sollicité au cours des derniers mois l'examen par la collectivité des possibilités d'évolution de leur situation salariale afin d'obtenir une meilleure couverture maladie et retraite.

 

Cette demande est légitime. En effet, le cadre légal national régissant la rémunération des assistantes maternelles est extrêmement favorable aux professionnelles en activité, mais leur est très défavorable en cas de maladie ou de départ en retraite.

 

Pour répondre aux souhaits des assistantes maternelles communales il est apparu au terme d'une analyse détaillée que la revalorisation éventuelle devait porter sur l'indemnité de   maladie et retraite.

 

Par ailleurs, et eu égard à la mise en oeuvre des dispositions prévues par les délibérations susvisées, cette augmentation doit simultanément s'accompagner d'un ajustement du montant de l'indemnité d'entretien et de nourriture.

 

Cette opération tendant à répondre à une demande générale et collégiale des assistantes maternelles ne peut être accomplie dans des proportions identiques car l'indemnité de garde est versée dans des conditions plus larges et donne lieu à l'application d'un régime spécifique de cotisations tant salariales que patronales.

 

Il est proposé au Conseil Municipal d'adopter les dispositions suivantes :

 

VU le code de l'action sociale et des familles ;

VU le code du travail ;

VU le code de la santé publique ;

VU le code général des collectivités territoriales ;

VU le code général des impôts ;

VU la loi N°78-49 du 19 janvier 1978 relative à la mensualisation et à la procédure conventionnelle ;

 VU la loi N°84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale ;

VU la loi N°2005-706 du 27 juin 2005 relative aux assistant maternels et aux assistants familiaux ',

VU La délibération du Conseil Municipal N°2007/02-12 en date du 8 février 2007 portant sur la rémunération des assistantes maternelles en crèche familiale ;

VU la délibération du Conseil Municipal N°2007/11 -13 en date du 8 novembre 2007 portant sur la rémunération des assistantes maternelles ;

VU la demande écrite des assistantes maternelles en date du 23 mars 2012 parvenu le 2 avril 2012   ;

VU le courrier en date du 15 octobre et remis le 16 octobre 2012 ;

 

 Après examen et en avoir délibéré,

 

FIXE les dispositions suivantes à compter du 1er décembre 2012 :

 1. Indemnité de garde

D'un montant actuel de 2,64 € / heure de garde, il est proposé de revaloriser cette indemnité à 2,95 € / heure de garde. Les conditions de versement de cette indemnité demeurent conformes aux deux délibérations antérieures.

2. Indemnité d'entretien et de nourriture

Actuellement regroupées en une seule indemnité, l'entretien et la nourriture donnent lieu au versement d'une indemnité de 0,99 € / heure. Il est proposé de dissocier désormais l'indemnité d'entretien et l'indemnité de nourriture et de porter celles-ci aux montants suivants :

 

 o Indemnité d'entretien : 0,33 € / heure. Ce montant est défini par les textes, en application d'un taux de 85% du mininum garanti, calculé sur la base d'une journée de 9 heures. Il fera donc l'objet d'une revalorisation en cas d'augmentation du minimum garanti.

o indemnité de nourriture : 0,33 € / heure.

Les conditions de versement de ces indemnités sont inchangées.

3. Indemnité pour heure supplémentaire

 L'indemnité pour heures supplémentaires correspond à une majoration de 25% de l'indemnité de garde. De ce fait, la revalorisation de l'indemnité de garde entraîne naturellement revalorisation de l'indemnité pour heures supplémentaires. Il est proposé que celle-ci, actuellement d'un montant de 3,30 € , s'élève désormais à 3,69 € .

Les conditions de versement de cette indemnité sont inchangées.

Le montant et les modalités de versement de l'indemnité d'attente et de l'indemnité d'absence pour maladie de l'enfant ne font l'objet d'aucune modification.

 

DIT que les crédits induits par cette décision seront inscrits au budget communal de l'exercice 2012 et suivants, au chapitre « Charges de Personnel »

 

Vote :Unanimité

 

8. PERSONNEL COMMUNAL   - PARTICIPATION MUNICIPALE A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE

 

Monsieur le Maire rappelle : A la fin du second trimestre de cette année, par délibération N°2012/06-19 en date du 25 juin 2012, la commune, après examen du Conseil et en avoir délibéré, a décidé d'une part de mettre en place la procédure permettant aux collectivités territoriales de contribuer à la protection sociale complémentaire des agents municipaux, pour le volet Prévoyance, afin de couvrir le risque incapacité du travail et d'autre part de se joindre à la procédure de mise en concurrence pour le risque prévoyance que le CDG a engagé conformément à l'article 25 de la loi N°84-53 du 26 janvier 1984.

 

Ainsi, le résultat devait permettre d'apprécier l'offre retenue suite à la consultation menée par le CDG 34, et, à partir de là, déterminer l'intérêt ou non, pour la commune de souscrire à celle-ci sous la forme définie, c'est-à-dire la convention de participation.

Les résultats des tarifs et garanties proposés et le choix du dispositif à mettre en oeuvre ne permettent pas de s'engager dans une procédure de convention de participation susceptible de présenter un avantage, notamment tarifaire, substantiel.

 

Dans ces conditions, la commune de Castelnau-le-Lez dans le cadre du principe de libre administration de chaque collectivité, tout en maintenant une aide foncière pour la couverture du risque complémentaire prévoyance, au titre de l'incapacité de travail (plus souvent dénommé " maintien de salaire " a décidé d'octroyer une participation via le dispositif de labellisation.

 

Monsieur le Maire propose au Conseil Municipal d'adopter les dispositions suivantes :

 VU le code général des collectivités territoriales ;

VU la loi N°083-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires ;

VU la loi N°84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale ;

 VU le décret N°201 1-1474 du 8 novembre 2011   relatif à la participation des collectivités territoriales et de leurs établissements publics au financement de la protection complémentaire de leurs agents ;

 VU la délibération du Conseil Municipal N°2012/06-19   en date du 25 juin 2012 portant sur la participation municipale à la protection sociale complémentaire ;

VU l'avis du Comité technique Paritaire de la commune de Castelnau-le-lez qui s'est réuni à l'occasion de la séance du 29 octobre 2012 ;

 CONSIDERANT la position de la commune de Castelnau-le-Lez quant au montant de la participation dans le cadre de la protection sociale complémentaire en application des textes susvisés ;

 Après examen et en avoir délibéré,

 DECIDE, dans le domaine de la Prévoyance, après avoir recueilli l'avis du Comité Technique Paritaire, que la commune participe au financement de la protection sociale complémentaire pour le risque Incapacité des contrats et règlements

labellisés auxquels les agents municipaux choisissent de souscrire, et ce, sans aucune obligation de leur part.

APPROUVE le dispositif de la participation municipale au financement de la protection sociale complémentaire des agents à compter du 1er Janvier 2013.

DECIDE d'adopter le montant mensuel de la participation municipale et de le fixer à 10€   par agent :

DIT que les crédits induits par cette décision seront inscrits au budget communal de l'exercice 2013 et suivants, au chapitre « Charges de Personnel » 

 

Vote :Unanimité


9. MAISON DES ARTS - DENOMINATION DE LA MAISON DES ARTS JEANINE NAPOLEON

 

Monsieur Daniel GREPINET, Adjoint au Maire délégué à la Culture expose : Madame Jeanine NAPOLEON, nous a quitté le printemps dernier à 8 l ans.

Elle a eu la joie d'être maman de trois filles et s'est consacrée donc a une vie familiale bien remplie, elle a participé de façon très active à l'animation artistique et culturelle de sa ville.

Elle se lance dans la vie associative au sein de l'Association " les Peintres de Castelnau le Lez " à partir de 1984.

La ville a offert, en 1989, la possibilité à Madame NAPOLEON d'utiliser la demeure de la famille CHETARD, peintres depuis plusieurs générations pour installer la " Maison des Arts " afin de développer plusieurs activités : peintures, pastel, dessin, émaux sur cuivre, patchwork mais aussi la littératures pour tous. Un atelier pour les enfants y a aussi trouvé sa place. Pour ce faire, elle a su s'entourer de peintres, de professeurs, d'animateurs .... Pour n'en citer que quelques-uns : Madame

MOKKEDEM, Madame BOMPART, Madame BLANCHE DE MEIRIGNAC, Madame FAUCON,

Monsieur GUARDIA, Monsieur VENTURA et bien d'autres ....

Considérant le travail qu'elle a fourni pour le développement de la vie artistique et culturelle de Castelnau le Lez, Monsieur Daniel GREPINET propose au conseil de donner à la Maison des Arts le nom de Jeannine NAPOLEON qui a largement contribué à sa création.

 

 

 

 Vote :Unanimité


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 22:57

 

A la fin du  compte rendu du conseil, vous pourrez lire les questions écrites que j'ai posées et les réponses du maire. A vous de juger!

Pour une fois, il y avait beaucoup de monde dans l'assistance,preuve que la modification du P.LU est un sujet sensible. Le maire ,comme à son habitude, a monopolisé la parole pour nous raconter qu'il a changé d'avis à propos de l'urbanistion du Clos de l'Armet.Hier , il était en campagne électorale.

Je lui ai proposé un débat contradictoire devant les castelnauviens. Il a refusé au prétexte que cela me ferait de la publicité!


2. AVIS SUR LES PROGRAMMES DU PROJET REGIONAL DE SANTE

- Programme Interdépartemental d'accompagnement du handicap et de la perte d'autonomie

- Programme d'accès à la prévention et aux soins des personnes les plus démunies              

- Programme relatif au développement de la télémédecine                     

- Programme Régional de la gestion du risque

 

   Vote :  Unanimité:

 

3. TAXE SUR LA CONSOMMATION FINALE D'ELECTRICITE - ACTUALISATION DU COEFFICIENT MULTIPLICATEUR

Suite à la loi du 7 décembre 2010, la taxe sur la consommation finale d'électricité est établie par rapport à un barème (0,75 euros par mégawattheure pour toutes les consommations d'une puissance inférieure ou égale à 36 kilovoltampères et 0,25 Euros par mégawattheure pour les installations d'une puissance comprise entre 36 et 250 kilovoltampères) sur lequel les collectivités locales et leurs groupements ont la possibilité de déterminer un coefficient multiplicateur (allant de 0 à 8).

Par ailleurs, à compter de 2012, le coefficient multiplicateur en vigueur en 201l peut être actualisé en proportion de l'indice moyen des prix à la consommation hors tabac établi pour l'année précédente par rapport au même indice établi pour l'année 2009. Les montants qui en résultent sont arrondis à la deuxième décimale la plus proche.

La décision du Conseil Municipal doit être adoptée avant le 1er octobre pour être applicable l'année suivante. L'actualisation doit faire l'objet d'une nouvelle délibération tous les ans.

En     2011 le coefficient multiplicateur en vigueur à Castelnau-le-lez était égal à la multiplication par 100 du taux en valeur décimale appliqué au   31 décembre 2010, soit 8.

En 2012, le coefficient multiplicateur actualisé s'élevait à 8, 12.

En 2013, le coefficient multiplicateur actualisé sera égal à 8,28 calculé de la façon suivante : coefficient maximum (égal à 8) multiplié (par l'indice moyen des prix à la consommation (IPC) hors tabac en   2011 (122,22) et divisé par indice moyen des prix à la consommation (IPC) hors tabac en 2009 (   118.04)

 Je vote contre.          La majorité : pour                        La gauche : contre

COMMENTAIRES: Les hausses d’impôts s’accumulent et les salaires ne suivent pas. 

4. DELEGATION DU SERVICE PUBLIC DE LA FOURRIERE AUTOMOBILE AVENANT DE PROLONGATION DU CONTRAT ACTUEL ET LANCEMENT D'UNE  PROCEDURE DE DELEGATION SIMPLIFIEE

M. le Maire propose au Conseil :

- De décider la délégation de la gestion du service public de fourrière automobile pour cinq ans en précisant que c'est l'exécution matérielle de la décision de mise en fourrière qui sera déléguée, à savoir l'enlèvement, la garde et la restitution du véhicule.

Le contrat à passer avec le gestionnaire privé fixera les conditions générales techniques et financières d'exploitation.

Pour le cas où le propriétaire du véhicule est inconnu, introuvable ou insolvable, c'est souvent le cas pour les épaves automobiles, la ville assurera une rémunération au délégataire qui sera prévue forfaitairement dans les dispositions contractuelles.

- De l'autoriser à lancer la procédure de délégation du service publie en application des dispositions contenues à l'article L 1411   .12 du Code Général des Collectivités Territoriales.

- De l'autoriser à signer un avenant de prolongation de la convention du 1er octobre 2007 pendant le déroulement d'une nouvelle consultation, afin d'assurer une continuité du service public.

Il est précisé que le gardien de fourrière retenu devra être agréé par le Préfet de l'Hérault.

Vote pour à l'Unanimité                     

5. PRESCRIPTION DE LA MODIFICATION DU PLAN LOCAL D'URBANISME

 

NOTICE EXPLICATIVE DE SYNTHESE (Troisième Modification du PLU)

 

 ELEMENTS DE PROCEDURE.

 

Le Conseil municipal a pu approuver  par une délibération du 29 juin 2007, la révision du Plan local d'urbanisme sur l'ensemble du territoire communal. Le Plan Local d'urbanisme a ensuite été modifié par des délibérations des 28 février 2011 (ZAC extension du Parc Euréka ) et 27 mai 2011.

 

Selon les dispositions de l'article L123-13 du Code de l'urbanisme, « Le plan local d'urbanisme est modifié ou révisé par délibération de l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale ou, dans le cas prévu par le deuxième alinéa de l'article L. 123-6 du conseil municipal après enquête publique réalisée conformément au chapitre III du titre II du livre Ier du code de l'environnement.

La procédure de modification est utilisée à condition que la modification envisagée : a) Ne porte pas atteinte à l'économie générale du projet d'aménagement et de développement durables mentionné à l'article L. 123-1-3 ;

b) Ne réduise pas un espace boisé classé, une zone agricole ou une zone naturelle et forestière ou une protection édictée en raison des risques de nuisance de la qualité des sites, des paysages ou des milieux naturels ;

 

 c) Ne compose pas de graves risques de nuisance.

 

Le projet de modification est notifié, avant l'ouverture de 1' enquête publique réalisée conformément au chapitre III du titre II du livre Ier du code de l'environnement, au préfet, au président du conseil régional, au président du conseil général et, le cas échéant, au président de l'établissement public prévu à l'article L 122-4 ainsi qu'aux organismes mentionnés à l'article L 121-4.

 

Conformément à l'article L123-10 du Code de l'urbanisme le projet de plan local d'urbanisme arrêté sera soumis à enquête publique réalisée conformément au chapitre III du titre II du livre Ier du code de l'environnement par le président de l'établissement public de coopération intercommunale ou dans le cas prévu par le deuxième alinéa de l'article L-123-6, le maire. Le dossier soumis à l enquête comprendra, en annexe, les avis recueillis en application des articles L. 121-5, L. 123-8, L. 123-9, et, le cas échéant, du premier alinéa de l'article L. 123-6.

 

Après l'enquête publique réalisée conformément au chapitre III du titre II du livre Ier du code de l'environnement le plan local d'urbanisme, éventuellement modifié pour tenir compte des avis qui ont été joints au dossier, des observations du public et du rapport du commissaire ou de la commission d'enquête, sera soumis à l'approbation par délibération de l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale ou, dans le cas prévu par le deuxième alinéa de l'article L. 123-6, du conseil municipal.

 

La notice explicative de synthèse adressée à chacun des membres du Conseil municipal en vertu de l'article L 2121-12 du Code Général des Collectivités Territoriales est annexée à la présente.

 

OBJET. TENEUR DE CETTE MODIFICATION.

 

Au stade liminaire de la prescription de la procédure de modification par le Conseil municipal, les objectifs de la procédure de modification consistent notamment:

 - à modifier la règlementation applicable au secteur 3UB situé dans le quartier du «  Mas de Rochet » et structuré autour de l'Avenue G. Frèche afin d'adapter les règles du Plan local d'urbanisme au projet d'aménagement intéressant le site des anciennes carrières ;

 - à acter la caducité des servitudes inscrites sur les deux périmètres de l'Ilot Charles- de-Gaulle (secteur 5UB) et du secteur du Mas de Rochet (secteur 3UB) en vertu de l'article L123-2 du Code de l'Urbanisme.

- à opérer des modifications mineures au règlement du PLU en vue d'une clarification et/ou d'une optimisation de ses dispositions:

* A préciser, concernant les zones UA, UB (tous secteurs), UC (secteurs UC 1, UC 11, UC 111 et UC IV), UD (tous secteurs) Article 2 que l'obligation de réaliser 27 % de logement social prescrite en application du 16° de l'article L-123-1-5 du Code de l'Urbanisme s'applique de façon globale à l'ensemble du programme quand le projet est réalisé sous forme d'opérations d'ensemble (ZAC, lotissement.. .) et/ou

en cas de division d'une propriété foncière non soumise à la procédure de lotissement.

* Secteurs UB et 1UB. Article 2 : Adapter et préciser la notion de profondeur minimale  des locaux en rez de chaussée réalisés le long des voies publiques majeures repérées aux documents graphiques comme « linéaires d'activités ».

Pour mémoire, ces locaux doivent obligatoirement être affectés à des commerces, bureaux ou service, activités artisanales ou équipements publics. Il s'agit de tenir compte des caractéristiques de construction (épaisseur des bâtiments, parties communes) et des besoins réels inhérents à ces typologies de locaux.

* Secteurs UB et 1UB Article UB12: Supprimer l'obligation de réaliser le portail au nu de la façade car cette exigence apparait incompatible avec l'exigence de retrait de ce portail valant pour des raisons de sécurité (stockage de véhicule/stationnement sur parcelle et non sur espace de trottoir.

. Secteurs 1UB et UB, Zones UC, UD, et UE. Article 12 Stationnement: Préciser la

teneur de l'obligation de prévoir, dans les opérations d'ensemble, des places supplémentaires et en dehors de l'emprise foncière à usage de «  parking visiteurs »

 * Zones UB Article 7.2 Insérer au règlement la dérogation aux règles d'implantation des constructions par rapport aux limites séparatives concernant les ouvrages de faible importance nécessaires au fonctionnement des services publics ou réalisés dans un but d'intérêt collectif pour des motifs techniques, de sécurité ou de fonctionnement de l'ouvrage.

* Zones UA, UC, UD, UE, UP, OAU, IAU, A et N. Articles 6 et 7 (et Article 8 pour zone A): Ajouter les « abris conteneurs déchets » dans la liste indicative des ouvrages de faible importance nécessaires au fonctionnement des services publics ou réalisés dans un but d'intérêt collectif. La considération de ces ouvrages justifie des implantations différentes de celles fixées en principe par rapport aux limites séparations et aux voies et emprises publiques.

* Adapter les règles du PLU afférentes aux conditions de mise en place en toiture des panneaux solaires et photovoltaïques.

* Adapter les règles du PLU afférentes à l'aspect extérieur des constructions en ce qui concerne la hauteur des acrotères en cas de réalisation de toiture terrasse.

 

- à préciser que, en application des articles L 123-1-1 1 et R 123-10 du Code de l'urbanisme, le règlement de plan local d'urbanisme prévoira explicitement que, dans les zones où ont été fixées un ou des coefficients d'occupation des sols, si une partie a été détachée depuis moins de 10 ans d'un terrain dont les droits à construire résultant de l'application du coefficient d'occupation des sols ont été utilisés partiellement ou en totalité il ne peut plus être construit que dans la limite des droits qui n'ont pas déjà été utilises.

- à préciser dans le règlement du PLU que la commune souhaite explicitement appliquer les dispositions de l'article R 123-10 -1 Code de l'Urbanisme disposant que, dans le cas d'un lotissement ou dans celui de la construction sur une unité foncière ou sur plusieurs unités foncières continues de plusieurs bâtiments dont le terrain d'assiette doit faire l'objet d'une division en propriété ou en jouissance, le règlement du plan local d'urbanisme peut s'opposer à ce que l'ensemble du projet soit apprécié au regard de la totalité de ses règles. Ces règles du PLU s'appliqueront ainsi construction par construction dans toutes les zones du PLU.

- A faire apparaître sur les documents graphiques du PLU, conformément à l'article R 123-11 du Code de l'Urbanisme, des immeubles, monuments et sites à protéger pour des motifs culturels ou historique.

- A réactualiser le PLU pour intégrer de nouvelles protections:

* Décret 2010-1255 du 22 octobre 2010 classant la commune de Castelnau Le Lez en zone de sismicité 2 (faible)

 * Intégration de la nouvelle délimitation AOC « Coteaux du Languedoc » approuvée par le décret 2009-1339 du 29 octobre 2009.

* Réactualiser le rapport de présentation du PLU pour intégrer la protection de la «  Glacière » par servitude d'utilité publique AC1 Site inscrit au titre de la protection des monuments historiques (arreté préfectoral du 19.08.2010)

. Réactualiser le rapport de présentation du PLU pour faire état de l'approbation du Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des eaux (SDAGE) par arrêté préfectoral du 17 décembre 2009.

 

- à créer un emplacement réservé sous maîtrise d'ouvrage communale sur la parcelle cadastral BB 147 située dans le secteur du Centre historique (Zone UA) superficie 344 m²

 - A supprimer différents emplacements réservés communaux rendus caduques par réalisation de leur objet  - A intégrer au PLU une servitude d'utilité publique de protection contre les obstacles applicables autour de centres radioélectricien et sur le parcours de faisceaux hertziens, conformément au Décret N°IOCG1O20652D du 20 septembre 2010 ;

 - à compléter le PLU, conformément à l'article R 123-12 du Code de l'Urbanisme, par  une cartographie des zones et secteurs dans lesquels, en application du 16° de l’article L123-1-5 du Code de l'Urbanisme, en cas de réalisation d'un programme de logements, un pourcentage de ce programme doit être affecté à des catégories de logements qu'il définit dans le respect des objectifs de mixité sociale (en l'occurrence, logements locatifs sociaux)

 

- A corriger un certain nombre d'erreurs matérielles :

* Rectifier la désignation graphique des lotissements ayant maintenu leurs règles (plan de zonage)

* Rectifier une erreur matérielle commise dans la procédure de modification du PLU approuvée par délibération du 26 mai 2011 : Le règlement de la zone UC omet d'abaisser le seuil d'assujettissement à l'obligation de réalisation de logements sociaux sur le secteur UC IV. (règlement Page 102)

* Unifier la désignation des « linéaires d'activités » dans le règlement et les plans de zonage du PLU ',

* Lexique : Préciser la définition de l'opération d'aménagement.

* Lexique : Préciser la définition de la Surface de plancher et supprimer la définition de la surface hors Ouvre nette (SHON).

* Lexique : Ajouter la définition de l'acrotère.

 

- à intégrer au PLU la notion de « surface de plancher » remplaçant la surface hors Ouvre nette (SHON) suite à l'entrée en vigueur de l'ordonnance N°2O1 1-1539 du 16 novembre 2011.

Ces objectifs pourront être complétés ultérieurement et avant arrêt du projet, dans la limite des conditions fixées par l'article L123-13 du Code de l'urbanisme.

 

.  

Questions posées : Y aura-t-il uniquement une enquête publique ? Réponse du maire : OUI

 Pourra-t-on faire des propositions avant l’enquête publique ? Réponse du maire : Un oui sans conviction

Quelle va être la durée ? Réponse du maire : Un mois

 

COMMENTAIRES: La modification proposée au conseil va être mise à l’enquête publique. Il manque des précisions sur  la zone 3UD du projet « Mas de Rochet ». Il faudra voir ce que propose le projet. Quoiqu’il en soit cette modification ne résoud rien. Elle ouvre de nouvelles zones à l’urbanisation et essaie de palier aux lacunes du Plan Local d’Urbanisme en vigueur sans changer les règles qui permettraient de l’améliorer. La modification proposée n’est  pas acceptable.

J’ai proposé au maire un débat contradictoire devant les castelnauviens sur la modification du P.L.U. Il a refusé au prétexte que cela me ferait de la publicité.

Comme je l’ai dit ce soir au conseil,  les élections se joueront sur la vision urbanistique du candidat à la mairie. Cette vision sera définie par le Plan Local d’Urbanisme (P.L.U) proposé.

Ce soir, au conseil, le maire nous a raconté des balivernes. J’avais envie de rire, c’était pour moi du « grand Guignol » Manifestement , il m’a démontré ce soir qu’il ne maitrise  pas le sujet. Je rappelle que 14 articles, écrits par ses services, précisent la réglementation associée à chaque  zone.

 

-         Article 1 : Occupation et Utilisation des sols interdites.

-         Article 2 : Occupation et Utilisation du sol soumises à des conditions particulières.

-         Article 3 : Accès et voiries.

-         Article 4 : Desserte par les réseaux.

-         Article 5 : Superficie minimale des terrains constructibles.

-         Article 6 : Implantation des constructions par rapport aux voies et emprises publiques.

 

Voici un extrait de l’Article 6 de la zone UA «Toute saillie de la façade sur le domaine public, est autorisée à partir du deuxième étage. Elle est au plus égale à 0,80m » 

Cet article a été appliqué Avenue A Briand.

-         Article 7 : Implantation des constructions par rapport aux limites séparatives.

-         Article 8 : Implantations des constructions les unes par rapport aux autres sur une même propriété.

-         Article 9 : Emprise au sol

-         Article 10 : Hauteur des constructions

-         Article 11 : Aspect extérieur

-         Article 12 : Stationnement

-         Article 13 : Espaces libres et Plantations

-         Article 14 : Coefficient d’Occupation des Sols (C.O.S)

-          

 Par exemple, c’est lui qui délimite les zones, c’est encore  lui qui définit les 14 articles de chaque zone. L’Article 6 définit l’implantation des constructions par rapport aux voies, l’Article10 les hauteurs des constructions, l’Article 12 le stationnement, L’Article14 le C.O.S.

 

Conseil : Dans le cadre de l’enquête publique , je conseille aux castelnauviens d’écrire des propositions à soumettre au commissaire enquêteur. Je ferai des propositions que je mettrai sur le livre ouvert à cet effet en mairie.

 

 

Je vote pour le principe de la modification car elle va permettre aux castelnauviens de pouvoir s’expprimer. 

 La majorité : pour                       La gauche :  Abstention

                     

6. Articles L 128-1 ET L 128-2 DU CODE DE L'URBANISME - AUTORISATION DE DEPASSEMENT DU COEFFICIENT D'OCCUPATION DES SOLS POUR LES CONSTRUCTIONS REMPLISSANT DES CRITERES DE PERPORMANCE ENERGETIQUE OU COMPORTANT DES EQUIPEMENTS DE PRODUCTION D'ENERGIE RENOUVELABLE - DELIBERATION N° 2007/06-11 DU 29 JUIN 2007 - ABROGATION

Je vote pour            La majorité : pour               La gauche :Abstention              

 

 

7. CHEMIN DES PINS - ACQUISITION A TITRE GRATUIT DE LA PARCELLE CC 104 -

INTEGRATION DANS LE DOMAINE PUBLIC COMMUNAL - CONSORTS MERCIER

Vote : Unanimité                     

 

8. TRANSFERT D'OFFICE DE VOIES PRIVEES DANS LE DOMAINE PUBLIC COMMUNAL - APPROBATION APRES ENQUETE PUBLIQUE

  Vote : Unanimité                     

                     

                   

9. CESSION A TITRE ONEREUX D UNE PARTIE DE LA PARCELLE COMMUNALE    CD 232 - APPROBATION DU PRINCIPE DE MISE EN CONCURRENCE FONCIERE DE   SON REGLEMENT DE CONSULTATION ET CAHIER DES CHARGES DE CESSION

Mon vote : Abstention .    La majorité :  pour           La gauche :Abstention 

                     

COMMENTAIRES: Le règlement du cahier des charges de cession empêche de bâtir plusieurs habitations sur cette parcelle de 1460m²classée en zone UD (cos = 0.3). J'aii fait remarquer au maire que c’est en contradiction avec le règlement de la zone UD. Il m’a répondu que c’est inscrit dans le cahier des charges et donc qu’il peut définir une obligation contractuelle.

Pourquoi le cahier des charges annonce t-il une SHON 360m² au lieu de  438m² ? Apparemment il y a un « lézard » dans sa réponse . Il m’a dit que c’était à cause du vide !

Remarque : Cette parcelle est voisine du Parc Laporte, du centre aéré, de l’école maternelle, de l’école Primaire et peu éloignée de la ligne 2 du tram.

Pourquoi ne pas faire 8 logements  sociaux dans cette parcelle ? Je rappelle que la loi prévoyait 20% de logements sociaux. Nous avons un déficit de 10% et  nous devrons payer chaque année 600 000€ de pénalités à cause de l’imprévoyance de notre maire qui n'a pas appliqué suffisamment tôt  la loi votée depuis 1995.

 

10. PERSONNEL COMMUNAL - MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS

CATEGORIE C (HORS FILIERE TECHNIQUE)

Vote : Unanimité                     

Aucun commentaire :

 

12. PERSONNEL COMMUNAL - CONTRAT D'APPRENTISSAGE

Vote : Unanimité                     

 Aucun commentaire :

 

11. PERSONNEL COMMUNAL   - ECHELON SPECIAL - CATEGORIE C (HORS FILIERE

TECHNIQUE)

Vote : Unanimité                     

Aucun commentaire :

               

 

13. PERSONNEL COMMUNAL - NON RECONDUCTION CONVENTION D'ADHESION AU SERVICE MEDECINE PREVENTIVE DU CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE DE L'HERAULT

Vote : Unanimité                     

Aucun commentaire 

 

 

 

   Question écrite  N°1 envoyée  le 13  Septembre 2012 

 

Monsieur Le Maire, Mesdames, Messieurs les Conseillers

Monsieur le Maire, vous avez accordé fin 2011, un permis de démolir concernant le bâtiment en pierre de Castries qui abrite encore  l’agence immobilière Place C De Gaulle. Le PLU permettant de construire dans cet îlot  un grand immeuble de 29 m de haut (R.C + 8 niveaux), pouvez vous Monsieur le Maire, nous éclairer sur vos projets concernant l’urbanisation  future de cet îlot ?

Réponse du maire: Au lieu de répondre précisément à ma question,
il me lit le réglement du PLU que je connais.
Manifestement ma question l'embarrasse, il ne veut pas parler
du projet qu'il nous prépare.

 

 

   Question écrite N°2 envoyée  le 13 Septembre 2012

 

Monsieur Le Maire, Mesdames, Messieurs les Conseillers

 Depuis la fin des travaux au centre ville, plusieurs riverains de l'avenue J Jaurès et de la rue A Thomas sont inondés. 

Monsieur le maire, en observant les photos de l’orage du jeudi 6 Septembre 2012 (publiées sur mon blog) vous  constaterez, que le réseau  pluvial fonctionne à l'envers. Les bouches du réseau rejettent l'eau  sur la chaussée au lieu de la capter.

  De plus, nous avons constaté que les fondations de l’immeuble en construction, à la place de la Sécurité Sociale, ont retenu lors de ce dernier orage,  les eaux de la rue de la  Gardie. Nous pouvons donc conclure que lorsque l’immeuble sera achevé, les eaux de la Gardie se déverseront dans l’Avenue J Jaurès, ce qui entrainera une élévation du niveau de l’eau et des inondations plus importantes.

Comment comptez vous Monsieur le Maire, résoudre  ce problème au plus vite ?

En ce qui concerne la sécurité des piétons, le ralentisseur implanté au niveau du 16 Avenue J Jaurès est inefficace . Quelle solution envisagez vous pour améliorer la sécurité?

 

Réponse du maire: Il nie la réalité du problème. Pour lui , c'est normal que l'Avenue soit envahie par l'eau quand il pleut.

Pour la sécurité il a dit que les ralentisseurs étaient suffisants et qu'au contraire ils canalisaient l'eau.

Il n'y a pas eu moyen de continuer. Il est complétement fermé à toute proposition. Il ne veut pas reconnaitre qu'il s'est planté.


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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 21:03

En début de conseil Monsieur le Maire annonce qu’il reporte la démolition de l’Espace Rencontre et de la bibliothèque. J’étais le seul conseiller à m’être opposé à ces travaux pharaoniques inutiles. En fait,  la ville est surendettée et les banques ne veulent plus suivre, voila la seule explication de ce report. Quoiqu’il en soit, c’est pour moi  une première victoire qui justifie mon analyse de la situation financière. Le maire recule  mais il a refusé de répondre sur le P.L.U qui est le point central de l’urbanisation.

A la fin du compte rendu, vous trouverez les questions écrites que j’ai posées devant le conseil.

 

 

 2. FINANCES - ADOPTION DU COMPTE ADMINISTRATIF DE L'EXERCICE 2011

Je vote contre .  La majorité : pour            La gauche :abstention   

                     

Mes COMMENTAIRES devant le conseil : Les informations générales fournies par l’Etat sont édifiantes pour juger de votre gestion Monsieur le Maire. Je constate que par rapport à 2010 les comptes se sont dégradés.

Cela ne m’étonne pas car vous  auriez pu économiser 4M€ ces 3 dernières années. Je prendrai 2 exemples. La maire de Montpellier a dépensé 500 000€ pour refaire la Comédie par conséquent on pouvait refaire la place du marché pour 500 000€.Je rapppelle que la place du marché nous a couté plus de 2M€ et  les  travaux du vieux village 2.5M€.

Je vais simplement commenter les pourcentages qui  indiquent une mauvaise gestion de la ville. En gras dans la colonne du centre les pourcentages qui permettent de comparer Castelnau-le-lez par rapport à la moyenne des villes comparables.

 

Informations financières –ratios donnés par l’Etat

Valeurs de Castelnau en € donnés par l’Etat et pourcentages par  comparaison aux villes comparables

Moyennes nationales des villes comparables en €

Ou en  pourcentages

Produit des impositions directes/ habitant

856 €       soit       +68,5%

             508€

Dépenses d’équipement brut/habitant

484€        soit       +59,2%

            304€

Encours de dette/habitant

2100€       soit      +118.5%

             961€

Coefficient de mobilisation du potentiel fiscal

150.3%    soit       +70.98%

             87,9%

Dépenses d’équipement brut/ Recettes réelles de fonctionnement

35.5%      soit       + 53%

             23.2%

Encours de dette/ recettes réelles de fonctionnement

154.1%     soit     +109,94%

            73.4%

 

 

3. FINANCES - BILAN DES ACQUISITIONS ET CESSIONS FONCIERES 2011

 

Aucun vote. Le Maire passe vite.


COMMENTAIRE: Dans le tableau des ventes, je relève des cadeaux aux promoteurs par exemple rue des Perrières parcelle CM 382 et 383 à PEGASE pour 1€. C’est un scandale !

10 rue Jules Ferry au groupe AMEHA une partie des parcelles 123 et124 pour une contenance de 405m² vendue 365 000€ alors que lors d’une première vente, le conseil avait vendu au même promoteur 310m² de ces mêmes parcelles pour les même prix. J’en déduis qu’on a perdu 100 000€ sur ce coup.

On est loin des qualificatifs de la campagne de notre maire: Compétent, libre et expérimenté

 

4. FINANCES - AFFECTATION DEFINITIVE DES RESULTATS DE L'EXERCICE 2011

Mon vote : Abstention    la majorité:  pour     la gauche: abstention                      

 

5. FINANCES - ADOPTION DU COMPTE DE GESTION DE L'EXERCICE 2011


Mon vote : Abstention   la majorité:  pour     la gauche: abstention                      

 

6. AIRE D'ACCUEIL DES GENS DU VOYAGE - CONVENTION GESTION      

 

Vote unanimité 

 

7.ATTRIBUTION D'UNE SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A LA SECTION AEROBIC DU COLLEGE FREDERIC BAZILLE ET A DEUX JEUNES CASTELNAUVIENS POUR LEUR PROJET

 

Vote unanimité 

 

8. LOI PORTANT MAJORATION DES DROITS A CONSTRUIRE - MODALITES DE CONSULTATION PREALABLE DU PIJBLIC – APPROBATION

 

Vote unanimité


COMMENTAIRE Je suis contre l’application de cette loi. Il est très important que les castelnauvien(nes) se déplacent pour remplir les cahiers qui seront mis à disposition. A mon avis il y a deux arguments: La voirie et les réseaux ne sont pas prévus pour.

 

9. AVENUE DE L'EUROPE - ACQUISITION A TITRE GRATUIT PARTIE DE LA PARCELLE AR 121 - INTEGRATION DOMAINE PUBLIC COMMUNAL – SCCV L'OPALIA

 

Vote unanimité

 

10. INSTITUTION D'IJNE PARTICIPATION SPECIFIQUE POIJR VOIRIE ET RESEAUX PARCELLE CK 276

 

Vote unanimité

 

11. CHEMIN DES PINS - ACQUISITION A TITRE ONEREUX DE 2/10ième INDIVIS DE LA PARCELLE CD 306 APPARTENANT A MONSIEUR LOPEZ ET MADEMOISELLE DELPONT

 

Vote unanimité

 

12. OUVERTURE DE L'ACCUEIL DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT MATERNEL VERT PARC

 

Vote unanimité

 

13. LOCAL " LES ARCADES " AUTORISATION DU CONSEIL MUNICIPAL AU MAIRE DE DEPOSER UNE DEMANDE D'AUTORISATION D'URBANISME EN APPLICATION DES ARTICLES L 2121-29 ET L 2122-21 DU CODE GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L'ARTICLE R423-1 DU CODE DE L'URBANISME

 

Vote unanimité

 

14. PROPRIETE " GRAND PARC " - AUTORISATION DU CONSEIL MUNICIPAL AU MAIRE DE DEPOSER UNE DEMANDE D'AUTORISATION D'URBANISME EN APPLICATION DES ARTICLES L 2121-29 et L2122-21 DU CODE GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L'ARTICLE R 423-1 DU CODE DE L'URBANISME

 

Vote unanimité

 

15. SIGNATURE D'UNE CONVENTION AVEC L'AGENCE LOCALE DE L'ENERGIE DE MONTPELLIER - AUTORISATION DU CONSEIL MUNICIPAL AU  MAIRE DE SIGNER LA CONVENTION

 

Vote unanimité

 

16. ORGANISMES EXTERIEURS - SOCIETE PUBLIQUE LOCALE D'AMENAGEMENT SAAM - AUGMENTATION DE CAPITAL - RETRAIT DE LA DELIBERATION N° 2011/09-07 BIS DIJ 8 SEPTEMBRE 2011

 

Vote unanimité

 

COMMENTAIRE devant le conseil :Je vous avais suggéré Monsieur le Maire de retirer ce point de l’ordre du jour lors du conseil du 9/07/11 car la procédure ne respectait pas le code des collectivités territoriales. Vous n’avez pas voulu suivre mes conseils. Monsieur le maire, il va falloir réviser le code des collectivités territoriales.Vous avez affirmé pendant la campagne que vous étiez compétent.

 

17. LUTTE CONTRE LES INONDATIONS - PROTECTION CONTRE LES INONDATIONS DANS LA VALLEE DE LA MOSSON - EXTENSION DE COMPETENCE – TRANSFERT A LA COMMUNAUTE D'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER DE LA COMPETENCE DES COLLECTIVITES – APPROBATION

 

Vote unanimité

 

18. PERSONNEL COMMUNAL - MODIFICATION DU  TABLEAU DES EFFECTIFS

 

Vote unanimité

 

19. PERSONNEL COMMUNAL - PARTICIPATION MUNICIPALE A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE

 

Vote unanimité.

 

 Mon vote fait enrager le maire qui pensait que j’allais voter contre. Je lui ai fait remarquer simplement que ses « amis » politiques lisent mon blog et qu’ils pourraient introduire un recours devant le T.A s’ils le souhaitent.

 

COMMENTAIRE devant le conseil

Monsieur le Maire, j’ai reçu la notice explicative pour préparer ce conseil le 18 Juin 2012. Or vous affirmez, je vous cite :

« Vu les avis du comité technique de la commune de Castelnau-le-Lez qui s'est réuni à l'occasion de la séance du 22 juin 2012 »,

Par conséquent, je demande que ce point soit retiré de l’ordre du jour car une formalité substantielle préalable à toute décision n’a pas été  satisfaite avant le vote du Conseil Municipal.

Le verbe de la phrase est au passé au lieu d’être au futur. Ce qui change tout.

Par conséquent, j’en aviserai le contrôle de légalité du préfet. C’est la deuxième fois ce soir que je vous surprends pour incompétence. Je vous conseille Monsieur le Maire de réviser le code des collectivités territoriales et de formuler clairement vos phrases.

-----------------------------------------------------------------------------------------------

  

Question écrite N°1 envoyé le 8 Juin à Monsieur Le Maire

 

Monsieur Le Maire, Mesdames, Messieurs les Conseillers

J’ai appris  au cours de cette campagne électorale que la commune de Castelnau-Le-Lez avait attribué à chaque chef de service de la commune une voiture de service .

Plusieurs castelnauvien(nes)  m’ont fait remarquer que ces véhicules particuliers sont des berlines qui ne portent pas sur les portes, l’inscription « Ville de Castelnau-Le-Lez » et que l’on verrait  circuler hors des heures de service même le week end.

Pour répondre à leurs griefs, je vous suggère Monsieur Le Maire, de faire inscrire sans tarder, sur les flancs de ces véhicules « Ville de Castelnau-Le-Lez », ensuite de nous fournir tous les éclaircissements sur ce sujet. Voici les 3 questions  pour lesquelles il me serait agréable d’avoir une réponse pour le prochain conseil

1°) Nombre de berlines affectées aux chefs de service,  marque, numéro d’immatriculation, année d’achat.

2°) Kilométrage total, kilométrage année 2011 et année  2012 pour chacun d’eux.

3°) Total  du budget essence-gazole pour chacun d’eux pour l’année 2011 et 2012.

Quelles mesures avez- vous prises pour qu’il n’y ait pas usage privé de ces véhicules, car vous savez bien qu’un véhicule de service ne doit servir que pour le service.

Je suis sûr Monsieur le  Maire que vous comprendrez l’intérêt  qu’il y aurait à réduire la facture des carburants, ce qui serait à la fois bon pour les finances de la commune mais aussi  une contribution à la réduction de la facture pétrolière du pays.

 

C’est pourquoi, je vous suggère de remplacer tous ces véhicules par des véhicules électriques comme le quadricycle RENAULT pour les chefs de service.

Réponse du maire: Sa  réponse est imprécise et même hors sujet comme  par exemple sur la voiture de fonction ou les autres véhicules (la question ne porte que sur les véhivules de service). Je vais demander par courrier une réponse complète  et précise à la question posée concernant chaque  véhicule de service pour 2011 et 2012 ainsi que les kilométrages et je publierai la réponse écrite de notre maire sur mon blog.


 

 Question écrite N° 2

 

Monsieur Le Maire, Mesdames, Messieurs les Conseillers

 

Dans un article de Midi Libre du 15 Juin 2012, vous annonciez Monsieur le Maire « un gel de l’urbanisme au Sud de la RN113. C’est une décision politique sérieuse car il y a une incompréhension de la population qui veut des logements mais pas de travaux… » mais vous ajoutiez que « vous alliez poursuivre le vaste projet du gérontopôle ».

J’ai du mal à suivre votre pensée. C’est pourquoi, j’aimerais avoir des éclaircissements sur les points suivants :

 

1°) Vous avez fait adopter en 2007 par le conseil municipal le Plan Local d’Urbanisme (P.L.U)  de Castelnau-le-lez. Ce P.L.U s’applique partout dans la commune. Dés lors, comment comptez vous geler les constructions nouvelles et retirer des permis de construire déjà délivré à des promoteurs?

2°) Allez vous arrêter le projet de modification du P.L.U destiné à permettre l’urbanisation de la plaine viticole de Castelnau-le-lez au dela de la voie ferrée ?

3°) Vous avez dit que les castelnauvien(nes) ne voulaient pas de travaux supplémentaires. Lesquels allez vous arrêter ?

4) Dans le cadre de l’arrêt des travaux ;  allez vous arrêter l’exécution du projet de démolition de l’Espace Rencontre et de la construction pharaonique du centre Kiasma qui risque de se révéler un gouffre financier ?

Réponse du maire : Voir discours fait en début de conseil. Il manque des précisions sur le P.L.U et le S.C.O.T. Si ces documents ne sont pas révisés les propos de notre maire ne sont pas crédibles. En ce qui concerne les travaux  c'est reporté mais pas annulé.Je vais demander au maire de convoquer une réunion publique sur ce sujet. Je ne retire pas mes recours devant le T.A.

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22 juin 2012 5 22 /06 /juin /2012 16:47

Remarque: Dans le paragraphe 3 , figure pour la commune les tableaux des acquisitions et des cessions de terrains de l'année 2011.

 

 

 

2. FINANCES - ADOPTION DU COMPTE ADMINISTRATIF DE L'EXERCICE 2011


 Monsieur Christian QUIOT, Adjoint aux Finances expose : Comme chaque année, le Conseil municipal est invité à se prononcer avant le 30 juin sur les résultats de l'exercice précédent.

Le rapport joint à la convocation du Conseil municipal présente les principaux éléments de l'exercice 2011 dont les résultats figurent ci-dessous :

 Recettes de fonctionnement : 23 662 943,34 €

 Dépenses de fonctionnement : 18 479 564,54 €

 Soit un solde de fonctionnement : 5 183 378,80 €

 Recettes d'investissement (y compris reports): 22 001 958,0 1 €

 Dépenses d'investissement (y compris reports): 23 439 353,45 €

 Soit un solde d'investissement : - 1 437 395,44 €

 Au total, l'excédent de l'exercice 201l s'élève donc à : 3 745 983,36 €

 

DELIBERATION

 

Vu le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment ses articles Ll6 12-12, L212 l -14 et L212 l -31

Vu l'instruction budgétaire et comptable M14,

 Le Conseil municipal est invité à :

 - APPROUVER le Compte administratif 2011 lequel peut se résumer de la manières suivante:

Résultat de l'exercice 2011 : 2 483 987,58 €

 Résultat n-l reporté : 2 699 391,22 €

 Résultat à affecter : 5 183 378,80 €

 Solde d'exécution d'investissement : 1 678 505,76 €

 Solde n-l reporté : - 1 220 746,99 €

 Solde des reports d'investissement: - 1 895 154,21 €

 Solde d'exécution d'investissement (reports inclus) : - 1 437 395,44 €

 - CONSTATER les identités de valeurs avec les indications du compte de gestion relatives au report à nouveau, au résultat d'exploitation de l'exercice et au fonds de roulement du bilan d'entrée et du bilan de sorties aux débits et aux crédits portés à titre budgétaire aux différents comptes.

- RECONNAITRE la sincérité des restes à réaliser.

- ARRETER les résultats définitifs tels que résumés ci-dessus.

 

3. FINANCES - BILAN DES ACQUISITIONS ET CESSIONS FONCIERES 2011

 

 Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose : L'Article L. 2241 . 1 du Code Général des Collectivités Territoriales impose aux Communes de délibérer sur les opérations immobilières qu'elles effectuent. l'Article L 2241 .2 du même Code dispose que toutes les cessions d'immeubles ou de droits réels immobiliers intervenue sur le territoire des Communes de plus de 3500 habitants doit être inscrite sur tableau récapitulatif annexé au compte administratif de la Commune.

L'Article L 224 l .2 poursuit en indiquant que cette inscription précise la nature du bien, sa localisation, l'origine de propriété, l'identité du cédant et du cessionnaire ainsi que les conditions de la cession.

Pour l'exercice 2011 , les opérations immobilières réalisées à Castelnau-le-lez sont les suivantes :

 

ACQUISITIONS ONEREUSES OPEREES PAR LA COMMUNE voir tableau

 

ACQUISITIONS GRATUITES REALISEES PAR LA COMMUNE voir tableau

 

 INSCRIPTION SERVITUDE DE PASSAGE ET RESEAUX PAR LA COMMUNE 

 

ECHANGE PAR LA COMMUNE SANS SOLDE voir tableau

 

CESSIONS OPEREES PAR LA COMMUNE voir tableau

 bilan acquisitions et cessions 20110001

bilan acquisitions et cessions 20110002

bilan acquisitions et cessions 20110003

bilan acquisitions et cessions 20110004

 

4. FINANCES - AFFECTATION DEFINITIVE DES RESULTATS DE L’EXERCICE 2011

 

 Monsieur Christian QUIOT, Adjoint au Maire expose :

L'instruction budgétaire et comptable M14 prévoit l'affectation du résultat de fonctionnement au vu du compte administratif.

Le compte administratif de l'exercice 201l , voté ce jour, fait ressortir un résultat de fonctionnement de 5 183 378,80 €. Il fait également apparaître un solde positif d'exécution d'investissement de 457 758,77 € et un solde négatif des restes à réaliser d'investissement de - l 895 154,21 € , soit un besoin de financement cumulé de -1 437 395,44 €.

Afin de couvrir le besoin de financement d'investissement 2011, le résultat de fonctionnement de l'exercice 2011 doit être affecté à hauteur de 1 437 395,44 € en compte de réserves . Le solde,  soit 3 745 983,36 € peut être affecté en excédent de fonctionnement reporté.

Il est rappelé que cet excédent de fonctionnement a fait l'objet d'une reprise par anticipation, lors du vote du budget primitif 2012, par une affectation en réserves au compte de recettes d'investissement l 068 à hauteur de l 437 395,44 € et une affectation à la ligne de recettes de fonctionnement 002 à hauteur de

3 745 000,00 €. Le solde d'exécution de la section d'investissement avait été inscrit, quand à lui, en recettes d'investissement à la ligne 001 pour 457 758, 77 € .

Une régularisation de ces éléments s'avère nécessaire lors de la prochaine décision modificative.

 

DELIBERATION

 

En conséquence,

Vu l'article L 23 l 1-5 du Code Général des Collectivités Territoriales,

Vu l'instruction budgétaire et comptable M14,

Vu la délibération de ce jour arrêtant le compte administratif 2011,

 Il est proposé au Conseil municipal :

 Article 1 : D'ADOPTER l'affectation définitive des résultats de l'exercice 2011 de la manière suivante :

 Recettes d'investissement : Compte 001 - Solde d'exécution positif reporté : 457 758,77 €

 Recettes d'investissement : Compte 1068 - Excédent de fonctionnement capitalisé : l 437 395 44 €

 Recettes de fonctionnement : Compte 002 - Résultat de fonctionnement reporté : 3 745 983,36 €,

 Article 2 : D'INSCRIRE lors de la prochaine décision modification les crédits non pris en compte au budget primitif, soit 983,36 € en recettes de fonctionnement au compte 002 - Résultat de fonctionnement reporté.

 

5. FINANCES - ADOPTION DU COMPTE DE GESTION DE L'EXERCICE 2011

 Monsieur Christian QUIOT, Adjoint aux Finances expose :

 Le compte de gestion, établi par le receveur municipal, comptable de la commune, comprend l'ensemble des opérations budgétaires effectuées au cours de l'exercice 201l , auxquelles viennent se cumuler les opérations liées à tous les mouvements de trésorerie réalisés sous la responsabilité du comptable. Du point de vue des opérations budgétaires, le compte de gestion comprend les résultats des exercices précédents, tous les titres de recettes émis et tous les mandats de paiement ordonnancés.

A l'examen du compte de gestion, il apparaît que les montant des mandats et titres de recettes pris en charge durant l'exercice 2011 par le trésorier municipal, sont conformes aux montants du compte administratif établi par l'ordonnateur. De ce fait, les résultats figurant au compte de gestion sont conformes à ceux retracés dans le compte administratif.

Vu le code général des collectivités territoriales et notamment les articles L.1612-12 et L.2121- 3l ,

Vu le budget primitif de la commune de l'exercice 201l et les décisions modificatives qui s'y rattachent, les titres définitifs des créances à recouvrer, le détail des dépenses effectuées et celui des mandats ordonnancés, les bordereaux de titres de recettes, les bordereaux de mandats, le compte de gestion dressé par le trésorier municipal,

Considérant que le trésorier municipal a repris dans ses écritures le montant de chacun des soldes figurant au bilan de l'exercice 2010, celui de tous les titres de recette émis et celui de tous les mandats de paiement ordonnancés et qu'il a procédé à toutes les opérations d'ordre qu'il lui a été prescrit de passer dans ses écritures,

 

DELIBERATION

 

Il est donc proposé au Conseil municipal de :

- Statuer sur l'ensemble des opérations effectuées du 1er janvier au 3l décembre 201l , y compris celles relatives à la journée complémentaire,

 - Statuer sur l'exécution du budget de l'exercice 20ll en ce qui concerne les différentes sections budgétaires,

 - Arrêter le compte de gestion de la commune dressé pour l'exercice 201l par le trésorier municipal, visé et certifié conforme par l'ordonnateur.

 

6. AIRE D'ACCUEIL DES GENS DU VOYAGE

- CONVENTION GESTION COMMUNE/CCAS

 

  Madame Pierrette MIENVILLE, Premier Adjoint expose :

Par délibération du 8 Février 2007, prise en application de la loi du 5 juillet 2000 et des préconisations du Schéma Départemental d'Accueil des Gens du Voyage, le conseil municipal a adopté le principe de création d'une aire d'accueil des gens du voyage sur le territoire de la commune.

Le conseil municipal avait décidé que ce projet, qui compte 40 places de caravanes regroupées 2 par 2 sur 20 emplacements, serait réalisé en intercommunalité avec les communes de Jacou, Clapiers et Le Crès, sur un site d'une superficie de 8000m² situé au sud de l'avenue Philippe Lamour et jouxtant le chemin de Doscares par lequel il est desservi.

Ce projet a fait l'objet d'une déclaration d'utilité publique par arrêté préfectoral du 25 Janvier 20l2 .

Les travaux d'aménagement de cette aire d'accueil sont en cours d'achèvement.

lls ont été réalisés sous la maitrise d'ouvrage de la commune. Le cou) total de ce projet (travaux et acquisitions foncières) s'élève à 1 209 728 € HT.

Les participations de l'Etat (426 860 €), du Conseil Général (122 000 €), de la Communauté d'Agglomération (50 000 €) et de la CAF (20 000 €) laissent apparaître un solde à financer par les quatre communes de 590 868 €, réparti, conformément à la convention signée par elles en 2007, au prorata de leur population respective :

 Le Cres : 23,28% soit 137 572 €

Jacou : 14,85% soit 87 75 €

Clapiers : 15,84% soit 93 616 €

Castelnau-le Lez : 46,02% soit 27 1 927 €

 Au terme de la convention précitée qui fixe les modalités de cette intercommunalité, la commune de Castelnau-le aviez est chargée de la gestion de cette aire d'accueil qui sera assurée en régie directe.

Compte tenu de la vocation sociale de ce nouvel équipement je vous propose que la commune en confie la gestion au Centre Communal d'Action Sociale dont le Conseil d'administration aura compétence pour établir le règlement intérieur, élaborer le projet social et fixer les droits d'usage.

Par ailleurs le CCAS établira le budget de l'aire d'accueil et en assurera l'exécution.

A titre d'information, le budget prévisionnel de fonctionnement s'élève à 1l5 000 € et devrait être financé en grande partie par les droits payés par les usagers et par les subventions de fonctionnement versées par l'Etat et le Conseil Général.

Le besoin de financement complémentaire éventuel sera couvert par les 4 communes, au prorata de leur population respective.

Je vous propose donc, de confier la gestion de l'aire intercommunale d'accueil des gens du voyage de Castelnau-le-lez au Centre Communal d'Action Sociale et de m'autoriser à signer la convention qui en précise les modalités pour une durée de 5 années, renouvelable par tacite reconduction.

 

7. ATTRIBUTION DE SUBVENTIONS EXCEPTIONNELLES A LA SECTION AEROBIC DU COLLEGE FREDERIC BAZILLE ET A DEUX JEUNES CASTELNAUVIENS POUR LEUR PROJET

Madame Muriel SARRADIN, Adjointe déléguée au Sport expose :

 La section aérobic du Collège Frédéric Bazille, encadrée par Mme Sophie BROMET, professeur d'Education Physique et Sportive a participé au Championnat de France qui s'est déroulé à Thiais du 16 au 18 mai 20l2.

La participation à cette compétition a demandé un engagement financier important, notamment pour le transport des quinze élèves castelnauviens, l'hébergement et la restauration.

Par ailleurs deux jeunes castelnauviens, M. Guillain LE BEC et Mlle. Anne-Laure AXUS, ont pour projet de rallier LONS-LE-SAUNNIER à KATMANDOU (NEPAL) à vélo entre juillet 2012 et juin 2013.

L'objectif est de collecter des informations et des témoignages de bergers et éleveurs nomades afin d'appréhender leur quotidien et leur savoir-faire. Cela sera également l'occasion d'étudier l'intérêt de leur activité pour l'environnement et de mesurer les conséquences du déclin de cette activité.

A leur retour, ces deux jeunes s'engagent à faire partager leur expérience, notamment auprès des écoles de la Commune par le biais de conférences et expositions.

Le Conseil Municipal est donc invité à décider de l 'attribution d'une subvention exceptionnelle de 500 € à la section aérobic du Collège Frédéric Bazille et une subvention exceptionnelle de 500 € à M. Guillain LE BEC et Mlle. Anne-Laure AXUS.

 

8. LOI PORTANT MAJORATION DES DROITS A CONSTRUIRE - MODALITES DES CONSULTATION PREALABLE DU PUBLIC - APPROBATION


Monsieur Fredéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose :

 La Loi du 20 mars 2012 relative à la majoration des droits à construire prévoit une majoration de 30 % des droits à construire résultant des règles de gabarit, de hauteur, d'emprise au sol ou de coefficient d'occupation des sols fixées par le Plan Local urbanisme pour permettre l'agrandissement ou la construction de bâtiments à usage d'habitation.

Cette disposition a vocation à s'appliquer, sur une période limitée à 3 ans. pour toutes demandes de permis ou déclarations déposées en vertu de l'article L. 423-1 du Code de l'Urbanisme avant le ler janvier 2016.

En l'absence de délibération du Conseil Municipal engageant la consultation du public visée à l'article L. 123-1-1 l - l du Code de l'Urbanisme, la loi prévoit l'entrée en vigueur de cette disposition au 21 décembre 2012, soit au terme d'une échéance de 9 mois après sa promulgation.

A contrario, il est donné la possibilité à la collectivité compétente de soumettre à la consultation préalable du public, avant le 21 septembre 2012, une note d'information présentant les conséquences de l'application de cette majoration dans le contexte communal.

Au terme de cette consultation et sur la base de ses conclusions, le Conseil Municipal pourra se prononcer par délibération sur l'opportunité d'une application totale ou partielle ou bien de la non application de cette disposition sur son territoire.

Dans ce contexte, il est proposé au Conseil Municipal d'établir une note d'information dans les délais prévus par la loi.

Sur cette base, un dossier de consultation sera mis à disposition du public pendant une durée d'au moins un mois selon les modalités suivantes :

- mise en ligne sur le site internat de la Commune ;

 - mise à disposition en Mairie tout au long de la procédure, aux jours et heures ouvrables habituels.

Afin d'assurer le recueil et la conservation des observations du public, un registre observations sera mis à disposition du public en Mairie, aux jours et heures ouvrables habituels, pendant toute la durée de la procédure.

A l'issue de la mise à disposition du dossier de consultation, le maire présentera la synthèse des observations du public au Conseil Municipal. Cette synthèse sera tenue à disposition du public en Mairie, aux jours et heures ouvrables habituels, pendant toute la durée de la procédure; un avis précisant le lieu dans lequel elle est tenue à disposition du public fera l'objet des mesures d'affichage et, le cas échéant, de publicité.

A l'issue de cette présentation et selon la conclusion tirée de la synthèse des observations formulées par le public, le conseil municipal pourra alors décider de la non-application, de l'application totale ou partielle de cette disposition sur le territoire communal.

Il est proposé au conseil municipal d'adopter la délibération suivante :

LE CONSEIL


Vu le Code de l'urbanisme et notamment ses articles L 123 .1 .1 1, L123. 1 . l l . 1 et suivants ; Vu le Plan Local d'Urbanisme approuvé le 29 juin 2007 et modifié par des délibérations des 28 février 201 1 (ZAC extension du Parc Euréka p) et 27 mai 20 1 1 .

Vu la note d'information sur l'application de cette loi au territoire de la commune.

1) décide d'organiser la concertation selon les modalités suivantes :

 - mise en ligne de la note d'information sur l'application de cette loi au territoire de la commune sur le site internat de la Commune ;

 - mise à disposition de la note d'information sur l'application de cette loi au territoire de la commune en Mairie tout au long de la procédure, aux jours et heures ouvrables habituels

2) décide d'assurer le recueil et la conservation des observations du public par la mise à disposition d'un registre d'observations en Mairie tout au long de la procédure, aux jours et heures ouvrables habituels.

3) précise que les modalités de concertation, de recueil et de conservation des observations seront portées à la connaissance du public au moins huit jours avant le début de cette consultation par insertion d'un avis dans au moins un journal diffusé dans le Département et par affichage en Mairie et dans tous les lieux habituels d'affichage municipal.

4) Autorise M. Le Député Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette procédure et à effectuer les mesures de publicité nécessaires.

 

9. AVENUE DE EUROPE - ACQUISITION A TITRE GRATUIT PARTIE DE LA PARCELLE AR 121 - INTEGRATION DOMAINE PUBLIC COMMUNAL – SCCV L'OPALIA


Monsieur Fredéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose :

L'arrivée de la deuxième ligne de tramway représente depuis 2007 pour chacun des acteurs du renouvellement urbain une formidable occasion de relever le défi de la requalification de l'Avenue de l'Europe, véritable vitrine de notre cité.

La Commune a relevé ce pari de façon cohérente et ambitieuse à travers la révision de son Plan d'Occupation des sols, approuvée le 29 juin 2007.

Le PLU consacre le caractère essentiel de la qualité des espaces publics dans la poursuite de cette requalification harmonieuse.

Le Projet d'aménagement et de développement durable (PADD) traduit cette volonté à travers son orientation 6 « Accompagner le développement de la ville par la création de nouveaux équipements publics adaptés aux besoins des habitants et par la valorisation du cadre de vie ».

L'objectif 6B «  Relier et animer les quartiers par des espaces publics conviviaux » précise ce principe : Cette orientation consiste à promouvoir une plus grande fonctionnalité des espaces publics afin de créer ou renforcer les lieux de vie. Ces espaces publics revêtiront des formes urbaines variées, injonction de leur positionnement et de leur vocation (...) des espaces publics comme lieux d 'échange : stations tramway, carrefours sur l 'Avenue de I 'Europe transformées en placettes.

Le rapport de présentation du PLU présente de façon plus claire le dispositif règlementaire mis en Ouvre pour atteindre cet objectif :

 Le secteur 1 UB fait l 'objet d'orientations d'aménagement particulières permettant de marquer des «  polarisés urbaines » autour de l 'Avenue de l 'Europe (secteurs caractérisés par des densités plus importantes en relation avec les stations de tramway et faisant émerger des centralités).

La première finalité de ces polarités consiste à ériger des espaces publics ambitieux qui ponctuent le linéaire de l’ Avenue de lieux de vie, ombragés et rendus agréables par l 'espace. L a seconde s 'attache au bâti, appelé sur ces secteurs réduits à émerger d 'un modèle urbain par une hauteur, une densité et une linéarité plus marqués et donc valorisantes.

La définition de ces périmètres tient compte de la proximité des stations de tramway, des carrefours, des potentialités observées sur les sites et de l’Ancienneté du bâti, facteur de mutation. Elle se réfère parfois de façon apparemment paradoxale au souci de laisser en dehors de ces périmètres des espaces mutables pour organiser à court terme l'émergence du modèle global structuré autour de deux intensités.

Les quatre polarisés urbaines de l 'Avenue de l 'Europe (secteurs 1 UB) structureront le linéaire par disjoints d'émergence.

L es atouts de ces polarités consistent à fédérer des enjeux stratégiques forts autour des stations de tramway et d'une Avenue de l 'Europe rénovée et pacifiée.

La qualité exemplaire de leur desserte, le réseau piétonnier optimisé, les itinéraires cyclables réalisés en continuité, justifient cette densification marquée.

L es principes d'organisation du secteur s 'attachent à aménager des espaces publics de qualité perçus comme des lieux de rendez-vous urbains par :

* Un alignement des bâtiments dégageant des espaces de respiration et des perspectives qualitatives ;

* Un traitement privilégié de ces espaces : piétonisation, paysagement par des essences sélectionnées, revêtement de sol...

* Un stationnement imposé en souterrain avec un stationnement de surface limité, voué essentiellement aux visiteurs (notamment des activités), et positionné en arrière des bâtiments.

Ces orientations d'aménagement particulières tendent à préciser des principes d'aménagement difficilement traduisibles par le texte et véhiculant des impératif de déplacements doux, de maillage, de prospects circonstanciés et diversifiés, de traitement paysager ou d'accès.

 

La SCCV l'Opalia s'est vu délivrer un permis de construire N°0340571054006 le 19 avril 2010 concernant la parcelle AR 121 située 1692, Avenue de l'Europe.

Cette demande de permis de construire a donné lieu à un partenariat architectural pour faire valoir une exigence de cohérence et coordonner le développement des projets immobiliers autour d'un schéma cohérent, qui intègre des préoccupations urbaines, architecturales et environnementales. Ce dialogue a notamment permis de préciser l'application circonstanciée de l'orientation d'aménagement particulière «  Centurions » propre aux abords de la station tramway.

Cette opération vise l'accueil de 44 logements et d'un local commercial en rez de chaussée.

L'immeuble respecte donc un alignement en retrait des façades qui permet de dégager un espace élargi de circulation piétonne pour passer d'un trottoir à un véritable parvis.

Le traitement de cet espace valorisé a été précisé pour faire valoir un traitement qualitatif, cohérent et uniforme sur l'ensemble de ce type d'espace : traitement des sols, implantation de bancs, plantations d'arbres de haute tige, tours d'arbres, bornes dissuasives, potelets, stationnement.. .

Le chantier ouvert en octobre 2010 est aujourd'hui en phase d'achèvement, la société SCCV l'Opalia a sollicité la cession à titre gratuit au profit de la commune de 101m² issus de la parcelle AR 121 et constitutif de ce parvis.

L'intégration dans le domaine public et la domanialité utile tend à conférer un cadre légal aux interventions de police sur ces espaces publics ouverts de jour comme de nuit au public et subordonne le règlement des questions de gestion des terrasses, publicité et d'hygiène publique (entretien, déchets).

La signature de l'acte notarié définitif interviendra dès réception définitive des ouvrages.

Monsieur Frédéric LAFFORGUE propose au Conseil Municipal :

 * d'approuver l'acquisition à titre gratuit d'une partie de la parcelle cadastrée AR 12l représentant l01 m² à la SCCV l'Opalia 97, Rue de Freyr Le Génésis 34000 Montpellier à fin d'intégration dans le domaine public communal.

* D'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette procédure d'acquisition à titre gratuit.

 

10. INSTITUTION D'UNE PARTICIPATION SPECIFIOUE POUR VOIRIE ET RESEAUX PARCELLE CK 276


Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose :

 Les Lois SRU du 13 décembre 2000 et UH du 02 juillet 2003 ont profondément modifié les mécanismes de facturation des raccordements au réseau public de distribution d'électricité. Les principales modifications ont consisté à :

- soumettre à consultation (I'ERDF toute délivrance de certificat d'urbanisme opérationnel et autorisation d'urbanisme ;

- en matière de répartition des coûts de raccordement au réseau électrique, remplacer le système des tickets de raccordement jusqu’ici facturé au client par le calcul d'une contribution réglée par le client pour le branchement individuel et par le calcul d'une autre contribution à la charge de la collectivité en charge de l'urbanisme pour les travaux sur le réseau électrique.

Ces mécanismes de calcul sont fixés par m'arrêté interministériel du 28 août 2007, conformément à l'article 4 de la Loi SRU du 10 février 2000.

Ce dispositif est entré en application pour les certificats d'urbanisme opérationnels et autorisations d'urbanisme déposés à compter du ler janvier 2009.

Dans ce cadre, Monsieur Philippe DABIENS. 36, Rue du Cardinal de Cabrières 34000 Montpellier a déposé une demande de permis de construire N°03405712540027 le 10 avril 2012 concernant la réalisation d'une maison individuelle sur la parcelle cadastrée CK276,

développant 665 m² et située Rue Morgane à Castelnau Le Lez. Cette demande de permis de construire a donné lieu à une consultation d'ERDF le 13 avril 2012.

Le 09 mai 2012 ERDF a rendu un avis suite à la consultation opérée et considère qu'une extension du réseau électrique est nécessaire pour alimenter le projet. Le chiffrage de la contribution relative à l'extension hors du terrain d'assiette de l'opération a été réalisé à partir du barème approuvé par la Commission de régulation de l'Energie le 07 janvier 20l0, avec application de la réfaction tarifaire (part du coût pris en charge dans le tarif d'utilisation des réseaux publics de distribution d'électricité) selon l'arrêté du 17 juillet 2008.

La réforme opérée dispose d'une alternative permettant de faire supporter par le propriétaire du terrain ou des avants droits (promoteurs) la charge complète ou partielle du coût des extensions de réseau rendues nécessaires. La commune de Castelnau Le Lez juge opportun d'organiser ce système, qui implique l'établissement d'une PVR pour des multiples raisons concordantes : Tout d'abord, cette modalité organise en fait et en droit le maintien d'un financement accepté par l'ensemble des acteurs, promoteurs, EDF, collectivités et contribuables.

Ensuite et à défaut, le système concoure à faire financer par la collectivité et le contribuable l'équipement propre à un programme immobilier au lieu de l'intégrer dans l'économie générale du projet immobilier, La PVR est à considérer à ce titre comme un outil de justice fiscale. Considérant que l'extension du réseau électrique, au sens du décret N°2007-1280 du 28 août 2007 relatif à la consistance des ouvrages de branchement et d'extension des raccordements aux réseaux publics d'électricité prévus emportent une dépense totale d'un montant prévisionnel de 5435,77 € HT…..  

En dernier lieu, il est rappelé que le paiement de la PVR est généré par la délivrance du permis de construire. Conformément à l'article L 332-28 du Code de l'urbanisme, le montant et la date de versement de la PVR seront explicitement prévus dans l'arrêté de permis de construire.

Il est proposé au Conseil Municipal d'adopter la délibération suivante :

 

LE CONSEIL

 

Vu la Loi N°2000- 18 du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l'électricité;

Vu la Loi N°2000-1208 Solidarités et Renouvellements urbains (SRU) du 13 décembre 2000 ;

Vu la Loi N°2003-590 Urbanisme et Habitat (UH) du 02 juillet 2003

Vu le décret N°2007-1280 du 28 août 2007 relatif à la consistance des ouvrages de branchement et d'extension des raccordements aux réseaux publics d'électricité ;

Vu l'arrêté du 22 août 2007

Vu la circulaire N°2004-8 du 05 février 2004 relative aux modalités de mise en Ouvre de la participation Voirie et Réseaux (PVR)

Vu le Code de l'urbanisme et notamment ses articles L 332-6-1 , L 332-1 l -1 et L 332-1 1-2 ;

Vu la délibération N° 2004/12-19 du 16 décembre 2004 instaurant la participation pour voirie nouvelle et réseaux sur le territoire de la commune de Castelnau-le-lez,

Article 1 :

Il est établi une participation spécifique pour lorries et réseaux divers pour le site d'emprise de 665 m² constitué de tout ou partie de la parcelle cadastral CK 276, et autorisation d'occupation des sols, selon les conditions définies aux articles suivants.

Article 2 :

Le programme d'équipements publics en vue de permettre l'implantation de nouvelles constructions telles que prévues par la demande de permis de construire N°034057 12M0027 sur le site d'emprise de 4026 m² constitué de tout ou partie de la parcelle cadastral CK 276, desservi est arrêté et approuvé sur la base des éléments suivants et un coût prévisionnel de 5435,77 €…..

La totalité du coût net prévisionnel de ce programme sera mise à la charge des propriétaires ou titulaire de droits réels considérés.

Article 3 :

Sont redevables les propriétaires du site d'emprise de 665 m² constitué de tout ou partie de la parcelle cadastral CK 276, et/ou les titulaires de droits réels considérés, notamment les bénéficiaires de la déclaration préalable délivrée sur tout ou partie de la parcelle cadastrée CK 276.

Article 4 :

Le montant de participation due est de 5435,77€.

Article 5 :

Le versement de cette participation devra intervenir en un versement unique et intervenant au terme d'un délai de six mois courant à compter de la date de délivrance de l'autorisation d'occupation des sols correspondante.

 

11. CHEMIN DES PINS - ACQUISITION A TITRE ONEREUX DE 2/10ieme INDIVIS DE LA PARCELLE CD 306 APPARTENANT A MONSIEUR LOPEZ ET MADEMOISELLE DELPONT

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, aux travaux communaux et au Développement Durable, expose :

 Par procédure de Déclaration d'Utilité Publique en date du 10 mai 2010, la Commune a engagé une procédure d'expropriation sur la parcelle CD 306 en vue de l'aménagement du Chemin des Pins. L'ordonnance d'expropriation a été rendue le 23 novembre 2010 mais un propriétaire indivis a vendu, avant sa publication aux hypothèques, sa part (2/10ême) à Monsieur LOPEZ et Mademoiselle DELPONT. De ce fait l'ordonnance n'a été publiée que pour 8/1 0 ème indivis restants.

La Commune, aujourd'hui propriétaire des 8/10ème indivis de la parcelle CD 306, a proposé à Monsieur LOPEZ et Madame DELPONT, propriétaires des 2/10ème restants, de céder ces parts en vue de l'incorporation au domaine public communal et de l'aménagement complet du chemin des pins.

Cette acquisition permettra notamment les conditions d'un aménagement cyclable reliant l'avenue des Erables au Chemin des Mûriers, axe ultra prioritaire n°1 du schéma de déplacement doux de la commune reliant le palais des sports au centre ville en passant par le collège, mais aussi la suppression d'une excroissance.

Compte tenu de sa nature, la Brigade d'évaluation de France Domaines a estimé la valeur du terrain à l € le 12 juin 2012.

M. Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'urbanisme, aux travaux communaux et au développement durable propose au Conseil Municipal

 * d'accepter l'acquisition à titre onéreux des 2/10ème indivis de la parcelle CD 306 d'une superficie de 60 m² au prix de 1 €, en vue de l'aménagement du Chemin des Pins à Monsieur LOPEZ et Mademoiselle DELPONT demeurant 380, chemin des Pins à CASTELNAU LE LEZ.

* d'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette acquisition.

La Commune assumera les frais notariés.

 

12.OUVERTURE  DE L’ACCUEIL DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT MATERNEL VERT PARC

 

Madame Nathalie LEVY, Adjointe au Maire déléguée à l'Enfance expose :

Dans un contexte de forte expansion démographique, notre commune doit faire évoluer ses équipements publics afin de répondre au mieux aux besoins de ses administrés.

L'accueil des enfants, dans le cadre préscolaire scolaire et de loisirs représente notamment un enjeu essentiel car il constitue un outil d'intégration sociale pour les enfants et permet à leurs parents de concilier vie professionnelle et vie familiale.

Consciente de cet enjeu, la commune s'investit massivement dans ce domaine. Elle vient ainsi de créer successivement 2 nouveaux services destinés à la petite enfance : le jardin d'éveil et la crèche les Nymphéas. En matière d'équipement scolaire, elle a engagé des travaux d'extension de l'école maternelle la Fontaine qui s'achèveront à fin de l'année de l'année 2012. Enfin, sur le plan périscolaire, la commune a souhaité se doter d'un nouvel accueil de loisirs sans hébergement (ALSH) destiné spécifiquement aux enfants de 3 à 6 ans.

Cet ALSH maternel, situé au sein de l'école maternelle Vert Parc, ouvrira ses portes le 4 juillet prochain et fonctionnera les mercredis et certaines vacances scolaires, de 07h30 à l8h. Sa capacité d'accueil est, dans l'immédiat, de 15 places, mais a vocation à être augmentée en fonction de l'évolution des besoins des familles.

sa création relève d'un quintuple objectif :

- Augmenter l'offre de loisirs de la commune, compte tenu des demandes croissantes d'accueil pour des enfants de cette t'ranche d'âge.

- Offrir aux familles du centre-ville et du sud de la commune un équipement urbain, de proximité, ne requérant pas de mode de transport.

- Créer une cohérence et une continuité éducative avec le jardin d'éveil, situé dans les mêmes locaux et destiné aux enfants de 2-3 ans. Cette proximité permettra de mettre en place des animations transversales (jeux, ateliers musicaux) inter-âges, dans la lignée du projet pédagogique développé à la crèche les Nymphéas.

- Développer une offre complémentaire aux équipements existants, souple donc répondant à la diversification des besoins des familles. Ce nouvel établissement offrira ainsi des possibilités d'accueil à la demi-journée.

- Réduire les coûts d'investissement et de fonctionnement de ce nouveau service en s'appuyant sur une mutualisation des moyens avec l'école maternelle, avec l'accueil de loisirs associé à l'école et avec le jardin d'éveil.

La création de cet équipement s'inscrit dans le cadre du contrat Enfance Jeunesse conclu avec la Caisse d'Allocations Familiales  pour la période 2011-2014. Cette action donnera lieu au versement d'une prestation de service enfance jeunesse, correspondant à 55% des dépenses à la charge de la commune (dans la limite d'un plafond défini par la CAF), ainsi qu'au versement d'une prestation de services accueil de loisirs correspondant à 0,49 € par heure d'activité facturée.

Trois agents (représentant, à l'année, 1 ,5 équivalent temps plein) seront ainsi chargés d'animer cet ALSH. Ces animateurs étaient déjà présents dans nos équipes d'animation, et bénéficient, grâce à cette nouvelle affectation, d'une extension de leur temps de travail.

Les tarifs sont ainsi définis : Le calcul du montant de la participation de la famille s'appuie sur un taux d'efforts modulé en fonction du nombre d'enfants à charge et appliqué de manière linéaire aux ressources de la famille dans la limite d'un plancher et d'un plafond. Les montants plancher et plafond sont fixés par la caisse d'allocations familiales chaque année.

Barème de calcul des tarifs : voir tableau ci-joint

 

 

 

Les ressources prises en compte sont celles déclarées par les familles et figurant sur l'avis d'imposition avant abattement. Aucune prestation familiale ou légale n'est prise en compte. S'il y a un enfant handicapé dans la famille, il est appliqué le taux d'effort immédiatement en dessous de celui auquel la famille aurait pu prétendre en fonction de sa composition. Aucun supplément n'est demandé pour le repas et le goûter.

Le tarif est réévalué au 1er janvier de chaque année civile, à partir de l'actualisation des ressources communiquée sur le logiciel CAF PRO.

Une participation d' 1€ minimum par enfant et par jour (0,50 € pour la demi-journée), déduction faite des aides aux loisirs (aides aux loisirs CAF, comités d'entreprises. ..) est demandée aux familles.

Je propose donc au Conseil Municipal ;

- d'autoriser Monsieur le Maire à signer les conventions relatives à cet ALSH maternel,

- d'autoriser la création et la gestion de ce service par la commune,

 - d'approuver les conditions tarifaires proposées

- d'autoriser Monsieur le Maire à engager les dépenses d'investissement correspondantes.

 

13. LOCAL « LES ARCADES » AUTORISATION DU CONSEIL MUNICIPAL AU MAIRE DE DEPOSER UNE DEMANDE D’AUTORISATION D'URBANISME EN APPLICATION DES ARTICLES L 2121-29 ET L 2122-21 DU CODE GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L’ARTICLE R423-1 DU CODE DE L'URBANISME

 

Monsieur Frédéric LAFFORGUE Adjoint au Maire, expose :

 La commune projette d'aménager un local situé dans la zone commerciale «  des arcades » avenue de l'Europe, une salle municipale destinée aux associations et manifestations (le loto, le scrabble , ..).

La commune doit déposer une demande d'autorisation d'urbanisme pour le changement d'affectation du local.

En application des articles L 2 121-29 et L2122-21 du code général des collectivités territoriales, le macre est chargé de conserver et d'administrer les propriétés de la commune et de faire, en conséquence, tous actes conservatoires de ses droits, sous le contrôle du conseil municipal.

En application de l'article R 423-1 du code de l'urbanisme les demandes de permis de construire, d'aménager ou de démolir, les déclarations préalables et les demandes d'autorisation d'urbanisme sont déposées par le propriétaire, son mandataire ou par une ou plusieurs personnes attestant être autorisés par eux à exécuter les travaux.

Monsieur Frédéric LAFFORGUE Adjoint au Maire propose au Conseil Municipal : - D'autoriser Monsieur le Maire à déposer une demande d'autorisation d'urbanisme pour changement d'affectation concernant le local sise sur la parcelle cadastral AR0174 au 1756, avenue de 1' Europe à Castelnau le Lez;

 - D'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de ce projet.

 

14. PROPRIETE «  GRAND PARC » - AUTORISATION DU CONSEIL MUNICIPAL AU MAIRE DE DEPOSER UNE DEMANDE D'AUTORISATION D’URBANISME  EN APPLICATION DES ARTICLES L 2121-29 et L.2122-21 DU CODE GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L'ARTICLE R 423-1 DU CODE DE L’URBANISME


Monsieur Frédéric LAFFORGUE Adjoint au Maire, expose :

 La commune projette d'aménager la propriété La Propriété  « Grand Parc » anciennement propriété LAPORTE, située sur la parcelle cadastrée CD 0207 au 26 chemin des Oliviers, afin de déplacer dans ces locaux, la salle des mariages, divers services administratifs, et de valoriser son parc.

La commune doit déposer une demande d'autorisation d'urbanisme pour le changement d'affectation de ce bâtiment.

En application des articles L 2121-29 et L.2122-21 du code général des collectivités territoriales, le maire est chargé de conserver et d'administrer les propriétés de la commune et de faire, en conséquence, tous actes conservatoires de ses droits, sous le contrôle du conseil municipal.

En application de l'article R 423- 1 du code de l'urbanisme les demandes de permis de construire, d'aménager ou de démolir, les déclarations préalables et les demandes d'autorisation d'urbanisme sont déposées par le propriétaire, son mandataire ou par une ou plusieurs personnes attestant être autorisés par eux à exécuter les travaux.

Monsieur Fredéric LAFFORGUE Adjoint au Maire propose au Conseil Municipal : - D'autoriser Monsieur le Maire à déposer une demande d'autorisation d'urbanisme concernant la propriété « Grand Parc », chemin des Oliviers à Castelnau le Lez;

- D'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de ce projet.

 

15. SIGNATURE D'UNE CONVENTION AVEC L'AGENCE LOCALE DE L’ENERGIE DE MONTPELLIER - AUTORISATION DU CONSEIL MUNICIPAL AU MAIRE DE SIGNER LA CONVENTION


Monsieur Frédéric LAFFORGUE Adjoint au Maire, expose :

La ville de Castelnau-le-Lez réalise actuellement un Plan Climat Energie Territorial (PCET).

L'objectif de ce PCET est de réduire de 20 % les Gaz à Effet de Serre, avec 20% d'efficacité énergétique et 20 % d'énergie renouvelables sur l'ensemble du territoire de la commune, conformément à notre engagement dans la convention des Maires et à notre PCET.

L'Agence Locale de l'Energie de Montpellier (ALE), propose aux communes de l'agglomération de Montpellier, de signer une convention qui leur permet de bénéficier d'une expertise énergétique gratuite sur l'ensemble des bâtiments communaux, l'axe aura comme tâches :

 -Aider à la réalisation du bilan annuel des dépenses et consommations d'eau et d'énergie

-Faire des propositions d'améliorations techniques dans le but de diminuer les consommations et les dépenses. Suivï de la mise en Ouvre

 -De sensibiliser les habitants à une utilisation rationnelle de l'énergie, .. .

 

Cette convention d'une durée de 3 ans, n’engage aucun frais direct pour la commune, puisqu'elle est entièrement financée par l'Agglomération de Montpellier.

Monsieur Frédéric LAFFORGUE Adjoint au Maire propose au Conseil Municipal : - D'autoriser Monsieur le Maire à signer cette convention.

 

16. ORGANISMES EXTERIEURS - SOCIETE PUBLIOUE LOCALE D'AMENAGEMENT SAAM-- AUGMENTATION DE CAPITAL - RETRAIT DE LA DELIBERATION N° 2011/09-07 mis DU 8 SEPTEMBRE 2011


Monsieur le Maire expose :

 La Communauté d’Agglomération de Montpellier, la Région Languedoc-Roussillon, les Communes de Montpellier, Lattes, Castelnau-le-tez, Castries, Juvignac et Cournonsec ont décidé, par assemblée constitutive du 2 février 2010, la création d'une Société Publique Locale d'Aménagement (SPLA) dénommée Société d'Aménagement de l'Agglomération de Montpellier (SAAM), afin d'intervenir en amont des opérations d'urbanisme opérationnel sur son périmètre, directement au profit de ses collectivités actionnaires.

Le Conseil d'Administration de la SAAM a, en sa séance du l l mai 2011 décidé la convocation d'une Assemblée Générale Extraordinaire en vue de proposer aux actionnaires une augmentation de capital.

Dans ce cadre, la commune de Castelnau-le-lez a approuvé l'opération d'augmentation de capital et souscrit à cette augmentation à hauteur de 10 000 € par délibération de son conseil municipal en date du 8 septembre 2011, en complément des parts déjà détenues pour 20 000 €, (soit 5% du capital avant augmentation).

Le 6 janvier 2012, un contribuable de la commune a introduit un recours devant le Tribunal Administratif de Montpellier tendant à l'annulation de ladite délibération.

Le recours a fait l'objet de consultations juridiques conjointes de la commune et de la SAAM.

Elles mettent toutes deux en exergue que l'annulation par le juge pour vice de forme de la délibération litigieuse est fort probable.

C'est pourquoi, en vertu des pouvoirs qui lui ont été conférés par le Conseil d'Administration de la SAAM lors de sa séance du 29 mai 2012, le Directeur Général de cette société demande à la ville de Castelnau-le-Lez de bien vouloir procéder au retrait de la délibération N° 2011/09-07 bis prise par le Conseil Municipal le 8 septembre 2011 relative à la souscription de la commune de Castelnau-le-Lez à l'augmentation de capital de la SAAM.

En conséquence, il est proposé au conseil de bien vouloir retirer la délibération du Conseil Municipal N° 2011/09-07 bis du 8 septembre 2011 approuvant l'augmentation de capital de la SAAM.

 

17. LUTTE CONTRE LES INONDATIONS - PROTECTION CONTRE LES

INONDATIONS DANS LA VALLEE DE LA MOSSON - EXTENSION DE

COMPETENCE - TRANSFERT A LA COMMUNAUTE D'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER DE LA COMPETENCE DES COMMUNES - APPROBATION


Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux expose :

 Par délibération N°592 1 du 29 juin 2004, le Conseil de Communauté avait sollicité les Communes en vue du transfert de compétence en matière de lutte contre les inondations, pour permettre le traitement des enjeux liés aux risques de crues à une échelle de territoire appropriée et la mise en Ouvre devenue urgente du programme de protection de la basse vallée du Lez.

Par arrêté préfectoral N°2004-1-2813 du 19 novembre 2004, Monsieur le Préfet de la Région Languedoc-Roussillon, Préfet de l'Hérault, a ainsi autorisé le transfert de compétente concernant :

  • les travaux d'aménagement hydraulique en faveur de la lutte contre les inondations dans la basse vallée du Lez,
  •  l'étude générale en vue de l'élaboration d'un schéma global de lutte contre les inondations dans les secteurs habités des zones urbanisées (hors réseau pluvial) de la Communauté d'Agglomération.

Par délibération N.°8473 du 29 septembre 2008, le Conseil de Communauté avait à nouveau sollicité les Communes pour l'extension de la compétence « travaux » à l'ensemble de la vallée du Lez en vue d'assurer une gestion globale et cohérente des travaux d'aménagement hydraulique sur le bassin du Lez en complément de ceux déjà réalisés sur la basse vallée.

L'extension de la compétence « travaux » à la vallée du Lez a été autorisée par arrêté préfectoral N°2009-1-2799 en date du 23 octobre 2009.

De la même manière, il convient aujourd'hui d'engager sur la vallée de la Mosson les démarches en vue de la protection contre les inondations des secteurs censément urbanisés et permettre ainsi à la Communauté d'Agglomération de Montpellier de gérer de manière efficace et cohérente les aménagements hydrauliques à l'échelle de son territoire situé sur le bassin versant Lez-Mosson-Etangs Palavasiens. Pour cela, une étude hydraulique du bassin versant de la Mosson a été réalisée et a permis de préciser le fonctionnement du bassin versant en période de crue, d'identifier les secteurs à enjeux et de déterminer les aménagements potentiels pour protéger les principaux secteurs urbanisés.

Pour permettre la réalisation du programme des travaux correspondants qui sera retenu, il est proposé de demander l'extension de la compétence définie par les arrêtés préfectoraux n° 2004-1-2813 du 19 novembre 2004 et n° 2009-1-2799 du 23 octobre 2009, à l'ensemble de la vallée de la Mosson située sur le territoire de la Communauté d'Agglomération de Montpellier. Il convient pour cela de se prononcer favorablement sur cette proposition et de solliciter l'avis des conseils municipaux des Communes membres, qui exercent aujourd'hui cette compétence, conformément aux dispositions de l'article L.5211 .17 du Code Général des Collectivités Territoriales.

En conséquence, il est proposé au Conseil Municipal de bien vouloir :

* approuver l'extension des compétences de la Communauté d'Agglomération telle que définie comme suit « réalisation de travaux d'aménagement hydraulique en faveur de la lutte contre les inondations sur l'ensemble de la vallée de la Mosson, sur le territoire des Communes membres,

* autoriser Madame, Monsieur le Maire à signer l'ensemble des actes relatifs à cette affaire.

Il est demandé au Conseil de bien vouloir délibérer.

 

18. PERSONNEL COMMUNAL - MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS


Monsieur le Maire expose :

 Pour répondre à une meilleure organisation des services, il est proposé d'adapter le tableau des effectifs du personnel communal.

Après avis du Comité Technique Paritaire dont la réunion s'est tenue le 22 juin 2012,

Dans la filière Administrative, de créer un poste de Rédacteur Principal et supprimer un poste de Rédacteur territorial, deux postes d'Adjoint Administratif Principal 2ième classe, et deux postes d'Adjoint Administratif 2ième classe….

 

Dans la filière Technique,

 de supprimer un poste d'Agent de Maîtrise, de créer un poste d'Adjoint Technique Principal 2ième classe….

.

Dans la filière Sociale.

- de créer un poste d'Agent Territorial Spécialisé des Ecoles Maternelles Principal 1ière classe, et supprimer trois postes d'Agent Territorial Spécialisé des Ecoles Maternelles lère classe….

Dans la filière Médico-sociale.

de supprimer un poste d'infirmier territorial à temps non complet, et un poste d'Auxiliaire de puériculture Principal 2ième classe.

Dans la filière Police Municipale.

- de supprimer un poste de Chef de Police, et de créer un poste de Gardien de Police.

 

19. PERSONNEL COMMUNAL - PARTICIPATION MUNICIPALE A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE


Monsieur le Maire expose : Le décret N°2011-1474 relatif à la participation des collectivités territoriales et de leurs établissements publics au financement de la protection sociale complémentaire de leurs agents est paru le 10 novembre 2011 . La loi de modernisation de la fonction publique du 2 février 2007 a créé un article 88-2 dans la loi du 26 janvier 1984 afin de préciser le cadre dans lequel les employeurs publics territoriaux peuvent aider leurs agents à acquérir une protection sociale complémentaire.

Ce décret permet, en complément de l'action sociale classique, d'attribuer une aide complémentaire aux agents de la fonction publique territoriale.

Les agents concernés par ce dispositif sont les fonctionnaires, ainsi que les agents de droit public et de droit privé.

L'adhésion à une protection sociale complémentaire est facultative pour les agents et, corrélativement, l'aide apportée aux actifs n'est en aucun cas obligatoire pour les collectivités.

S'agissant des risques concernés, les collectivités peuvent apporter leur participation ;

- Soit au titre des risques « santé »,

- Soit au titre des risques « Prévoyance »,

 - Soit au titre des deux risques.

Concernant les modalités, le dispositif réglementaire prévoit deux possibilités, exclusives l'une de l'autre, pour les collectivités qui souhaitent contribuer aux contrats de leurs agents :

- La contribution a priori sur tous les contrats préexistants qui auront été labellisés par des organismes agréés : procédure de labellisation

- La contribution à un contrat négocié auprès des opérateurs via une convention de participation souscrite après mise en concurrence. Cette option permet aux employeurs de mieux maîtriser leur budget dans la mesure où seul le contrat souscrit auprès de l'opérateur retenu pourra faire l'objet d'un abondement.

L'article 25 de la loi du 26 janvier 1984 reconnaît la compétence des Centres de Gestion pour conclure une convention de participation pour le compte des collectivités et établissements de leur ressort qui le demandent.

De ce fait, le centre de gestion de la fonction publique territoriale de l'Hérault (CDG34) a décidé de s'engager dans une procédure de convention qui portera sur le risque prévoyance. Il propose aux collectivités intéressées de se joindre à cette procédure en lui donnant mandat par délibération.

Dans un souci de simplification pour les collectivités, le CDG 34 se chargera de l'ensemble des démarches. Le CDG 34, soucieux de respecter les délais imposés par le décret sera, au vu des mandats confiés par les collectivités, en mesure de proposer une convention de participation prévoyance à l'automne 2012, pour une prise d'effet au ler janvier 2013.

Par ailleurs, les effets de seuils de mutualisation, décuplés selon le nombre d'agents participants renforcé par l'incitation que constitue la participation des employeurs, permettront d'obtenir des conditions tarifaires attractives. Cette expérience de mutualisation a été réalisée à plusieurs reprises notamment dans le cadre des contrats d'assurance statutaire.

A l’issue de cette consultation, les collectivités conserveront l'entière liberté de signer ou pas la convention de participation qui leur sera proposée.

les garanties et les taux de cotisation obtenus seront présentés aux collectivités avant signature.

C'est lors de la signature de celle-ci que les collectivités se prononceront sur le montant de la participation qu'elles compteront verser.

Elle ne pourra être égale à zéro ni dépasser le montant total de la cotisation et sera définie après avis du comité technique.

La procédure de mise en concurrence imposée et décrite par le décret est une procédure ad hoc, indépendante du Code des marchés publics. Il convient toutefois de rappeler que cette procédure entre dans le champ d'application de la Directive 2004/18/CE du parlement européen et du Conseil, du 31 mars 2004, relative à la coordination des procédures de passation des marchés publics de travaux, de fournitures et de services.

Le Maire PROPOSE à l'assemblée d'adopter la délibération suivante :

Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,

Vu le Code des assurances,

Vu la loi n°84-53 du 26 janvier l 984 et notamment son article 25 alinéa 6,

Vu le décret n°20l1-1474 du 8 novembre 20l1 relatif à la participation des collectivités territoriales et de leurs établissements publics au financement de la protection sociale complémentaire de leurs agents,

 Vu la Directive 2004/18/CE du parlement européen et du Conseil, du 31 mars 2004, relative à la coordination des procédures de passation des marchés publics de travaux, de fournitures et de services,

 Vu l'avis favorable du comité technique placé auprès du centre de gestion lors de sa séance du 30 mars 2012, à la procédure de convention de participation pour le risque prévoyance,

Vu la décision du conseil d'administration du centre de gestion de la fonction publique territoriale de l’Hérault (CDG 34), en date du 27 avril 2012, de lancer une consultation pour le compte des collectivités et établissements qui lui auront donné mandat afin de conclure, pour le risque prévoyance, une convention de participation,

 Vu la position de la commune de Castelnau-le-lez quant à une éventuelle participation dans le cadre de la protection sociale complémentaire en application des textes susvisés,

Vu les possibilités de mise en oeuvre définies ainsi que les risques concernés pour lesquels les employeurs publics territoriaux peuvent apporter leur participation conformément auxdits textes,

Vu les avis du comité technique de la commune de Castelnau-le-Lez qui s'est réuni à l'occasion de la séance du 22 juin 2012,

Le Conseil Municipal,

DECIDE de mettre en place la procédure permettant aux collectivités territoriales de contribuer à la protection sociale complémentaire des agents municipaux.

DECIDE de participer au financement de la protection sociale complémentaire au titre du risque prévoyance afin de couvrir le risque incapacité de travail.

DECIDE, et sous réserve de ce qui précède, d'arrêter la modalité de sélection des garanties pouvant donner lieu à participation qui s'articule autour de la procédure de la convention de participation.

DECIDE de se joindre à la procédure de mise en concurrence pour la passation de la convention de participation pour le risque prévoyance que le CDG 34 va engager en 2012 conformément à l'article 25 de la loi N°84-53 du 26 janvier 1984.

ET PREND ACTE que les tarifs et garanties lui seront soumis préalablement afin qu'il puisse prendre la décision de signer ou non la convention de participation souscrite par le CDG 34 à compter du ler janvier 2013.

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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 14:42

 

Communiqué CAP 21 Castelnau-le-lez 

 

CAP 21 remercie ses électeurs pour le soutien lors du 1er tour de scrutin qui relève d’une démarche écologique et citoyenne face à la bétonnisation.

CAP 21 enregistre la victoire  de Mme Fanny Dombre-Coste et espère qu’elle sera à l’écoute de notre démarche. Ce succès n’est pas une surprise mais le désaveu de l’action de  Mr Grand,   du Plan Local d’Urbanisme (P.L.U) de Castelnau-le-lez, du Schéma de Cohérence Territorial (S.C.O.T) adopté par l’Agglomération et soutenu par notre maire qui entérine le développement de Montpellier vers la mer. Ce document est un non sens écologique, aberrant économiquement et néfaste pour la santé des citoyens.

Face au  Plan de Déplacement Urbain (P.D.U) adopté par l’Agglomération et soutenu par notre maire, nous proposons une autre conception des déplacements  mettant en synergie tous les transports en commun ( tramway, navettes,  bus, déplacements doux..).

Nous dénonçons sa folie des travaux avec comme dernier exemple la démolition de l’Espace Rencontre.

Nous nous réjouissons de l’émergence d’un groupe écologique à l’Assemblée Nationale. Pour autant, nous serons attentifs à son action au sein du gouvernement.

 

Claude PRIVAT           Conseiller Municipal CAP21

Grégory LAMOTTE     Candidat CAP 21  sur la 3 ième Circonscription

Michèle PRIVAT          Suppléante sur la 3ième circonscription

 

 

Si vous voulez le Compte administratif de l'exercice 2011 de la commune envoyez moi un  mail.

Autre remarque, vous êtes nombreux à m'écrire. Comme vos suggestions sont pertinentes; je souhaite publier vos lettres sur mon blog. Mais pour cela il faut que   vous me donniez l'autorisation de le faire.

Attention, je ne publierai aucun courrier anonyme, ni aucune attaque personnelle . Seules les idées valent d'être défendues.

 

Deux questions écrites seront posées à la fin du conseil, une sur la gestion et l'autre sur la politique urbanistique de la municipalité.

 

ORDRE DU JOUR :  

 

 

1. COMMUNICATION AU CONSEIL DES DECISIONS DU MAIRE

 

2. FINANCES - ADOPTION DU COMPTE ADMINISTRATIF DE L'EXERCICE 2011

 

3. FINANCES - BILAN DES ACQUISITIONS ET CESSIONS FONCIERES 2011

 

4. FINANCES - AFFECTATION DEFINITIVE DES RESULTATS DE L'EXERCICE 2011

 

5. FINANCES - ADOPTION DU COMPTE DE GESTION DE L'EXERCICE 2011

 

 

6. AIRE D'ACCUEIL DES GENS DU VOYAGE - CONVENTION GESTION COMMUNE /CCAS

 

7.ATTRIBUTION D'UNE SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A LA SECTION AEROBIC DU COLLEGE FREDERIC BAZILLE ET A DEUX JEUNES CASTELNAUVIENS POUR LEUR PROJET

 

 

8. LOI PORTANT MAJORATION DES DROITS A CONSTRUIRE - MODALITES DE CONSULTATION PREALABLE DU PIJBLIC – APPROBATION

 

 

9. AVENUE DE L'EUROPE - ACQUISITION A TITRE GRATUIT PARTIE DE LA PARCELLE AR 121 - INTEGRATION DOMAINE PUBLIC COMMUNAL – SCCV L'OPALIA

 

 

10. INSTITUTION D'IJNE PARTICIPATION SPECIFIQUE POIJR VOIRIE ET RESEAUX PARCELLE CK 276

 

 

11. CHEMIN DES PINS - ACQUISITION A TITRE ONEREUX DE 2/10ième INDIVIS DE LA PARCELLE CD 306 APPARTENANT A MONSIEUR LOPEZ ET MADEMOISELLE DELPONT

 

 

12. OUVERTURE DE L'ACCUEIL DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT MATERNEL VERT PARC

 

 

13. LOCAL " LES ARCADES " AUTORISATION DU CONSEIL MUNICIPAL AU MAIRE DE DEPOSER UNE DEMANDE D'AUTORISATION D'URBANISME EN APPLICATION DES ARTICLES L 2121-29 ET L 2122-21 DU CODE GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L'ARTICLE R423-1 DU CODE DE L'URBANISME

 

 

14. PROPRIETE " GRAND PARC " - AUTORISATION DU CONSEIL MUNICIPAL AU MAIRE DE DEPOSER UNE DEMANDE D'AUTORISATION D'URBANISME EN APPLICATION DES ARTICLES L 2121-29 et L2122-21 DU CODE GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L'ARTICLE R 423-1 DU CODE DE L'URBANISME

 

 

15. SIGNATURE D'UNE CONVENTION AVEC L'AGENCE LOCALE DE L'ENERGIE DE MONTPELLIER - AUTORISATION DU CONSEIL MUNICIPAL AU  MAIRE DE SIGNER LA CONVENTION

 

16. ORGANISMES EXTERIEURS - SOCIETE PUBLIQUE LOCALE D'AMENAGEMENT SAAM - AUGMENTATION DE CAPITAL - RETRAIT De LA DELIBERATION N° 2011/09-07 BIS DIJ 8 SEPTEMBRE 2011

 

 

17. LUTTE CONTRE LES INONDATIONS - PROTECTION CONTRE LES INONDATIONS DANS LA VALLEE DE LA MOSSON - EXTENSION DE COMPETENCE – TRANSFERT A LA COMMUNAUTE D'AGGLOMERATION De MONTPELLIER De LA COMPETENCE DES COLLECTIVITES – APPROBATION

 

 

 

18. PERSONNEL COMMUNAL - MODIOFICATION DU  TABLEAU DES EFFECTIFS

 

 

19. PERSONNEL COMMUNAL - PARTICIPATION MUNICIPALE A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE

 

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 08:38

Monsieur le Maire attaque la séance en disant que j’ai encore posé des questions écrites et que le conseil va écouter mes bavardages (sic).  A chaque conseil, il nous rappelle qu'il a affaire à une bande de fous, (De plus en plus de castelnauviens attaque la mairie au tribunal ) en précisant que j'en fais partie. Les attaques personnelles n'ont jamais grandi ceux qui les portent.

Je ne rentrerai pas dans son jeu méprisable. Il ne se rend pas compte qu'il  est ridicule.

 

2. DELEGATION DE POUVOIR DU CONSEIL MUNICIPAL DU MAIRE EN

APPLICATION DE L'ARTICLE L 2122-22 DU CODE GENERAL DES

COLLECTIVITES TERRITORIALES

VOTE : pour à l’unanimité

COMMENTAIRE :Rien de particulier.

 

3. FIXATION DE LA DUREE D'AMORTISSEMENT DES SUBVENTIONS

D'EQUIPEMENT VERSEES – MODIFICATION

VOTE pour à l’unanimité

COMMENTAIRE : Je ne fais aucun commentaire lors du vote.

Une remarque s’impose : La durée d’amortissement des biens immobiliers est de 15 ans. Ce qui signifie qu’aucun emprunt ne devrait dépasser cette durée  ce qui n’est pas le cas à Castelnau puisque la commune a contacté des emprunts sur 30 ans. Par ailleurs tout un chacun peut constater que notre maire n’a pas attendu 30 ans  pour refaire le centre ville.

 

4. GARANTIE D'EMPRUNT A L'ASSOCIATION FARE POUR DES TRAVAUX DE RENOVATION ET EXTENSION DU CHRS A CASTELNAU-LE-LEZ

VOTE pour à l’unanimité

COMMENTAIRE :Rien de particulier. L’adjointe en charge du dossier nous dit que   l’association  FARE est bien gérée.

 

5. FONDS DEPARTEMENTAL D'AIDE AUX COMMUNES POUR LE PATRIMOINE ET LA VOIRIE – DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL GENERAL

VOTE pour à l’unanimité

COMMENTAIRE : Rien de particulier

 

6. ATTRIBUTION D'UNE SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A LA COOPERATIVE SCOLAIRE MARIO ROUSTAN

VOTE pour à l’unanimité

COMMENTAIRE : Rien de particulier

 

 

7. ATTRIBUTION DE SUBVENTIONS EXCEPTIONNELLES A L'EQUIPE DE RUGBY-LOISIRS DE LA GENDARMERIE NATIONALE   "LES CENTURIONS " ET AU CLUB DE FOOT CASTELNAU/LE CRES

VOTE pour à l’unanimité

COMMENTAIRE ; Rien de particulier

 

 

8. DEVIATION EST DE MONTPELLIER - MODALITES DE CONCERTATION – AVIS DE LA COMMUNE

VOTE pour à l’unanimité

COMMENTAIRE : Rien de particulier.

 

9. OPERATION D'UTILITE PUBLIQUE - HAMEAU DU DEVOIS - CESSION A TITRE ONEREUX DE PARTIES DES PARCELLES COMMUNALES CS 59 -163 - 282 -OPHACM- APPROBATION

VOTE : Abstention PRIVAT

COMMENTAIRE J’émets une réserve car j’ai vu qu’il n’était pas possible de construire 26 parkings (voir la convention du point N° 11 au dessous) pour les 26 logements. Je préconise de ne vendre qu’une partie de la parcelle pour réaliser  les 24 logements et de laisser la partie non vendue  en espace vert pour ce lotissement.

Le maire ironise en faisant semblant de ne pas comprendre ma demande. Il dit que c’est la première fois qu’un VERT demande qu’on coupe les arbres.  Or ce n’est pas du tout le sens de mon intervention puisque je demande qu’on supprime 2 logements dés lors qu’il manque 2 parkings. Encore une fois, il est de mauvaise fois car il est surpris en train de bétonner à tout va.  

 

10. COSTIERES - REGULARISATION FONCIERE - ACQUISITION A TITRE GRATUIT PARCELLE CS 284 - OPHACM – APPROBATION

VOTE pour à l’unanimité

COMMENTAIRE Rien à signaler

 

 

11. CONVENTION DE CONCESSION DE PLACES DE STATIONNEMENT - HAMEAU DU DEVOIS – OPHACM

VOTE contre PRIVAT

COMMENTAIRE. Etant donné qu’on ne peut faire  que 24 places de parkings et pour rentrer dans le cadre de l’article UD12 qui prévoit au moins une place de parking par logement, il faut donc limiter le nombre de logements à 24. Pourquoi faire des exceptions surtout quand il s’agit de logements sociaux qui sont bâtis sur des espaces minuscules?

 

12. APPROBATION DU PRINCIPE DE TRANSFERT D'OFFICE DE VOIES PRIVEES DANS LE DOMAINE PUBLIC COMMUNAL

COMMENTAIRE : Ce point est présenté  par le maire comme une régularisation.

BM 129 Rue des fauvettes 262m²

BM 130 Chemin des mésanges 361m²

BK 195 Route de Clapiers 653m²  

BN 235 BO 169, BO 170 Chemin des cocinelles

CM 352,CM 353 Chemin des centurions

CO 530  Chemin d’Allut

CO 531 Rue d’Aquitaine                                                       

Aucun appel à ce sujet.


13. PARTICIPATION SPECIFIQUE VOIRIE ET RESEAUX ERDF PARCELLES CL 306 -307

VOTE pour à l’unanimité

 

14. OPEN DATA - FOURNITURE D'UNE PLATE FORME - APPROBATION D'UNE CONVENTION VILLE /AGGLOMERATION DE MONTPELLIER

VOTE pour à l’unanimité

Commentaire: L'opposition de gauche a repris ma demande de début de mandat, c'est à dire que les notices explicatives nous soient envoyées par mail, que l'ordre du jour du conseil soit affiché sur le site de la mairie, cela m'a fait plaisir. Pour vous éviter d'avoir à payer pour obtenir les procès verbaux des conseils municipaux, j'ai demandé, qu'il y ait la possibilité  pour tout le public de charger les procés verbaux des conseils municipaux à partir d'un serveur situé en mairie sur une clé USB. En réponse le maire ne peut s'empécher de m'attaquer en répondant qu'avec les fous (Je suis supposé en faire partie) auxquel il doit faire face, il veut prendre toutes les précautions. En fait il pourrait nous  envoyer par mail la notice explicative  10 jours avant, mais il ne veut pas pour nous empécher d'étudier les dossiers à fond. Son argument ne tient pas.

 

15. PERSONNEL COMMUNAL - MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS

VOTE pour à l’unanimité


Questions écrites 

 

M. le maire,

En juin 2010 vous avez fait voter le principe d’une sorte de règlement de consultation en forme « d’appel d’offres » permettant à la commune de choisir le promoteur immobilier le « mieux disant » pour l’achat des immeubles municipaux dits du CCAS et de Capuce près de la mairie.

Le 10 décembre 2010 vous avez fait voter le principe de la vente de ces deux immeubles  à la société privée AMEHA de promotion immobilière déclarée par vos soins lauréate de l’appel d’offre, soit 310m² de terrain constructible pour la somme de 365.000 euros.

Le 26 mai 2011 vous avez soudain informé le Conseil des difficultés techniques imprévues dans les plans d’origine que vous nous aviez présentés le 10 décembre 2010, que rencontrait la société AMEHA pour l’accés au sous-sol de l’immeuble privé qu’elle devait construire à la place des immeubles municipaux.  Pour y remédier vous avez fait voter l’augmentation de 95 m² de la cession de terrain du domaine communal, prise entièrement sur la surface du parking de la mairie,  de 310m² à 405m², tout en gardant le même prix de 365.000 euros, c’est-à dire gratuitement.

A présent et alors que deux permis de construire ont été successivement délivrés à la société AMEHA , l’un principal, l’autre simplement modificatif, nous apprenons, sans avoir été reconsultés qu’AMEHA aurait en toute liberté transféré ses droits à une sorte de groupement de quatre personnes morales ou physiques dont elle fait partie mais qui pour trois d’entre elles n’ont pas été choisies à l’origine par la collectivité (voir l’affichage nouveau sur le chantier d’une société nouvelle dite EDILA) .

 

QUESTION N°1

Croyez-vous M  le maire que tout cela soit très régulier :

- car en vertu de quel texte législatif ou réglementaire une collectivité peut-elle céder gratuitement à un promoteur privé du terrain communal constructible ayant une forte valeur marchande (les 95 m² de terrain communal donnés à AMEHA représentent au moins 50.000 € ) ? Je pense pour ma part que vous vous êtes lourdement trompé dans cette affaire. La commune a donc anormalement perdu une rentrée financière de droit de 50.000 €au minimum.

-En second lieu, si la société AMEHA comme tout porte à le croire est seule incapable de réaliser la construction, vous deviez constater que le projet de cession des immeubles et terrains communaux à AMEHA est « infructueux », la règle étant que lorsque une commune se lie officiellement par un règlement de consultation, elle est tenue de le respecter jusqu’au bout. En principe pour agir légalement vous deviez recommencer votre Appel d’offres.

Que comptez-vous faire M. le Maire pour régulariser cette situation doublement anormale ?


Réponse du Maire : Il peste contre moi en disant que c’est encore une affaire montée à 4 mains par des fous furieux dont je fais parti car j’ai donné une attestation à J.M Carrier. Il m’apprend que J.M Carrier a déposé un recours dans cette affaire. Voila au moins un castelnauvien qui agit !

Il refuse de s’expliquer et lit un texte tout préparé dans lequel il précise que l’avocat de la ville nous répondra et me dit que je porte préjudice à un commerçant. Or il essaie encore de noyer le poisson. Le commerçant n’est pas en cause, c’est le maire qui ne respecte pas les procédures.


ARGUMENTS ET INFORMATIONS obtenues sur le site de la mairie:

Parcelle BB 123 (92m² zone UA cos 3)

Parcelle BB 124 (408m² Zone UA cos 3)

Parcelle BB 125 (1411m² Zone UB cos 1.5)

Le 26 mai 2011 il y a eu 95m² de la parcelle 125 zone UB qui ont été rajoutés à la vente (cos 1.5) par conséquent le prix aurait du être majoré de 57 000€. Dans cette histoire le commerçant n’est pas en cause. C’est toute la procédure suivie par le maire que je dénonce.

Calculs  95x1.5x400= 57 000€ 

 

QUESTION N°2

Les travaux sur l’Avenue Jean Jaurès sont pratiquement terminés. Mené sans concertation préalable, plusieurs riverains  m’ont fait part de leurs   inquiétudes .

1°) Nous avons constaté que les véhicules roulent sur les trottoirs. A ce sujet, les camions ont déjà détérioré quatre enseignes. Le trottoir côté pair est si étroit que la sécurité des personnes n’est pas assurée. En cas d’accident votre responsabilité sera mise en cause.

Quelle disposition comptez vous prendre ?

2°) Le problème du réseau pluvial est loin d’être résolu . Je pense que nous serons amenés à en reparler car certains riverains constatent que les seuils de leurs entrées sont au raz de la chaussée.

Dans l’immédiat, plusieurs anomalies me sont signalées.

16 Av J Jaurès.

La grille du pluvial est en aval du gendarme couché ,qui est lui même, est plus élevé que le trottoir côté Numéro impair. De ce fait l’eau de l’avenue contourne le gendarme couché et s’écoule sur le trottoir . Que préconisez vous ?

 9 Av J Jaurès.

Les grilles positionnées au bas du Chemin de la Gardie sont inefficaces. Quelle solution  envisagez vous ?

Rue privée de  la Résidence du Village

Les travaux à répétition sur l’avenue Jean Jaurès se suivent, sans résoudre certains problèmes.  Par exemple, situé à la sortie de la rue privée de la résidence  du Village,  le caniveau, qui recevait l’eau pluviale, a été supprimé il y a 20 ans lors de précédents travaux. Depuis l’eau pluviale traverse l’avenue J Jaurès rendant ce passage dangereux. Suite aux faibles précipitations de ces derniers jours, j’ai pu constater que rien n’a  changé.

Monsieur le Maire, quand envisagez vous de nouveaux travaux sur l’Avenue J Jaurès  pour résoudre  le problème du pluvial?


Réponse du maire : Sur le fond, il n’a pas dit s’il mettrait des piquets sur les trottoirs de l’avenue J Jaurès ni les mesures qu’il comptait prendre. Comme je lui faisais remarquer qu’un de ses amis m’a rapporté lui avoir dit que la  sécurité des personnes est en cause Av J Jaurès, il m’a attaqué. Cette attaque personnelle me déçoit.

.

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 14:26

  Pour toute remarque concernant l'ordre du jour du conseil, vous pouvez m'écrire en appuyant sur le bouton plus qui se situe à la fin de cet article.

 

 

 

1.COMMUNICATION AU CONSEIL DES DECISIONS DU MAIRE

M. le Maire communique au Conseil les décisions qu'il a prises en application des dispositions des Articles L 2122.22 et L 2122.23 du Code Général des Collectivités Territoriales, par délégation du Conseil municipal depuis la séance du 19 Mars 2012.

 

2.DELEGATION DE POUVOIR DU CONSEIL MUNICIPAL DU MAIRE EN APPLICATION DE L'ARTICLE L 2122-22 DU CODE GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES

Monsieur le Député-Maire expose :

En application de l'article L. 2122-22 40 alinéa du code général des collectivités territoriales et par deux délibérations du conseil en date des 28 mars 2008 et 27 mars 2009, le conseil municipal a délégué au Maire sa compétence en matière de commande publique consistant à « prendre toute décision concernant la préparation, la passation, l'exécution et le règlement des marchés et des accords-cadres ainsi que toute décision concernant leurs avenants, lorsque les crédits sont inscrits au budget ».

Dans le cadre d'une révision européenne des seuils de passation des marchés publics, le code français des marchés publics a été modifié.

Les nouveaux seuils applicables à compter du 1 er janvier 2012 sont issus de deux décrets : le premier, décret N° 2011-1853. en date du 9 décembre 2011 et le second, décret N° 2011-2027, en date du 29 décembre 2011.

Pour ce qui concerne les collectivités territoriales, les nouveaux seuils mentionnés dans le code des marchés publics sont les suivants :

- 200 000 euros HT pour les marchés de fournitures courantes et de services (au lieu de 193 000 euros) ;

- 5 000 000 d'euros HT pour les marchés de travaux (au lieu de 4 845 000 euros) ;

 - 15 000 euros HT pour le seuil de dispense de procédure (au lieu de 4000 euros). Le pouvoir adjudicateur peut donc décider que le marché sera passé sans publicité ni mise en concurrence préalables si son montant estimé est inférieur à l 5 000 euros HT.

M. le Maire propose au conseil '.

Article 1: De prendre acte de la modification de ces nouveaux seuils, dans le cadre d'une bonne administration communale et conformément au contrôle que le conseil municipal doit exercer sur la délégation accordée au Maire en application de l'article L 2122-22 du code général des collectivités territoriales ;

Article 2: Considérant ce nouveau contexte réglementaire et dans le but de faciliter la gestion communale, d'autoriser le Maire à subdéléguer sa signature en vertu des articles L 2122-18 et L 2122-19 du code général des collectivités territoriales dans le cadre des compétences dont il est chargé au titre de l'article L 2122-22.

 

 3. FIXATION DE LA DUREE D’AMORTISSEMENT DES SUBVENTIONS

D'EQUIPEMENT VERSEES - MODIFICATION

Monsieur Christian QUIOT, Adjoint aux Finances expose ;

 Les durées d'amortissement des subventions d'équipement ont été axées, par délibération N°2006/03-08 du 30 mars 2006, à 5 ans pour une subvention versée à un organisme privé et 15 ans pour une subvention versée à un organisme public.

 Le décret N° 2011-195 l du 23 décembre 2011 modifie la réglementation prévue par le Code Général des Collectivités Territoriales afin de fixer la durée d'amortissement des subventions d'équipement versées par les communes, non plus en fonction de la nature publique ou privée du bénéficiaire, mais en fonction de la durée de vie du bien financé.

 Il est prévu que l'amortissement des subventions d'équipement versées, à compter du 1er janvier 2012, puisse se faire sur une durée maximale :

* de cinq ans lorsque la subvention finance des biens mobiliers, du matériel ou des études,

* de quinze ans lorsqu'elle finance des biens immobiliers ou des installations,

* de trente ans lorsqu'elle finance des projets d'infrastructure d'intérêt national.

Et cela quel que soit le tiers subventionné (organisme public ou privé).

 

Il faut noter que les plans d'amortissements qui ont été commencés suivant l'ancienne réglementation (amortissement de 5 ans pour une subvention à un organisme privé et de 15 ans pour une subvention à un organisme public) ne peuvent pas être modifiés et se poursuivront jusqu'à amortissement complet.

En conséquence,

Vu le code général des collectivités territoriales et notamment ses articles L.2121-29, L.2321-3 et R2321-1

 Vu la délibération 2006/03-08 du 30 mars 2006 fixant les durées d'amortissement des subventions d'équipement versées,

Il est proposé au Conseil municipal de fixer l’amortissement des subventions d'équipement versées à compter du ler janvier 2012, sur une durée de :

 * cinq ans lorsque la subvention finance des biens mobiliers, du matériel ou des études,

 * quinze ans lorsqu'elle finance des biens immobiliers ou des installations,

 * trente ans lorsqu'elle finance des projets d'infrastructure d'intérêt national,

Et cela, quel que soit le statut juridique de l'organisme subventionné (organisme public ou privé).

 

4. GARANTIE D'EMPRUNT A L'ASSOCIATION FARE POUR des TRWAUX DE RENOVATION ET EXTENSION DU CHRS A CASTELNAU-LE-LEZ

Madame Pierrette MIENVILLE Premier Adjoint expose ;

 L'association FARE doit réaliser l'opération de rénovation et extension du CHRS situé Chemin des Centurions sur la Commune de Castelnau-le-lez et sollicite la garantie de la Ville à hauteur de 50% sur l'emprunt à contracter.

Conformément à l'article L2252-2 du Code Général des Collectivités Territoriales, une comune peut accorder à une personne de droit privé une garantie d'emprunt ou son cautionnement sans conditions, s'il s'agit d'une opération de construction, d'acquisition ou d'amélioration de logements bénéficiant d'une subvention de l'Etat ou réalisées avec le bénéfice de prêts aidés par l'Etat ou adossés en tout ou partie à des ressources médicalisées.

L'association FARE a sollicité auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations un emprunt de type PLAI, d'un montant de 100 000 € d'une durée de 15 ans, pour financer ces travaux.

L'association FARE a obtenu la garantie de la Communauté d'Agglomération de Montpellier à hauteur de 25% et la garantie du Conseil Général de l'Hérault à hauteur de 25% également.

Vu l'article L2252-2 du Code Général des Collectivités Territoriales autorisant une commune à accorder à une personne de droit privé une garantie d'emprunt ou son cautionnement sans conditions, s'il s'agit d'une opération de construction, d'acquisition ou d'amélioration de logements bénéficiant d'une subvention de

de l'Etat ou réalisées avec le bénéfice de prêts aidés par l'Etat ou adossés en tout ou partie à des ressources défiscalisées. Il est proposé au Conseil Municipal de délibérer afin :

 Article 1er : De garantir le remboursement de la somme de 50 000€  représentant 50 % du prêt d'un montant total de 100 000€, sollicité par l'association FARE auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations. Ce prêt est destiné à financer les travaux de rénovation et d'extension du CHRS situé 4a Chemin des Centurions à Castelnau-le-Lez.

Article 2 : D'approuver les caractéristiques du prêt sollicité auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations, qui sont les suivantes :

 - Type d'emprunt : PLAI

- Montant du prêt : l 00 000 €

- Durée totale du prêt : l 5 ans

- Taux d'intérêt actuariel annuel : taux du livret A -0,20 pdb

- Amortissement du capital : progressif

- Echéances : annuelles

- Préfinancement : de 3 à 24 mois maximum

- Taux de garantie : 50% soit 50 000€

 Article 3 : Au cas où l'emprunteur pour quelque motif que ce soit ne s'acquitterait pas des sommes devenues exigibles ou des intérêts moratoires qu'il aurait encourus, d'engager la Commune à en effectuer le paiement en ses lieu et place, sur simple notification de la Caisse des Dépôts et Consignations, par lettre missive, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut des ressources nécessaires à ce règlement,

Article 4 : D'engager la Commune, pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l'emprunt

 Article 5 : D'autoriser le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des Dépôts et  Consignations et l'association FARE et à signer toutes les pièces du dossier.

 

5. FONDS DEPARTEMENTAL D'AIDE AUX COMMUNES POUR LE PATRIMOINE ET LA VOIRIE - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL GENERAL

 Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose :

 Dans le cadre des travaux d'entretien de la voirie communale, la Ville va intervenir, par le biais de son marché à bons de commande, confié à l'entreprise EUROVIA, sur la réfection du chemin des Mésanges,

La réfection de ce chemin rentre dans la programmation annuelle de remise à niveau liée à la réfection des voiries de l'ensemble du quartier des oiseaux.

La Ville a déjà réalisé en 2011 la réfection du chemin des Loriots et cette programmation annuelle s'étend sur 5 ans.

Cette réfection concerne essentiellement la reprise de l'enrobé sur la surface de roulement, de la partie comprise entre le chemin des Grives et le chemin des Loriots, ainsi que des réparations ponctuelles de la chaussée sur l'ensemble du linéaire.

D'une longueur de 620 ml la réfection de ce chemin pourra éventuellement concerner des reprises de bordures et de grilles de pluvial en fonction de l'étude de maitrise d'oeuvre qui sera réalisée et qui permettra d'affiner le chiffrage estimatif.

Le montant estimé des travaux s'élève à 140 000€ HT, soit 167 440€ TTC.

Il est demandé au Conseil municipal de solliciter du Conseil Général une subvention la plus large possible au titre du Fonds Départemental d'Aide aux communes pour le patrimoine et la voirie.

 

6.ATTRIBUTION D'UNE SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A LA COOPERATIVE SCOLAIRE MARIO ROUSTAN

Monsieur Philippe CHASSING, Adjoint au Maire délégué à l'Education expose : Notre commune alloue chaque année un budget total de 35 000 € destiné à financer les classes découvertes des enfants des écoles. Ce budget est généralement complété par une participation des familles et des coopératives scolaires.

Cette année, l'école Mario Roustan a souhaité organiser à destination de ses élèves de CM2, un voyage à caractère scientifique. Ce séjour se déroulera à Toulouse et s'appuiera sur les équipements de la Cité de l'Espace. Deux classes travailleront ainsi sur le thème de l'aéronautique et la 3ième se consacrera à l'astronomie.

Ce projet présente un très grand intérêt pédagogique et est en complète cohérence avec les programmes de l'Education Nationale. Toutefois, la richesse et la variété des supports pédagogiques utilisés dans le cadre de ce séjour en majorent largement le coût.

Aussi, la coopérative de l'école a sollicité auprès de notre commune l'octroi d'une subvention exceptionnelle de l 500 €.

Le Conseil municipal est invité à se prononcer sur l'attribution de cette subvention.

 

7. ATTRIBUTION DE SUBVENTIONS EXCEPTIONNELLES A l’EQUIPE DE RUGBY-LOISIRS DE LA GENDARMERIE NATIONALE « LES CENTURIONS » ET AU CLUB DE FOOT CASTELNAU/LE CRES

Madame Muriel SARRAADIN, Adjointe déléguée au Sport expose :

L'équipe de rugby-loisirs de la Gendarmerie Nationale dénommée LES CENTURIONS, présidée par Monsieur David PERNOT, organisera en juin 2012 un tournoi de rugby à 7.

Afin de pouvoir organiser cette manifestation sportive dans de bonnes conditions, cette équipe sollicite l'attribution d'une subvention exceptionnelle de 300 €.

Le club de football CASTELNAU LE LEZ - LE CRES FC, présidé par Monsieur Bruno TOMBERLIS organisera à l'automne 2012 un match de bienfaisance avec la participation d'anciens internationaux, au profit de l’ « Action Alimentaire de Castelnau-le-Lez ».

Afin de pouvoir organiser cette manifestation dans de bonnes conditions, le club sollicite l'attribution d’une subvention exceptionnelle de 5000 €,

Le Conseil Municipal est donc invité à décider de l'attribution d'une subvention exceptionnelle de 300€ il à l'équipe de rugby loisirs de la Gendarmerie Nationale et d'une subvention exceptionnelle de 5000 € au Club de Football Castelnau-le-laez - Le Crès.

 

8. DEVIATION EST DE MONTPELLIER - MODALITES DE CONCERTATION - AVIS DE LA COMMUNE

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose ;

 La première section de la déviation Est de Montpellier a été déclarée d'utilité publique en 2004 et ouverte à la circulation publique en décembre 2008. Elle établit une liaison entre la RD 613 (ex RN l13) et le boulevard Ph. Lamour puis la Rue de la Vieille poste.

Le Conseil général de l'Hérault a délibéré le 17 octobre 201l pour définir les modalités de concertation publique afférentes à la réalisation de la deuxième section de la déviation est de Montpellier. Cette seconde section a vocation à achever la voirie de contourneront Est de l'agglomération de Montpellier entre le boulevard Ph. Lamour et l'autoroute A9. L'estimation prévisionnelle des travaux est de 45.000.000 € HT.

Il est envisagé d'engager une procédure de concertation publique, conformément aux dispositions de l'article L.300-2 et R 300-1 du Code de l'Urbanisme afin d'associer, pendant toute la durée de l'élaboration du projet, les communes les habitants, les associations locales et les autres personnes concernées dont les représentants de la profession agricole. Le propose les modalités de concertation suivantes :

L'avis du conseil municipal est sollicité sur les modalités de concertation proposées par le Conseil Général de l'Hérault, maître d'ouvrage de l'opération d'aménagement, à savoir :

- Organiser deux réunions publiques, annoncées par affichage et voie de presse, à l'issue des études préliminaires sur les enjeux et les variantes d'aménagement et réparties comme suit :

 * une sur le territoire de la commune de Saint Aunes en y associant la Commune de Mauguio ;

* une sur le territoire de la commune de Montpellier en y associant les Communes

de Castelnau Le Lez et Le Crès ;

-         Organiser deux réunions publiques, annoncées par affichage et voie de presse, à l'issue des études d'avant projet menées sur les deux variantes retenues à l'issue de la phase de concertation précédentes et réparties comme suit :

-         * une sur le territoire de la commune de Saint Aunes en y associant la Commune de Mauguio ;

* une sur le territoire de la commune de Montpellier en y associant les Communes

de Castelnau Le Lez et Le Crès ;

- Mettre à la disposition du public un dossier d'information accompagné d'un registre sur lequel chacun pourra consigner ses observations pendant une durée d'au moins 30 jours dans des locaux à définir avec les cinq communes concernées, à savoir Saint Aunes, Castelnau Le Lez, Le Crès, Mauguio et Montpellier ;

- Insérer dans la presse un communiqué relatif à ladite concertation ;

- Insérer sur le site internat du Département une information relative à ladite concertation ;

- Mettre à la disposition du public une modélisation informatique des aménagements sur le site internet du département, lors de la seconde phase de concertation sur les deux variantes étudiées au niveau avant-projet.

En conséquence, il est proposé au Conseil de bien vouloir :

 - donner un avis concernant les modalités de concertation proposées par le Conseil Général de l'Hérault,

 - autoriser Monsieur le Maire à signer tout document relatif à cette affaire.

 

9. OPERATION D'UTILITE PUBLIOUE - HAMEAU DU DEVOIS - CESSION A TITRE ONEREUX DE PARTIES DES PARCELLES COMMUNALES CS 59 -163 - 282 - OPHACM – APPROBATION

 Madame Pierrette Mienville, Premier Adjoint expose ;

Dans le cadre de la mise en Ouvre de son Plan Local d'urbanisme (PLU) et d'une politique de logement social conforme au Plan Local de l'Habitat de la Communauté d'agglomération de Montpellier, la Commune souhaite organiser les modalités foncières de réalisation d'un programme immobilier social dit « Le Hameau du Devois » sur le site des Costières.

Cette opération s'inscrit dans la droite ligne des principes exprimés dans le Projet d'Aménagement et de Développement durable (PADD), document d'orientations du PLU, et plus particulièrement dans la première orientation « Mettre en oeuvre un parc de logement équilibré pour permettre un réel parcours de logement et promouvoir une diversité urbaine et sociale ».

On citera les objectifs consacrés dans ce document de planification territoriale et auxquels cette opération contribue :

« Mettre en oeuvre une politique dynamique de création de logements neufs et diversifiés

* Répondre à la demande forte de logement social notamment par application d'un pourcentage de 27% de la production totale et d 'un rythme de 35 logements sociaux par an. Cette action s 'inscrit dans la continuité puisque 75 % du parc de logement social a été construit ces 10 dernières années.

* Faciliter le parcours des « primo-accédants ».

*  Développer le parc de petits logements (F1 et F2) pour correspondre à l 'évolution démographique des ménages vers des structures monoparentales et faire face au resserrement des ménages.

* Rompre avec la logique d'accroissement exponentiel du parc résidentiel stéréotypé (F5) et trop grand consommateur d'espace.

 

1B- Réaliser des opérations d'aménagement diversifiées et à taille humaine

 L 'accueil de nouvelles populations s 'opérera par des formes urbaines permettant d 'organiser l 'accueil planifié des logements diversifiés dans des programmes respectant les spécificités et l 'échelle de la commune :

 * Extensions urbaines restaurant les principes du village, du quartier nouveau intégré à l 'environnement et axé sur le développement durable.

* Nouvelles formes urbaines intégrant une graduation des typologies de construction selon le niveau de densité souhaité.

* Recours aux logements intermédiaires s 'appuyant sur l 'espace public et sur le jardin privatif dans un rapport maîtrisé.

Ceci en s 'appuyant sur des logiques d'économie de l 'espace, de densité urbaine maîtrisée, de développement durable et de respect du modèle castelnauvien de qualité du cadre de vie.

La forme urbaine devra ainsi favoriser un sentiment d'appartenance à la commune et appréhender les contraintes de Voiries et Réseaux Divers (minimalistes et amortis par les opérations), de limitation des temps de transport (coûts économiques et écologiques) et de faisabilité économique de programmes mixtes composés à 27% de logements sociaux.

Le site retenu est placé entre le complexe scolaire Saint Exupéry et la résidence des «  Lavognes », sur un terrain naturel et communal. La majeure partie du site s'inscrit sur la parcelle communale cadastre CS 163 qui est propriété de la commune depuis plus de cinquante ans et qui représente une superficie totale de 30.643 m². L'emprise globale intéresse également pour partie deux autres parcelles, à savoir les parcelles cadastrales CS 59 et CS 108.

Dans un souci de maîtrise de son urbanisation, la Commune a choisi de faire réaliser un programme entièrement dédié au logement social et a défini de façon précise dès 2009. à l'intention du futur opérateur social, un cahier des charges de cession complétant à différents titres les dispositions du Plan Local d'Urbanisme (PLU) : exigences environnementales, typologie des logements, maintien des plantations remarquables, des continuions piétonnes ...

 

Le choix de ce site répond à une analyse multi critères. Il se fonde tout d'abord sur l'analyse des disponibilités foncières communales en matière de terrains communaux constructribles : Après analyse, ce site représente le seul disponible, à une échelle et une superficie suffisantes et dans un environnement urbain et naturel adapté à la conduite d'une opération de logement axé sur le développement durable. Sur un plan plus global, la décision d'affecter ce site à une opération de logements sociaux constitue une réponse à la pénurie foncière constatée à l'échelle de l'agglomération et à la rareté du foncier répondant aux exigences de coût et d'équilibre financier de telles opérations.

Il repose également sur le souci d'organiser l'émergence d'un projet social de qualité, s'inscrivant dans une démarche de développement durable :

D'un point de vue environnemental, il est en effet tout d'abord desservi de façon exemplaire par les moyens de transport en commun : le site bénéficie d'une desserte par transport en commun (ligne 35) à 20 m et la station de tramway «  Aube rouge » est à 300 m. De même, la proximité immédiate des équipements publics (groupe scolaire, restauration scolaire, mairie annexe) et de la zone commerciale de l'Aube Rouge, est de nature à limiter les besoins de déplacements véhiculés. Le cahier des charges s'efforcera d'ailleurs de limiter l'empreinte des circulations et stationnement automobiles pour faire prévaloir les circulations douces internes et réduire les nuisances et pollutions internes au site.

Le choix du site et du déclassement préalable se fonde ensuite sur la nature du site, à même d'offrir aux futurs résidents un cadre de vie harmonieux, dans un espace de garrigue ponctué de pins parasol remarquables.

Enfin ce programme s'inscrit dans les préoccupations de développement durable par le recours à des techniques d'architecture durable, de performentiel énergétique... Il participe à l'évidence du renouvellement urbain en investissant un site interstitiel en secteur urbain et en limitant ainsi les besoins de déplacements et d'extension des réseaux.

Du point de vue économique, ensuite, la commune souhaite également initier à court terme cette opération dans le cadre de son « plan local de relance économique ». Il apparait essentiel, dans cette période de grave crise économique, d'agir positivement par la commande et l'initiative publiques sur les entreprises de travaux publics, du bâtiment et de tous les corps de métiers périphériques.

Cette démarche d'intérêt général tend à soutenir l'activité économique et l'emploi tout en contribuant à l'exercice de politiques publiques programmées, celle du logement en l'occurrence.

Cette démarche devrait se concrétiser de façon privilégiée auprès des prestataires et entreprises spécialisées dans les techniques de construction environnementales.

 

Enfin,  du point de vue social, l'opération traduit une volonté de mixité sociale, à l'échelle d'une opération de 26 logements, qui combine différentes typologies de logements (et donc de ménages) et différents types de financement (et donc de niveaux sociaux). A l'échelle du quartier, cette opération s'intégrera par sa taille raisonnée et sa volumétrie réduite à la proximité d'une opération de logements individuels résidentiels et de logements collectifs. Un accent particulier est mis sur l'adaptation exemplaire de quelques logements à l'accueil de personnes handicapées l'aménagement extérieur du site étant entièrement appréhendé au titre des facilités de desserte spécifiques à ces personnes.

Le projet présenté aujourd'hui par ACM acte les principes de composition urbaine traduit dans ce cahier des charges communal, à savoir notamment :

  • la réalisation de 26 logements dont deux conçus pour des personnes lourdement handicapées ;
  •  la préservation des arbres significatifs recensés;
  • la réalisation du réseau pluvial depuis l'extrémité Ouest du site jusqu'à l'Avenue du Devois ;
  • le maintien et l'aménagement des continuités piétonnes existantes sur le site et très pratiquées par les riverains du site.

 

Ce projet, au stade de la demande de permis de construire (dépôt le 23 février 2012) fait état d'une SHON de 1907 m².

Ces décisions de lancement d'une opération de logement social et de déclassement fondent leur utilité publique sur la volonté d'accroître le parc de logement social de façon cohérente et maîtrisée, dans le respect notamment des dispositions de la Loi SRU (article 55) et du Plan Local de l'Habitat.

 

Le projet présenté assure le maintien et, au-delà, le développement des circulations douces dans une vision d'ensemble du quartier et d'intégrer les plantations remarquables (pins en alignement) dans une composition paysagère globale. Il tient compte de manière privilégiée et adaptée des intérêts des différents riverains de l'opération, colotis des « Costières », usagers du groupe scolaire pour organiser une parfaite cohabitation de l'existant avec le futur programme.

 

Ces parcelles sont situées en secteur 1UD du Plan local d'urbanisme et représentent une superficie globale de 5538 m², suivant document d'arpantage établi par le Cabinet Siraguza Géomètre expert.

L'estimation des services fiscaux brigade des Evaluations domaniales

N° 11057V2529 en date du 1 l janvier 2012 définit une valeur foncière de 180 €|/m² de SHON ce qui induit une valeur globale de 343.260 € pour une superficie de 5538 m² et une SHON de 1907 m².

Dans cette perspective, le Conseil municipal a pu approuver par une délibération du 27 mars 2009 le déclassement du domaine public de la parcelle communale CS 59 (pour une superficie de 1488 m²) et d'environ 1532 m² issus de la parcelle d'origine CS 108 et avait consacré l'utilité publique du  Projet.

Afin d'intégrer certaines sujétions précisées dans le cahier des charges, des conditions particulières viendront stipuler la mise en place de diverses servitudes de passage et d'entretien :

* d'un réseau pluvial (noue pluviale et chemin d'entretien) en limite Sud du projet ; * des continuités et cheminements piétonniers existants maintenus et mis en valeur sur le site ; notamment vers les résidences limitrophes des Lavognes ;

* D'un réseau électrique existant sur ces parcelles et dont la charge du dévoiement sera assumée par ACM

Après avoir entendu l'exposé de M. Le Maire, il est proposé au Conseil Municipal:

 

 * d'approuver la cession à titre onéreux de parties des parcelles communales cadastrées CS 59, CS 163 et CS 282 à l'OPHACM siège au 407, Avenue du Professeur E. Antonelli. BP 75590. 34 071 MONTPELLIER Cedex 3 pour une superficie globale de 5538 m² et au prix de 180 €/m2 de SHON, sous les conditions particulières précisées ci-dessus et suivant estimation des services fiscaux, ce qui induit une valeur globale de 343.260€ pour une SHON de 1907 m².

* d' autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette cession à titre onéreux.

 

10. COSTIERES - REGULARISATION FONCIERE - ACQUISITION A TITRE GRATUIT PARCELLE CS 284 - OPHACM - APPROBATION

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose :

 En 1982, la société Héraultaise d'économie mixte de construction développait un programme de construction dit des « Costières » au sein du lotissement communal du Devois.

Une délibération du conseil municipal du 25 mai 1982 organisait la passation d'une convention organisant les relations entre les deux partenaires pour la définition du programme de logement social et les modalités de financement. La partie Sud du lot vendu y était réservé à un usage de terrain de jeu, encore actuel aujourd'hui.

Cet espace de jeux et de loisirs constitue un équipement de proximité, répondant aux besoins de l'opération des Costières mais aussi plus globalement à ceux des quartiers du Devois, du Hameau des vignes, des Allées de César...

Il est proposé de régulariser la situation foncière de cet espace afin de permettre son intégration dans le domaine public communal, sa mise en valeur et la mise en place d'une piste de sécurité routière.

ACM est devenu depuis propriétaire de cette résidence des Costières et de cette parcelle.

 La parcelle cadastrée CS 284 est issue de la parcelle CS 58. Elle est située, en secteur 1UD du Plan local d'urbanisme et représente une superficie globale de 3205 m², suivant document d'arpentage établi par le Cabinet Siraguza Géomètre expert.

L'estimation du service des Domaines N° 11057V2548 en date du 02 novembre 2011 définit une valeur foncière de 1€ pour une superficie de 3205 m².

Après avoir entendu l'exposé de M. Le Maire, il est proposé au Conseil Municipal :

 

 * d'approuver l'acquisition à titre gratuit de la parcelle cadastrée CS 284 jour une superficie de 3205 m² à l'OPHACM Siège au 407, Avenue du Prof. E. Antonelli. BP 75590. 34 071 MONTPELLIER Cedex 3 ;

. * d'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette acquisition à titre gratuit.

 

11. CONVENTION DE CONCESSION DE PLACES DE STATIONNEMENT

 - HAMEAU DU DEVOIS - OPHACM

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose :

Le Conseil municipal a approuvé par une délibération du 27 mars 2009 le principe de la réalisation d'un programme immobilier social sur le site des Costières et a consacré le caractère d'utilité publique de l'opération projetée. Ce site se trouve au Sud du groupe scolaire Saint Exupéry et développe une superficie de 5538 m2.

Castelnau Le Lez mène de façon volontaire une politique de logement pour accroitre son parc de logement social de façon harmonieuse en imposant notamment une part significative (27 %) de logements sociaux dans les grandes opérations de l'Avenue de l'Europe. Cette politique répond aux obligations de la loi Solidarité et renouvellements urbains (dite « SRU ») qui imposent aux communes d'avoir 20 % de logements sociaux et aux prescriptions du programme local de l'habitat voté par Montpellier Agglomération.

Au-delà du respect des normes, il s'agit d'offrir un toit à des ménages dans un contexte de crise du logement sans précédent avec des offres insuffisantes et des loyers en forte augmentation.

Dès le début de la programmation de l'opération du « Hameau du Devois », la commune a entendu maîtriser le parti d'aménagement et s'est engagée à ne céder le terrain que sous des conditions d'aménagement strictes et spécifiques :

* La programmation tout d'abord : développer 26 logements sociaux de différentes tailles (du -1-4 au T2) dont deux spécialement aménagés pour permettre l'accueil de personnes souffrant de handicaps lourds (domotique)

* Une répartition des constructions sur les différents secteurs du site tenant compte des arbres à préserver. Parti d'aménagement reposant sur des logements jumelés et le maintien de transparentes permettant d'éviter un aspect trop linéaire, des cheminements piétonniers transversaux et des trouées visuelles, passagères ou fonctionnelles.

* Valoriser les modes de déplacements doux, avec des cheminements piétons, cyclables et stationnements doux. Maintenir la vocation de promenade inter-quartier du site;

 * Réduire à l'extrême les espaces de voirie et l'espace dévolu à la voiture ;

 * Limiter les circulations automobiles au sein du site par une accessibilité aux bâtiments fondé sur les déplacements doux et une concentration du stationnement en limite du domaine public (Avenue du Devois),

 * Mettre en valeur la nature et le paysage : Jardins, terrasses et toitures végétalisées, Traitement paysager du talus, des interfaces avec les propriétés riveraines dont les écoles...

* Un choix architectural harmonieux et écologique : Le choix des couleurs et matériaux de façades contribuera à l'intégration harmonieuse de la construction dans le paysage environnant.

 

Cette opération entre aujourd'hui en phase opérationnelle : Une réunion publique s'est déroulée le Jeudi 24 novembre 201l à l'Ecole Saint Exupéry pour une présentation aux riverains des acteurs et du projet. L'OPHACM, représentée par Mme C. Frèche, a pu exposer le projet conçu par Monsieur Chicaud, architecte et répondre aux questions. Le permis de construire est aujourd'hui en cours d'instruction règlementaire.

Le projet respecte le cahier des charges fixé et privilégie la valeur naturelle du site. Il minimise notamment l'impact causé par la voirie en termes d'emprise, de paysage et d'imperméabilisation des sols. Dans cette perspective, les besoins de desserte et de stationnement sont satisfaits par un parking de 24 places prévu en bordure du parc public de stationnement de la Mairie annexe.

L'article UD 12 du plan local d'urbanisme prescrit un nombre de places minimal. Les textes de lois précisent qu'il ne peut être exigé la réalisation de plus d'une aire de stationnement par logement lors de la construction de logements locatifs financés avec un prêt aidé de l'Etat. Le programme développe 26 logements sociaux, ce qui induit a minima 26 places de stationnement.

L'aménagement d'un parking de 26 places sur ce site aurait induit l'abattage de plusieurs arbres remarquables (pins parasol, chêne) recensés en amont de l'opération en raison de leur valeur essentielle pour le paysage et l'identité du site. Ces arbres permettent également de maintenir un écran paysager entre les deux parcs de stationnement.

La philosophie du programme, axée sur des préoccupations de développement durable et le plan de composition ne permettent pas d'implanter ces deux places à un autre endroit du périmètre.

Le plan local d'urbanisme dispose également «  En cas d'impossibilité architecturale ou technique d'aménager sur le terrain de l'opération le nombre d'emplacements nécessaires au stationnement, le constructeur pourra s'affranchir de ses obligations (...) par l'obtention d'une concession à long terme dans un parc public de stationnement existant ou en cours de réalisations »

 Enfin, l'article L123-1-12 du code de l'urbanisme dispose : «  Lorsque le bénéficiaire du permis ou de la décision de non-opposition à une déclaration préalable ne peut pas satisfaire aux obligations résultant de l'alinéa précédent, il peut être tenu quitte de ces obligations en justifiant, pour les places qu'il ne peut réaliser lui-même, soit de l'obtention d'une concession à long terme dans un parc public de stationnement existant ou en cours de réalisation et situé à proximité de l'opération, soit de l'acquisition ou de la concession de places dans un parc privé de stationnement répondant aux mêmes conditions.

Il est proposé de pallier cette insuffisance de deux places de stationnement par la passation d'une concession à long terme intéressant deux places situées dans le parc public de stationnement de la Mairie annexe. Cette solution s'appuie sur un principe de moralisation de l'utilisation de ces places de stationnement et sur la compatibilité des horaires d'utilisation scolaire et d'habitat.

Cette opération de logement social fonde son utilité publique sur la volonté d'accroître le parc de logement social de façon cohérente et maîtrisée, dans le respect notamment des dispositions de la Loi SRU (article 55) et du Plan Local de l'Habitat. Ce caractère d'utilité publique a été défini par la délibération du Conseil municipal du 27 mars 2009.

Une convention de concession de places de stationnement établissant les modalités de cette occupation est donc soumise à l'approbation du Conseil municipal. Elle s'appuie notamment sur les modalités suivantes :

- Une durée de 15 ans prescrite notamment par les exigences du Code de l'urbanisme et du Plan local d'urbanisme comme condition au recours à des solutions alternatives à du stationnement assuré sur la parcelle privée ;

 - un caractère gratuit pour tenir compte de la vocation sociale du programme.

M. Le Député Maire propose au Conseil Municipal :

 * D'approuver la passation d'une convention de concession de places de stationnement à titre gratuit avec l'OPHACM représentée par Mme C. Frêche Siège 407, Avenue du Professeur Antonelli 34074 Montpellier concernant l’occupation non privative de deux places de stationnement ;

 * D'autoriser Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette procédure.

 

. 12. APPROBATION DU PRINCIPE DE TRANSFERT D'OFFICE DE VOIES PRIVEE DANS LE DOMAINE PUBLIC COMMUNAL

Monsieur Fredéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose :

Il est proposé au Conseil Municipal d'approuver le principe du transfert d'office de plusieurs voies ou parties de voies privées dans le domaine public communal.

Les voies privées concernées par cette procédure sont des voiries de lotissements anciens qui n'ont jamais fait l'objet de transfert à la commune et appartiennent encore au lotisseur ou à l'association syndicale.

L'objectif poursuivi par la Commune consiste à intégrer d'office ces voies dans le domaine public de manière à permettre la réalisation de tous les travaux d'entretien nécessaires.

Après arrêté municipal ordonnant l'ouverture de l'enquête publique d'une durée de 15 jours, le Conseil Municipal donnera son avis sur ce projet. Quinze jours avant l'enquête publique, l'arrêté municipal sera publié. Les propriétaires des parcelles comprises dans l'emprise du projet recevront une notification individuelle du dépôt de dossier en Mairie.

A la fin de l'enquête et après que le Commissaire enquêteur ait produit ses conclusions, le transfert pourra avoir lieu après délibération portant transfert et valant classement dans le domaine public communal.

Après avoir entendu l'exposé de Monsieur Frédéric LAPFORGUE, il est proposé au Conseil Municipal :

- D'entreprendre la procédure de transfert d'office dans le domaine public des parcelles : BM 129, Chemin des Fauvettes, BM 130, Chemin des Mésanges, BK 195, Route de Clapiers, BN 235 et BO 169, Chemin des Coccinelles, BO 170, Chemin des Papillons, CM 352, Chemin des Centurions et CM 353, Chemin d'Allut, CO 530 Allée du Merlot et CO 53 1 Rue d'Aquitaine. Ces parcelles sont en nature de voiries ou d'espaces publics et sont affectées à la circulation publique.

- D'autoriser monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette procédure.

Après examen et en avoir délibérés

LE CONSEIL.

VU le Code Général des Collectivités Territoriales,

VU le Code de l'Urbanisme et notamment l'Article L.3l8.3, R.3l8-7 et R.318.10

VU le Code de la Voirie Routière et notamment les Articles R.141.4 à R141.6,

- Approuve le principe de transfert d'office dans le domaine public des parcelles : BM 129, Chemin des Fauvettes, BM 130, Chemin des Mésanges, BK 195, Route de Clapiers, BN 235 et BO 169, Chemin des Coccinelles, BO 170, Chemin des Papillons, CM 352, Chemin des Centurions et CM 353, Chemin d'Allut, CO 530 Allée du Merlot et CO 531 Rue d'Aquitaine. Ces parcelles sont en nature de voiries ou d'espaces publics et sont affectées à la circulation publique.

- Autorise monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires à la réalisation de cette procédure.

 

13. PARTICIPATION SPECITIOIJE VOIRIE ET RESEAUX ERDF PARCELLES CL 306 -307

Monsieur Frédéric LAFFORGUE, Adjoint à l'Urbanisme, à l'Environnement et aux travaux communaux, expose :

 Les Lois SRU du 13 décembre 2000 et UH du 02 juillet 2003 ont profondément modifié les mécanismes de facturation des raccordements au réseau public de distribution d'électricité. Les principales modifications ont consisté à :

 - soumettre à consultation d'ERDF toute délivrance de certificat d'urbanisme opérationnel et autorisation d'urbanisme ;

- en matière de répartition des coûts de raccordement au réseau électrique, remplacer le système des tickets de raccordement jusqu'ici facturé au client par le calcul d'une contribution réglée par le client pour le branchement individuel et par le calcul d'une autre contribution à la charge de la collectivité en charge de l'urbanisme pour les travaux sur le réseau électrique.

Ces mécanismes de calcul sont fixés par l'arrêté interministériel du 28 août 2007, conformément à l'article 4 de la Loi SRU du 10 février 2000.

Ce dispositif est entré en application pour les certificats d'urbanisme opérationnels et autorisations d'urbanisme déposés à compter du janvier 2009.

Néanmoins, le dispositif mis en place a prévu que la collectivité en charge de l'urbanisme peut répercuter cette charge en totalité ou en partie sur le demandeur du raccordement, bénéficiaire de l'autorisation d'occupation des sols. Ce report de charge doit s'opérer par instauration d'une participation Voirie et Réseaux (PVR) Les dispositions des articles L.332-11 -1 et suivants du Code de l'urbanisme donnent la possibilité d'instituer une participation pour voirie et réseaux en vue de financer en tout ou en partie la construction des voies nouvelles ou l'aménagement des voies existantes ainsi que l'établissement ou l'adaptation des réseaux qui leur sont associés, lorsque ces travaux sont réalisés pour permettre l'implantation de nouvelles constructions.

La loi précise que pour chaque voie, le conseil municipal précise les études, les acquisitions foncières et les travaux à prendre en compte pour le calcul de la participation, compte tenu de l'équipement de la voie prévu à terme. Peuvent être financés les études, les acquisitions foncières et les travaux relatifs à la voirie ainsi que les réseaux d'eau potable, d'électricité et d'assainissement. Les études, les acquisitions foncières et les travaux relatifs à la voirie comprennent l'éclairage public le dispositif d'écoulement des eaux fluviales et les éléments nécessaires au passage des réseaux souterrains de communication.

Par délibération N° 2004/12-19 du 16 décembre 2004, le Conseil municipal a instauré le principe de cette participation pour voirie nouvelle et réseaux sur le territoire de la commune de Castelnau-le-Lez.

Dans ce cadre, la société Kaufman et Broad Languedoc Roussillon représentée par Monsieur Julien Destouches. 266, Place Ernest Granier 34000 Montpellier a déposé une demande de permis de construire N°03405712M0016 le 29 février 2012 concernant la réalisation de 113 logements dont 31 logements sociaux sur les parcelles cadastrées CL 306 et CL 307, développant 4026 m² et située 799, Avenue de l'Europe à Castelnau Le Lez. Cette demande de permis de construire a donné lieu à une consultation d'ERDF le 06 mars 2012.

Le 03 avril 2012, ERDF a rendu un avis suite à la consultation opérée et considère qu'une extension du réseau électrique est nécessaire pour alimenter le projet. Le chiffrage de la contribution relative à l'extension hors du terrain d'assiette de l'opération a été réalisé à partir du barème approuvé par la Commission de régulation de l'Energie le 07 janvier 2010, avec application de la réfaction tarifaire (part du coût pris en charge dans le tarif d'utilisation des réseaux publics de distribution d'électricité) selon l'arrêté du l juillet 2008.

La réforme opérée dispose d'une alternative permettant de faire supporter par le propriétaire du terrain ou des ayants droits (promoteurs) la charge complète ou partielle du coût des extensions de réseau rendues nécessaires. La commune de Castelnau Le Lez juge opportun d'organiser ce système, qui implique l'établissement d'une PVR pour des multiples raisons concordantes : Tout d'abord, cette modalité organise en fait et en droit le maintien d'un financement accepté par l'ensemble des acteurs, promoteurs, EDF, collectivités et contribuables.

Ensuite et à défaut, le système concoure à faire financer par la collectivité et le contribuable l'équipement propre à un programme immobilier au lieu de l'intégrer dans l'économie générale du . projet immobilier, La PVR est à considérer à ce titre comme un outil de justice fiscale

 

Considérant que l'extension du réseau électrique, au sens du décret N°2007-1280 du 28 août 2007 relatif à la consistance des ouvrages de branchement et d'extension des raccordements aux réseaux publics d'électricité prévus emportent une dépense totale d'un montant prévisionnel de 19.747,75€ HT.

Il est proposé au conseil d'adopter les dispositions suivantes :

Vu la Loi N°2000-l 8 du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l'électricité;

 Vu la Loi N°2000-1208 Solidarités et Renouvellements urbains (SRU) du 13 décembre 2000 ;

Vu la Loi N°2003-590 Urbanisme et Habitat (UH) du 02 juillet 2003

Vu le décret N°2007-1280 du 28 août 2007 relatif à la consistance des ouvrages de branchement et d'extension des raccordements aux réseaux publics d'électricité ;

Vu l'arrêté du 28 août 2007

Vu la circulaire N°2004-8 du 05 février 2004 relative aux modalités de mise en Ouvre de la participation Voirie et Réseaux (PVR)

Vu le Code de l'urbanisme et notamment ses articles L 332-6-1, L 332-11 -1 et L 332-11-2 ;

Vu la délibération N° 2004/12-19 du 16 décembre 2004 instaurant la participation pour voirie nouvelle et réseaux sur le territoire de la commune de Castelnau-le-Lez,

 

Article 1 :

Il est établi une participation spécifique pour voiries et réseaux divers pour le site d'emprise de 4026 m² constitué de tout ou partie des parcelles cadastrées CL 306 et CL 307, et autorisation d'occupation des sols, selon les conditions définies aux articles suivants.

Article 2 :

Le programme d'équipements publics en vue de permettre l'implantation de nouvelles constructions telles que prévues par la demande de permis de construire N°03405712540016 sur le site d'emprise de 4026 m² constitué de tout ou partie des parcelles cadastrées CL 306 et CL 307, desservi est arrêté et approuvé sur la base des éléments suivants et un coût prévisionnel de 19.747,75HT €,

 La totalité du coût net prévisionnel de ce programme sera mise à la charge des propriétaires ou titulaire de droits réels considérés.

Article 3 :

Sont redevables les propriétaires du site d'emprise de 4026 m² constitué de tout ou partie des parcelles cadastrées CL 306 et CL 307, et/ou les titulaires de droits réels considérés, notamment les bénéficiaires de la déclaration préalable délivrée sur tout ou partie des parcelles cadastrées CL 306 et CL 307.

Article 4 :

Le montant de participation due est de 19.747,75 €,

Article 5 :

Le versement de cette participation devra intervenir en un versement unique et intervenant au terme d'un délai de six mois courant à compter de la date de délivrance de l'autorisation d'occupation des sols correspondante.

 

14. OPEN DATA - FOURNITURE D'UNE PLATE FORME - APPROBATION D'UNE CONVENTION VILLE /AGGLOMEMTION DE MONTPELLIER Monsieur le Député-Maire expose :

 L'ouverture des données ou ''Open Data'' consiste à mettre à disposition des données publiques aux citoyens et aux entreprises et de faciliter leur réutilisation afin de favoriser l'innovation.

En effet, la réutilisation libre, facile et gratuite des informations publiques permet à des entrepreneurs de créer de nouveaux services ou des applications inovantes.

La Communauté d'Agglomération de Montpellier a toujours favorisé le développement des technologies sur son territoire et l'open data relève de cette même volonté. Montpellier Agglomération s'engage donc dans l'open data, et souhaite faire participer à terme ses 31 communes membres à ce projet. Au préalable, 4 communes pilotes ont été choisies pour démarrer ce projet : Castelnau-le-Lez, Le Crès, Cournonterral et Castries.

Il convient donc que la mairie de Castelnau-le-lez mette à disposition un certain nombre d'informations publiques concernant les marchés, le jumelage, les parkings, les parcs d'activités, les horaires et la géo localisation des établissements publics de la commune.

Ce droit de réutilisation a été impulsé par la directive européenne 2003/98/CF, du l 7 novembre 2003 qui a été transposée en France par l'ordonnance N° 2005-650 du 6 juin 2005 relative à la liberté d'accès aux documents administratifs et à la réutilisation des informations publiques qui a elle-même modifiée la loi du 1 7 juillet 1978 portant diverses mesures d'amélioration des relations entre l'administration, le public et diverses transpositions d'ordre administratif, social et fiscal.

La loi a instauré un droit pour toute personne physique ou morale de réutiliser les informations publiques des administrations. Il s'agit d'informations contenues dans les documents produits ou reçus dans le cadre de la mission de service public de celles-ci. La loi dans son article 12 prévoit que les informations publiques ne doivent pas être altérées, leur sens ne doit pas être dénaturé et que leurs sources et la date de leurs dernières mises à jour doivent être mentionnées.

Au-delà de ces principes généraux, il convient d'adopter le contrat de licence de réutilisation des informations publiques en accès libre qui précise notamment les conditions générales pour la réutilisation gratuite des informations publiques.

Un projet de convention de mise à disposition de services a été rédigé entre la commune et la Communauté d'Agglomération pour la fourniture d'une plateforme open data. Cette convention précise notamment les prestations assurées par Montpellier Agglomération, ainsi que les engagements de la commune. Elle est conclue de la date de sa notification à la commune jusqu'au 31 décembre 2012, puis pour deux années supplémentaires.

Il vous est demandé :

* d'approuver le principe d'ouverture des données publiques précisées ci-dessus,

* d'approuver les termes du contrat de licence de réutilisation des informations publiques en accès libre, d'autoriser monsieur le maire à signer la convention avec Montpellier Agglomération pour la fourniture d'une plateforme Open Data.

 

15. PERSONNEL COMMUNAL- MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS

Monsieur le Maire expose :

 Pour répondre à une meilleure organisation des services, il est proposé d'adapter le tableau des effectifs du personnel communal.

Dans la filière Médico-sociale.

- de créer un poste d'infirmier territorial temps complet.

Il convient donc de modifier ainsi qu'il suit le tableau des effectifs.

 

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 15:27

Mardi 27 mars 2012, Midi Libre a publié le compte rendu du conseil municipal .

A aucun moment, mon vote contre le budget 2012 n’a été mentionné ; pas plus d’ailleurs que mon opposition au permis de construire du centre socio culturel ou de la charte des terrasses …

A la fin du conseil, j’ai posé une question fort embarrassante pour Monsieur le Maire sur le scandale d’AMETYST ( 100 millions d’euros) et une autre sur le trottoir rue des Perrières.

Je vous invite à lire mon compte rendu.Vous pouvez m'écrire en cliquant sur le bouton PLUS qui est en bas de l'article.

 

 

        1. COMMUNICATION AU CONSEIL DES DECISION DU MAIRE

 

2. BUDGET 2012 - REPRISE ANTICIPEE DES RESULTATS DE L'EXERCICE 2011

VOTE :  pour  24  ;  contre 6 (opposition)

COMMENTAIRE. Je suis contre la gestion de l’équipe municipale conduite par J P GRAND. J’expliquerai pourquoi .

 

3. CONTRIBUTIONS DIRECTES -VOTES DES TAUX APPLICABLES EN 2012

VOTE pour 24 ; contre 6 (opposition)

COMMENTAIRE :  Castelnau était il y a 20 ans, le petit Neuilly de l’agglomération. Ce n’est plus vrai aujourd’hui, cependant les bases fiscales qui servent à calculer les impôts locaux, ont continué d'augmenter. Il faudrait baisser au moins le taux de la taxe d’habitation pour compenser cette situation anormale. Encore aurait il fallu mener une autre politique.

Au lieu de cela le Maire claironne qu'il n'augmente pas les taux! Il prend les castelnauviens pour des imbéciles. Les impôts vont continuer d'augmenter puisque les bases sont réévaluées chaque année par le parlement.

 

4. BUDGET 2012 - REVISION DES AUTORISATIONS DE PROGRAMME / CREDITS DE PAIEMENT (AP/CP)

VOTE pour 29 ; contre 1 (PRIVAT)

COMMENTAIRE : Je suis contre tous ces travaux « bling bling »qui ont ruiné les commerces du centre ville.

 

5.     BUDGET 2012 - ADOPTION DU BUDGET PRIMITIF

VOTE pour 24, abstention 5( socialistes + RDG), contre 1 (PRIVAT)

COMMENTAIRE : J’expliquerai ma position aux castelnauviens.

 

6. BUDGET 2012 - ATTRIBUTIONS DES SUBVENTIONS 2012

VOTE pour 29 ; abstention 1 (PRIVAT)

COMMENTAIRE : On vote à l’aveuglette sans une grille d'évaluation qui permettrait d’analyser la pertinence de certaines subventions.Je ne vote pas contre pour ne pas handicaper les associations. Je ne suis pas dupe, je n’oublie  pas que le maire prépare la campagne électorale!


 

7. MONTANT DES SUBVENTIONS OCTROYEES AUX COOPERATIVES SCOLAIRES ET AUX ECOLES PRIVEES SOUS CONTRAT D'ASSOCIATION

VOTE : pour unanimité

COMMENTAIRE : L’argent affecté aux coopératives scolaires est bien employé .

 

8. APPROBATION DE LA CHARTE DES TERRASSES

VOTE pour 29 ; contre 1 (PRIVAT)

 

COMMENTAIRE : Imposer la même couleur à tous les cafés est une  idée « bolchévique ». De plus l’autorisation est donnée par le maire sans aucun contrôle de l’opposition avec toutes les conséquences qui en découlent.

      

          9. INSTITUTION D’UNE PARTICIPATION SPECIFIQUE POUR              VOIRIE ET RESEAUX : PARCELLE BA 107

 

VOTE unanimité

 

10. ACQUISITION  A TITRE GRATUIT DES PZARCELLES AW 98 et AW 290

VOTE unanimité

 

11.AMENAGEMENT D’UN SKATE PARK

VOTE unanimité

 

 12.DEPOT DU PERMIS DU CENTRE SOCIO CULTUREL DENOMINATION             

VOTE pour 24, abstention 5(socialistes+ RDG), contre 1 (PRIVAT)

COMMENTAIRE :Je suis depuis le début contre la démolition de l’Espace Rencontre et contre ce projet qui n’a pas fait l’objet d’une concertation de la population . L’article L 300-2 du code de l’urbanisme prévoit une phase de concertation quand il s’agit de remplacer un équipement public d’une telle importance. Cet exemple illustre parfaitement la gestion de notre municipalité , dirigée par un maire atteint de « frêchite aigüe » .

Je rappelle que j’ai déposé 2 recours au T.A, un contre les travaux du centre ville et un contre la démolition de l’Espace rencontre.

J’expliquerai ma position aux castelnauviens . 

 

 

Questions écrites au conseil

 

QUESTION 1:
Rue des Perrières, près du rond point de "Netto", l'ensemble immobilier "NEW CASTLE" est construit à moins d'un mètre de la chaussée alors que la norme est 1,4m. A l'autre bout de la rue de nouveaux programmes vont voir le jour alors que  les trottoirs sont  très étroits. Lors de l'élaboration du P.L.U en 2007, vu le C.O.S de la zone, vous auriez du prévoir la construction d'un trottoir plus large. Aujourd’hui, les premiers immeubles sont habités et leurs poubelles encombrent le trottoir fort étroit, le rendant impraticable. Comment comptez vous résoudre ce problème?

 

Réponse du Maire: Un espace a été prévu entre l'immeuble New Castle pour un accés direct au tramway. Voila pourquoi le trottoir ne fera pas 1,4m.Comme toujours , il n'a pas répondu à ma question. Que fait-on des poubelles qui vont encombrer les trottoirs?

 

QUESTION 2 :

 

Dans l'Agglorieuse, Frédéric BORT, l’ancien directeur de cabinet de Georges Frêche a rapporté que l'usine AMETYST  a couté au total près de 100M €. Elle va être  réceptionnée en Avril, sans avoir fait ses preuves. Les  (VINCI + SOGEA SUD) maitres d'oeuvre de l'ouvrage vont pouvoir se désengager et nous laisser une ardoise conséquente de travaux d'améliorations improbables . Quelle est la position de la commune de Castelnau face à cette situation scandaleuse ?


 Réponse du Maire: Il accuse les écologistes d'être responsables du choix d'AMETYST, oubliant au passage que  les conseillers de Castelnau  ont voté pour ce système bancal (dixit le maire).Par contre, il refuse de donner la position de la commune par rapport à ce scandale qui mouille les 90 délégués de l'agglomération.

Je rappelle au passage que CAP 21 était contre le choix de VINCI et pour le choix de l'entreprise  VALORGA .(Je tiens à votre disposition le communiqué de G Fandos du 14/10/12 que le maire  fait semblant de méconnaitre). Les associations présentes, qui connaissent le sujet ont pu "toucher du doigt" sa mauvaise foi. Il peut attaquer son contradicteur alors qu'il a tout faux.

(mauvais choix de l'opérateur, critique de CAP 21 qui annonçait dès octobre 2006 les problèmes qu'allait rencontrer cette usine).

Mais aujourd'hui comme à son habitude, il botte en touche, ce n'est pas son problème mais celui de l'agglomération.

De plus,dans le rapport du 15 Décembre devant le conseil municipal , la conseillère municipale de Castelnau,déléguée à l'agglomération, n'a jamais fait allusion aux problèmes que rencontrait l'usine AMETYST. Bizarre, non?

C'est quand même une question à 100 Millions d'euros, soit 250 euros par habitant de l'agglomération, par conséquent, tous les habitants de l'agglomération sont concernés par cette affaire que Monsieur le Maire veut cacher sous le tapis avant les élections .




 

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